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Les facteurs sociaux On a toujours véhiculé un modèle Idéal de beauté, mais avec les années, ce modèle est devenu de plus en plus mince, voire maigre. Les médias contribuent à véhiculer plusieurs clichés et normes qui font pression sur les femmes et les poussent souvent à suivre des régimes draconiens néfastes pour leur santé. Le culte de la minceur s’inscrit dans une stratégie de mise en marché de plusieurs billions de dollars.

La femme doit paraître soumise : on valorise la femme-objet, fragile et dépendante. Bref, ces idéaux de minceur sont des outils marketing qui permettent e faire rouler une industrie prolifique. Les pressions sociale formes de boulimie, trouble qui semble a dernières années et Svp next page ux différentes effet, c’est un ent au cours des ns les sociétés industrialisées.

L’anorexie en revanche est présente partout, sur tous les continents et depuis très longtemps; on y associe donc moins les facteurs sociaux comme cause. Les régimes Les médias diffusent énormément de publicité quant aux fameux régimes miracles et autres diètes infaillibles. En fait, dans le cas des personnes dont les prédispositions génétiques sont avorables aux troubles de l’alimentation, les régimes agiront souvent en tant que déclencheur du trouble.

Le premier geste ? poser est sans doute d’arrêter les régimes. Les régimes ont aussi un effet physique néfaste : un régime modéré de 3 semaines altère les fonctions cérébrales et réduit les L’influence familiale Le Academy of Eating Disorders (2010) admet que les facteurs familiaux peuvent jouer un rôle dans l’apparition et le maintien d’un trouble de l’alimentation, mais qu’ils ne sont en aucun cas la cause unique ni même principale du développement d’un trouble e l’alimentation.

Les facteurs psychologiques Les troubles de l’alimentation cohabitent souvent avec des troubles affectifs, des troubles anxieux et des troubles du contrôle des impulsions. Parfois, les troubles de l’alimentation coexistent aussi avec des problèmes de contrôle du comportement, de l’émotivité négative, de l’autocritique ou du perfectionnisme mésadapté.

I y a toutefois des différences énormes entre les individus: Un tiers environ des personnes qui souffrent d’un trouble de l’alimentation sont franchement « déréglées » : elles sont mpulsives et Instables émotionnellement un autre tiers sont « sur-réglées »: elles sont inhibées et en contrôle extrême de leurs émotions Enfin le dernier tiers ne présente aucune psychopathologie En d’autres termes, les troubles de l’alimentation touchent toutes sortes de personnes.

Ces différences laissent croire que les troubles de l’alimentation résultent de différentes expositions ? des risques divers, et plus important encore, que les traitements doivent être individualisés. Les conséquences Conséquences psychologiques Anxiété Impulsivité Repli sur soi 2