Teffal Mohamed Amine Analyse litt raire
Teffal Mohamed Amine Analyse littéraire : Rue Deschambault Récit choisi : La voix des étangs Date : 21 octobre 201 OF4 Collège Maisonneuve p g Carl Diotte Écriture et littérature Nombre de mots : 98 Le roman Rue Deschambault raconte une quête d’identité sur le personnage créé par Gabrielle Roy. Celui-ci apprend à travers les drames, des nouvelles émotions comme la tristesse et le chagrin qui lui feront voir la vie sous un autre jour.
Dans le texte La voix des étangs », on voit ressentir ce personnage nommé Christine, un amour tout à fait oudain pour l’écriture. Cet amour et ce bonheur se voient un tant soit peu bouleversés par le choc de la réalité réalisée par celle-ci à travers les dires de la mère. Dans ce même extrait, deux idées principales seront l’impression d’une chaine en elle. Cette chaine l’emprisonnait, cela donnait une joie qui ne voulait plus la quitter, elle n’arrivait plus ? penser ? autre chose et cette idée ne voulait plus quitter son esprit.
Une énumération montre aussi cette joie toujours aussi présente : « J’avais été ‘enfant qui lit en cachette de tous, et à présent je voulais être moi-meme ce livre chéri, cette vie des pages entre les mains d’un être anonyme, femme, enfant, compagnon que je retiendrais à moi quelques heures. » Les mots « être anonyme « femme « enfant », « compagnon » sont de même catégorie grammaticale et sont énumérés l’un à la suite de l’autre.
L’énumération suggère la joie immense que Christine ressent ? l’idée qu’elle deviendrait écrivaine et que plusieurs personnes de tous ages liraient ses œuvres. Une personnification illustre encore ce onheur : « Y a- t-il un silence plus amical, une entente plus parfaite? »(P. 228) Cauteur donne une caractéristique humaine au silence, en l’occurrence, le mot «amicale» est utilisé.
Cette personnification montre à quel point Christine apprécie l’écriture et qu’elle aime tout ce qui est relié à cette vocation qu’elle espère faire. Pour elle, il ny a rien de comparable à cela, ceci est le bonheur parfait et lui permet de ressentir un enthousiasme sans égal. 2 voulait devenir écrivaine, lui fit ressentir le choc de la réalité n lui montrant tous les sacrifices et les conséquences liés à cette vocation.
Une antithèse le montre très bien : « D’abord, il faut le don; si on ne l’a pas, c’est un crève-cœur; mais, si on l’a, c’est peut-être également Ce passage rapproche deux mots qui sont opposés : le don qui, habituellement, est considéré comme quelque chose de bien et ce qui est terrible. La mère de Christine lui montre à quel point cela peut être difficile d’être écrivaine car, dans tous les cas, qu’elle ait le don pour l’écriture ou pas, ce sera dur car, cela demande beaucoup ‘exigences et de sacrifices comme la solitude.
Une gradation illustre aussi ce choc de la réalité montrée par sa mère : « Elle m’a laissée à la nuit, au grenier solitaire, à l’immense tristesse du pays noir »(P. 230) Les mots « nuit grenier solitaire et « l’immense tristesse du pays noir », présentent une énumération dans laquelle ils sont disposés dans un ordre de progresslon croissant en ayant de plus en plus de puissance. En partant et en laissant Christine tout seul au grenier, on s’aperçoit à quel point les dires de sa ère étaient significatifs.
Elle se sent abandonnée par sa mère, elle se sent tout seul, tout est sombre, elle ne voit plus clair et elle ne sait plus quol faire face à la réalité présentée ar sa mère. Enfin, une accumulation 3 j’espérais encore que je pourrais tout avoir : et la vie et aussi temps de capter son retentissement au fond de l’âme ; le temps de marcher et le temps de marcher et le temps de m’arrêter pour comprendre ; le temps de m’isoler un peu sur la route et puis de rattraper les autres, de les rejoindre et de crier joyeusement attendez- ol donc »(P. 30) Dans ce passage, il y a une énumération de groupes de mots qui représentent une même réalité. Cela nous montre à quel point Christine est en quelque sorte perdue, ne sachant pas quoi faire, elle voudrait avoir le temps de comprendre, elle aurait voulu tout avoir dans cette vie difficile pleine d’exigences. À travers cette analyse, nous avons découvert la vocation d’écrivaine de Christine dans le récit « La voix des étangs Deux idées principales ressortent dans ce récit.
Ily a l’enthousiasme lié à sa révélation de ocation d’écrivaine dans lequel elle pense à toutes les possibilités qu’offre ce métier et tout qui lui plait entourant celui-ci. Ily a également le choc de la réalité rapportée par sa mère et toutes conséquences que doit endosser une écrivaine qui fait complètement basculer les émotions de Christine la rendant encore plus seule. Sa mère est plusieurs fois intervenue dans la vie de sa fille pour ainsi lui montrer la vérité de ce monde. Elle la c Wilhelm pour qui 4 4 vérité de ce monde. Elle la fait aussi avec Wilhelm pour qui