temoignage
Français d’origine magrébine et musulman non pratiquant je suis triste, de constater la réalité que nous subissons, Il faut accepter la liberté de chacun. La liberté de partager un avis, ou la liberté d’être contre. Personne n’a le droit de mourir pour s’être exprimé. Ces criminels ne représentent pas la majorité des musulmans. Ces barbares ne sont pas l’islam ; ils sont le fardeau de rislam. Je suis triste, de devoir subir les conséquences de leurs gissements, de voir la tournure prise par les événements.
Triste d’observer les personnes tomber dans le piège de l’amalgame. Triste, de lire sur les réseaux sociaux que « c’est la faute des arabes », qu’il faut « lutter contre eux ,ouvrir les yeux et ne pas se laisser faire par une c faut renvoyer chez e Eux, qui sont nés en familles et travaillent Eux, qui sont Françai Swip next page Sv. ‘ipe to à faire ici et qu’il udier, fonder des de peau, leurs c croyances. Eux, qui chérissent la France.
Triste, de devoir se battre dans un pays auquel tu appartiens, qul t’a vu naitre. Je suis triste, de voir des femmes, des hommes, des étudiants, des enfants sans problèmes et porteurs de valeurs de liberté, d’égalité entre les personnes se voir stigmatisés de la sorte. Triste, d’observer avec impuissance la manière dont notre société se déchire. Peu à peu divisée, sur fond de religion. Triste, de voir certains partisans d’extrême droite remuer le outeau dans une plaie déjà délicate à panser.
Blessé, face à leur volonté de creuser sans relâche un fossé qui n’a lieu d’être. un fossé dans lequel il est interdit de tomber. Un fossé que nous devons franchir, ensemble, les uns vers les autres, aussi long soit le chemin pour le contourner. la mixité et l’union sont nos forces, que l’on doit faire valoir dans notre quête de liberté. N’oublions pas ce qui est marqué sur les fronton de nos mairies: 2