TPE Sous Cultures Intro

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TPE Sous-Cultures Introduction : Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, les pays industriels se reconstruisent, les activités économiques reprennent , ce qui donne naissance aux « Trente Glorieuses « periode de forte croissance economique qui touche la grande majorité des pays développés Les sociétés s’en trouvent profondément transformées. L’enrichissement permet une hausse du niveau de vie. Les ménages s’équipent de produits qui améliorent leur confort ; une société d’abondance se met en place, la consommation est stimulée et stimule elle-même l’activité économique.

En effet les « Trente Glorieuses « amènent la société de consommation en Europe, société dans laquelle Swipe to nex: page l’achat de biens de c la finalité de celle-ci , fondé sur la stimulatl des biens , la conso neccessité mais a un or7 Snipe to S le principe et ique est alors ir de consommer lus alors a une Par opposition à la culture de la societ de consommation, un esprit contestataire nait a partir des années 70. Les contres cultures et sous-cultures apparaissent, mouvements construits sur Popposition à la culture dominante.

En sociologie et au sens large, une culture désigne l’ensemble des ignes distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérlsent une société ou un groupe soclal. Une sous culture est une culture (revendiquée ou cachée) partagée par un groupe d’individu d’individus, se différenciant ainsi des cultures plus larges auxquelles il appartient. Une sous culture peut se ramifier voire devenir une culture alternative ou une contre culture en se conscientisant davantage et en se positionnant clalrement vis-à- vis de la culture dominante.

Le phénomène de sous culture est associé en sociologie a la déviance, notion sociologique qui désigne les conduites que les embres d’une société réprouvent ou sanctionnent parce qu’ils les considèrent comme non conformes à leur propres normes et valeurs. Dans ce TPE, nous ciblerons les sous cultures qui se sont écarté de manière concrète de la culture dominante et qui rejettent une grande partie des notions conventionnelles de notre société : Les sous cultures Punk, Hippie , et biker. -La Sous Culture Punk Le mouvement punk est né au milieu des années 1970, au départ le punk était un genre musical dérivé du rock , caractérisé par des mélodies simples et primitives mettant délibérément raccent sur e manque de virtuosité, les paroles, quant à elles, ont apporté une nouvelle radicalité d’expression dans les sujets politiques et sociaux, traitant souvent de l’ennui urbain et du chômage. Le Punk est souvent associé a des slogans tel que « no future » ou « punks not dead » scandés par des groupes comme « the sex pistols D, considérés comme les initiateurs du mouvement Punk au Royaume Uni.

La première vague de musique punk a alors pour but d’être agressivement moderne, s’écartant de la musique sentimentale du rock du début des années 1970, le punk est alors p PAG » rif 7 e la musique sentimentale du rock du début des années 1970, le punk est alors plus qu’une musique , c’est une pensée et un état d’esprit. Avant les années 1970, le mot punk, d’une érymologie obscure et vieux de plusieurs siècles, est utilisé communément pour décrire « un jeune escroc, un gangster, un voyou, ou un truand.

L’idéologie punk est liée à la contestation de l’ordre établi, ? la notion de liberté individuelle et à l’anarchie, elle se base notamment sur des concepts existentialistes, individualistes et anti-autoritaires ,prônant une liberté maximale et une absence otale de restrictions, ce qui mène bon nombre de punks à vivre dans la rue , vivant d’aides sociales et de mendicité, mettant en avant l’improvisation, la singularité et le désordre, voire l’émeute.

Les groupes punk alternatifs comme Bérurier Noir ou Crass ont par exemple imposé des places de concert moins chères, les Travellers ont inventé des modes de vie alternatifs, le mouvement des squats est également issu de l’autonomie active voulue et animée par l’esprit originel du mouvement, qui cherche d’abord ? vivre autrement et remet en questlon le mode de vie bourgeois raditionnel. ? l’origine, les punks, qui baignent dans la fin des illusions hippies des années 1970, sont souvent des individus créatifs qui redoublent d’énergie devant la vision très négative du monde et de l’avenir face à l’ennui et l’asphyxie qui se présentent à la jeunesse. Alors que la musique Disco domine, ils vivent l’amusement frivole comme une tromperie ringarde et se tournent vers une autre musi PAGF3C,F7 ils vivent l’amusement frivole comme une tromperie ringarde et se tournent vers une autre musique brute et rebelle, expression du désœuvrement moral de la jeunesse.

Beaucoup plongent dans la drogue, le refus de tout et la musique non-conventionnelle cette musique traduit alors un esprit de révolte contre un système qui ne leur offrait aucun avenir, s’insurgeant face ? l’ordre établi et la morale bourgeoise. Le punk est souvent considéré comme l’héritier de la philosophie cynique, radicalement antimatérialiste et anticonformistes. Les Cyniques proposaient une autre pratique de la philosophie et de la vie en général, subversive et jubilatoire, plaçant comme valeur première l’auto-suffisance, c’est-à-dire le fait de savoir se ontenter du minimum sans accorder d’importances aux luxes superflus.

