dossier HDA

essay A+

Brevet des collèges 201 5 or2A Sni* to View RICHARD Constance 3ème10 devenir au cours du nème siècle, époque contemporaine l’un des plus célèbre artiste de cette époque. Il va également avec George Braque fonder un nouveau mouvement artistique : le cubisme. Au cours de sa vie Picasso va réallser environ 50000 œuvres dont 1885 tableaux, 1228 sculptures, 2800 céramiques, 7089 dessins, 342 tapisseries et 30000 estampes. Il va mourir ? l’âge de 91 ans le 8 avril 1973. l. Introduction Guernica est un tableau de Pablo Picasso réalisé en 1937.

C’est Pablo Picasso seul qui a eu Vidée de peindre ce tableau ce n’est as une commande officiel. Ce tableau est une huile 27m2. Guernica appartient au domaine des arts visuels. Ce tableau est conservé dans le musée de la Reina à Madrid. Guernica est une œuvre monumentale, dans tous les sens du terme car tous les personnages sont d’une taille plus grande que nature. Son format, le choix des couleurs et du travail des formes impressionnent le spectateur. En 1937, le gouvernement républicain alors au pouvoir (juste avant d’être renversé par Franco) commande une toile, pour le pavillon espagnol de l’Exposition Universelle de Paris.

En Espagne en 1936 et 1939 une guerre civile oppose le camp nationaliste u gouvernement républicain. e 26 avril 1937, la légion NAZI, soutenant le camp franquiste mène un raid aérien sur la ville emblématique du pays Basque, Guernica. Le bombardement fait 1654 morts et 889 blessés essentiellement des femmes et des enfants car les hommes étaient déjà partis combattre les franquistes. Cette attaque a été très rapide, environ 2 heures, un jour de marché. L 3 combattre les franquistes. Cette attaque a été très rapide, environ 2 heures, un jour de marché.

Les avions bombardèrent Guernica en larguant des bombes explosives, poursuivies par les itrallleuses, et ils finirent d’achever cette ville avec 50 tonnes de bombes incendiaires, laissant 70% de la ville en feu. Ce raid est fait également pour tester les nouvelles armes. L’objectif était de loin d’être militaire, le but était bien de tuer un maximum de civils. Picasso horrifié par cet évènement décida de se mettre immédiatement à la réalisation de son œuvre. Durant deux mois il va travailler activement, et faire une centaine d’ébauches et d’esquisses avant d’achever le tableau.

Picasso cherche à provoquer des émotions et une réflexion sur l’horreur de la guerre. En quol ce tableau peut-il être un œuvre ngagée ? Ill. Analyse de l’œuvre Description Après une première impression de chaos, on constate que la composition repose solidement sur quelques figures. – A gauche, la mère et renfant. Accroupie, par terre, le buste dénudé, cette femme tient son enfant mort dans ses bras. Cette représentation n’a rien d’une photographie ; pourtant tout dans l’attitude de l’enfant évoque sa mort, tout dans l’attitude de la mère évoque la détresse. Le visage vu de profil, est renversé, tourné vers le haut.

La mère hurle sa douleur. Ses narines et ses yeux ressemblent à des larmes. – Derrière la mère à l’enfant se dresse un taureau. Il rentre dans l’image de gauche à droite mais tourne la tête dans l’autre sens. Ses yeux de face fixent le spectateur, son profil droite mais tourne la tête dans l’autre sens. Ses yeux de face fixent le spectateur, son profil attire le regard vers une queue enroulée, telle une spirale de fumée. – Sur un coin de table, à drolte du taureau, un oiseau s’affole, dévoré par l’ombre. Ses ailes se détachent du corps, Son cou et sa tête sont tendus vers le plafond.

Il semble s’égosiller. Au sol, un personnage git, les bras étendus, disloqués et même coupés. Sa main gauche, à la paume laissant apparaître un réseau e lignes profondes, rappelle la main d’un travailleur. La main droite, tient une épée brisée. C’est un soldat. Comme s’il était déjà sous terre, une petite fleur pousse au-dessus de cette main. La bouche est ouverte mais muette, ses yeux sont ouverts mais Sans vie. – Au centre du tableau, sous l’ampoule, un cheval se tord de douleur. Son corps est transpercé par une lance dont la pointe ressort par le flanc.