On retrouve ce principe dans l’idéal d’auto-gestion des punks. Ils revendiquaient un aspect populaire du cynisme, le mode de vie Punk se voulant cohérent sans requérir des dispositions intellectuelles élevées et le cynisme était considéré comme « la voie la plus courte vers la philosophie » enseignant la désinvolture et l’humilité. Le punk reprend aussi certains aspects de la philosophie de Nietzsche, méprisant les conventions sociales, l’ordre établi, la hiérarchie, ironisant sur la valeur de la VIe sans avenir.

La « philosophie punk » se caractérise par l’esprit de subversion, par le détournement des codes, la dérision et l’anticapitalisme, contrairement aux idées reçues, le nihilisme ne correspond pas réellement à l’idéologie punk, les punks étant souvent idées reçues, le nihilisme ne correspond pas réellement ? l’idéologie punk, les punks étant souvent actifs et engagés, socialement et politiquement.

Dès le début des années 1980, une nouvelle forme de révolte prend place : beaucoup de groupes punk se politisent, pour le droit des femmes, contre le racisme, énonçant l’état du monde, l’égoïsme des hommes, et militant en musique pour un monde plus noble, plus libre. Lester Bangs, écrivain, journaliste, critique musical et musicien, déclare dés 1977 que le punk est mort.

Il met alors en lumière le paradoxe de l’idéologie punk : le punk originel étant associé au symbole de « l’épingle à nourrice » qui est le sommet de la représentation du néant. Le punk est donc, considéré sous cet angle, associé à une symbolique du néant, nihiliste au point de nier sa propre existence, s’il ne peut exister, il est mort ? l’avance. Or, avec son explosion médiatique en 1977, le punk a nécessairement existé, ce qui aurait provoqué sa mort.

En un sens, le punk est le néant : il porte un nom, mais n’existe pas tangiblement. Il est donc mort mais existe quand même. Des groupes tels que Crass reprochent au Punk d’être devenu une mode, notamment en s’en prenant à la tournure qu’a prise The Clash à cette époque en signant avec une grosse maison de disque, symbole de la perte d’authenticité du mouvement, reléguant l’esprit indépendant du punk a une simple musique tout public.

Le mouvement punk rejetant les étiquettes et militant our une attitude dont le but n’est pas de s’afficher en tant que punk, mais d’agir pour des caus punk, mais d’agir pour des causes bien réelles, les punks étant majoritairement actifs et engagés, socialement et politiquement. Le punk a émergé aux Etats unis , mais l’essentiel du mouvement reste associé au Royaume Uni, Il est intéressant de voir que le mouvement a pris, dans les années 90 dans un état socialiste de l’est comme la RDA la forme d’une lutte politique.

Etre punk impliquait des prises de risques bien plus importantes que dans les rues londoniennes. La STASI (Le Ministère de la Sécurité ‘État était le service de police politique, de renseignements, d’espionnage et de contre-espionnage de la République démocratique allemande ) traquait les membres des groupes et tentat de les déstabiliser par tous les moyens : interdiction pour eux de pénétrer dans les centres villes, amendes ? répétitions, pressions sur les familles, menaces d’envoi à l’armée et nombreuses convocations au commissariat qui aboutissaient parfois à la prison.

La façon de penser caractéristique des punks est aussi véhiculé par leur apparence, par laquelle ils se démarquent du reste e leur société, elle est aussi une manière de choquer et de provoquer cette société qui les rejette et ne leur laisse rien, leur symbolique visuelle comporte souvent des images associées ? la mort, la violence et la destruction.

Au dela de la traditionnelle veste a patchs a l’effigie des groupes les plus populaires, les punk privilégient les vetement déchirés, et arborent des iroquoises teintées de rouge ou de vert marqua teintées de rouge ou de vert marquant une volonté d’ éclatement des codes et des formes traditionnelles du rock dépassées Concluslon :

L’expression punk reste associée aujourd’hui à la période 1976-1980, incarnée par les Sex Pistols, The Clash, The Damned, les Ramones, Strychnine et Stalag en France, et à une nouvelle forme d’énergie, d’esthétique et de radicalité prenant le pas sur la contestation hippie de la décennie précédente. Dans la mémoire collective, le punk reste un mouvement identitaire rebelle et nihiliste qui a créé la polémique. Malgré toutes les pressions, le punk a apporté un bol d’air à une jeunesse en quête d’identité propre et d’un autre rôle que celul de « atière première » du capitalisme et du socialisme.

Chaque courant ou sous-genre né de la mouvance punk nécessiterait une étude complète à lui seul. Depuis 1977, le mouvement initial a donné de la matière à de nombreux mouvements successeurs et continuateurs. Certains pensent que le punk actuel a perdu de sa substance, le son punk s’intégrant de plus en plus à la musique pop ce qui aurait fait passer cette culture contestataire, subversive et anticonformiste à quelque chose de plus « écoutable » et de polissé. Bibliographie http://fr. wikipedia. ore/wiki