Tout son corps est couvert de petits traits noirs, ponctués, évoquant la typographie d’un journal. De sa bouche ouverte, vue en contre-plongée, pointe une langue acérée suggérant un cri perçant. A droite, en bas, une femme se traîne péniblement, un genou à terre. Levant la tête dans une attitude implorante, elle paraît blessée. – Un peu plus loin, une autre femme lève les bras, désespérée. Elle est entourée d’écailles suggérant les flammes d’un incendie. Elle tente d’atteindre une fenêtre mais n’y parvient pas. – Sur la gauche de cette femme apparaît une énigmatique porteuse de lumière dont on n’aperçoit que le buste.

La tête blanche, comme aspirée, entre furieusement dans 3 lumière dont on n’aperçoit que le buste. La tête blanche, comme aspirée, entre furieusement dans l’image, étirée par un long bras roit tenant une torche. Composition : Les couleurs sombres que Pablo Picasso utilise dans son tableau s’explique de plusieurs façons. Tout d’abord la gravité du sujet répond à l’austérité et l’absence de couleur. De plus, le noir et blanc est un rappel du texte et des clichés de Guernica diffusés dans la presse à la suite des bombardements et Picasso a fait référence à plusieurs reprises dans son œuvre.

Les forts contrastes de lumière accentuent la violence du tableau ou les corps démembrés, les visages tordus par la peur ou la douleur et l’esthétique cubiste travaillent en ce sens. Le tableau est organisé sous la forme d’une frise et est conçu pour être lu de gauche à droite la partie gauche est occupée par le taureau et la femme à renfant la partie droite par la femme en péril la partie centrale est consacrée au cheval blessé et à la porteuse de lumière. uis on distingue une organisation en triangle dont la torche en est le sommet. A la base de la pyramide il y a la mort représentée par le soldat et au sommet l’espoir symbolisée par la lampe. Cette composition en triangle met en évidence une répartition en trois parties qui structurent le tableau horizontalement et qui évoque a mort et le chaos et la partie haute dans laquelle les formes sont au contraire verticales, plus espacées et qui expriment davantage la vie.

Symboliques : Les expressions : Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la te PAGF s 3 Symboliques Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval : Il est situé environ dans la partie centrale du tableau, il symbolise le peuple. Une lance transperce son flanc et le blesse à mort. La tête est rejetée en arrière, la bouche est ouverte, il semble hurler de douleur et laisse visible ses dents et sa langue pointue. Référence au le tableau Saint Longin perçant le Christ de sa lance, Fra Angelico). Le taureau : La figure mythique du minotaure est un motif central du tableau de Picasso, au milieu de ce carnage il apparait impassible, statique. Seule la bouche ouverte et la langue pointue lui donne une expression et ses yeux sont humains. Il semble fixer le spectateur. C’est une figure ambiguë. Certains y voient une figure de la bestialité, de la cruauté et d’autres le symbole de la ésistance. L’oiseau • Peu visible entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe symbole d’espoir et de paix. La mère et l’enfant .

Cette femme tient son enfant mort dans ses bras. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mere hurle au ciel sa détresse. L’enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. (Référence au tableau Pietà, Giovanni Bellini). PAGF 3 tête et les bras ballants. Référence au tableau Pietà, Giovanni Bellini). Le soldat mort : Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés.

Sa main est encore refermée sur une épée brisée ; de cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. La femme dans les flammes : Elle a les bras levés au ciel. (Référence au tableau Très de Mayo, Goya). La femme qul fuit • A droite, en bas, une femme se traîne, un genou presque à terre. Tout son corps, mais surtout son visage et son cou demesuré sont entièrement tendus vers la lampe. La femme à la lampe . Une femme surgit vers la gauche et vers le centre de la omposition. L’allongement de son bras et de sa tête, de forme effilée, donne une impression de mouvement très dynamique.

Elle semble sortir de la ville détruite, en brandissant une lampe placée vers le centre de la composition. Ce petit flambeau est symbole d’espoir. (Référence à la Statue de la liberté). Réponse à la problématique: Depuis son époque cubiste, Picasso cherche à représenter les choses et les êtres comme ils sont et non pas comme il les voit. Picasso multiplie donc les angles de vue mais les concentre dans une seule image. Dans Guernica, Picasso s’autorise à déformer le réel (les langues eviennent pointue, un œil prend la forme d’une larme), il prend la liberté d’allonger le cou, d’agrandir une main ou un genou.

Cela lui permet de renforcer ce u’il veut montrer : la souffrance des corps malmenés par la eu vaque la gravité du sujet. PAGF 7 3 la guerre. Picasso évoque la gravité du sujet. L’austérité et l’absence de couleur peuvent symboliser le deuil et la mort. De plus, le noir et blanc est un rappel du texte et des clichés de Guernica diffusés dans la presse à la suite des bombardements. Les contrastes de valeurs mettent en avant ou dissimulent les formes et les figures. Ces jeux de valeur structurent le tableau, tout autant que les lignes de composition.

Le tableau de Picasso n’est pas la simple illustration d’un évènement passé, mais sa transposition en une succession d’action et d’images extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu’elles veulent exprimer, parfois certaines sont plus difficiles à apercevoir. C’est cette complexité qui fait aussi la richesse de Guernica. Picasso a voulu à travers ce tableau dénoncer les horreurs des conflits et des guerres, surtout lorsque les victimes sont des civils. Même si le tableau est à l’origine d’un évènement précis, Guernica évoque toutes les guerres, passées et à venir.

IV. Conclusion Dans ce tableau, Picasso veut dénoncer les événements concernant la guerre dans le monde entier. Il lance une alerte et prend à témoin toute la communauté internationale. Pour que son message soit très clair, il accumule des symboles, déforme les personnages, les transformant en monstres. Fait habituel dans la peinture expressionniste. La particularité de Picasso est que ces monstres ne renvoient pas à un rêve ou à l’inconscient, mais bien à une réalité. Il allie l’expressionnisme et le symbolisme. Au lieu de p 8 3 à l’inconscient, mais bien à une réalité.

Il allie l’expressionnisme et le symbolisme. Au lieu de peindre la souffrance particulière d’une mère, d’une femme, d’un guerrier, Picasso démontre la souffrance de toutes les mères dépossédées, de tous les guerriers vaincus, de toutes les femmes brûlées vives. C’est une allégorie. Picasso dit : « La guerre d’Espagne est la bataille de la réaction contre le peuple, contre la liberté. Toute ma vie d’artiste n’a été qu’une lutte continuelle contre la réaction et la mort de l’art. Picasso a voulu exprimer dans cette œuvre-là, le démembrement du monde en proie aux horreurs de la guerre.

Mon point de vue sur fœuvre : Quand je regarde rœuvre de Pablo Picasso, Guernica la première chose à laquelle je pense c’est à la souffrance qui se dégage des personnages. Cette œuvre m’interroge m’inquiète beaucoup car si comme pour la ville de Guernica tout autres villes sans raison ce font bombarder juste pour mettre au point quelque armes nouvelles qu’est ce qui pourrait arriver ensuite. Si je devais me situer dans l’œuvre je placerai en haut du tableau au niveau de la ampe, symbole de l’espérance de vie et loin de la mort. Un survivant de Varsovie, Arnold Schdnberg l.

Biographie Compositeur, peintre, écrivain et théoricien autrichien, Arnold Schônberg nait en 1874 à Vienne et meurt en 1951 à Los Angeles aux Etats unies. dans la vie active. Il assume diverse taches qi lui permette de se consacrer essentiellement à la musique, comme violoniste et violoncelliste. Au début de sa carrière, Schonberg est un compositeur de style « romantique », dans la lignée de Brahms ou Beethoven. Ensuite il compose dans le style « Sprechgesang Son activité de professeurs de musque l’amène à créer, avec es ?lèves Anton Webern et Alban Berg, la seconde École de Vienne.

Cette institution créée le dodécaphonisme et le sérialisme. L’année 1933 est décisive : il se reconvertie au judaïsme (qu’il a abandonné en 1898 pour le protestantisme afin d’échapper ? l’antisémitisme furieux qui sévit en Autriche). Considéré comme « dégénéré » par le régime NAZI, Schônberg est contraint de fuir son pays et part définitivement pour les Etats Unies. Il américanise l’orthographe de son nom en replacent le ô par Oer il écrit dorénavant en anglais et devient citoyen américain en 1941. Il. Présentation de rœuvre

Arnold Schonberg a composé un survivant de Varsovie en 1948. L’œuvre dure 7 minutes, d’un seul tenant, pour voix soliste un homme, un chœur d’hommes et un orchestre symphonique, de genre oratorio (œuvre chantée et accompagnée d’un orchestre mais non représentée, c’est a die sans décors et costumes). Le texte et en anglais, allemand et hébreu. Cette œuvre est une com mande de la fondation Koussewitzky (créée par le chef d’orchestr e russe du même nom, naturalisé américain) L’orchestre se compose de : Flûtes, hautbois, clarinettes et bassons pour les bois Cors, trompettes, trombones et tuba pour les