TD2 Ethique
‘Aristotélisme. Ethique a nicomaque: Il attire Ihamme vers le souverain bien. L’accomplissement moral de chacun mais l’objectif est aussi d’éclairer le politique dans une Ethique civique collective. Aristote début l’étique a nicomaque par le finalisme universel. Dans ce libre 1 il affirme que toutes les actions tendent vers un bien: thèse du finalisme universel: multiplicité daçtion auquel correspond une multiplicité de fin.
Aristote nous dit qu’il existe une fin ultime, j e fin qui se suffie a elle meme, vers laquelle toutes les autres fin convergent. II pause une hiérarchie des fin et to neKtÇEge sette fin ultime Cest pour lui le bonheur. Cette définition du b 1. Çette thèse du sou ra. or7 Notre enquête estu f02, est un animal politiq Ihomme a besoin de n bien des le livre rale que politique. istote est pour lui ureux isolement, (on le verra avec le texte sur l’amitié (sur la philia) donc il ne saurait y avoir de véritable bonheur sans la vie en communauté.
Aristote est parti des opinions communes (ça fait parti de ses méthodes), il reconnaît que tout les hommes s’accordent sur le ait que le bonheur est un souverain bien. Le bonheur varie en fonction des personnes, pour certains Cest le pouvoir, pour dautres çest la jouissance= aristote n’écarte aucune de c Swipe to View next page ces réponses, il dit juste que ces réponses sont incompétentes et Cest de la que commence l’anquete philosphique.
Il va se demander : « Peut être pourrait on y arriver si on déterminait la fonction de ‘homme » il part à la recherche d’une fonction natuelle de Ihomme qui serait son essence, son oeuvre propre. Pour cela il va procéder par élimination (ça fait parti de sa methode), il dit que Ca nep eut las etre la vie de croissance et de nutrition, ni la vie des sens (tout cela est commun aux animaux). Qu’est çe que Ihomme a de particulier? ‘Une certaine vie pratique de la partie rationnelle de l’âme » Cest a dire une vie conforme à la raison qui est propre de Ihomme.
Donc pour Aristote le bonheur parfait doit être conforme aux vertus de l’âme rationnelle. Le bonheur c’est une certaine vie pratique de la partie rationnelle de ‘âme: on peut entendre deux sens différents. les deux sens sens sont: au sens où l’âme est soumise à la raison, de l’autre ou l’âme possède la raison. Cela renvoie à la téorie aristotélicienne des parties de l’âme. L’âme est une et indivisible, mais pour des raison dexplicitzitons on peut distinguer différents vertus en fonctions de différents parties.
La partie Irrationnelle de l’âme et de l’autre la partie rationnelle de l’âme: chacune de ces deux parties va se dédoubler à nouveau: ans la partie irrationnelle, aristote distingue liâme nutritive (la partie qui est cause de croissance, qui est liée aux éléments de croissance et de PAG » rif 7 l’âme nutritive (la partie qui est cause de croissance, qui est liée aux éléments de croissance et de nutrition) et il nous parle de la partie désirante (çette partie concerne en fait les désires : les sensations de désir/ de plaisir de Ihomme).
L’âme désirante fait partir de la. e irrationnelle et aristote nous dit qu’elle a que,que chose avoir qjand meme avec la raison. Les désirs sont capable d’être soumis à la raison de la meme facon qu’un enfant serait capable d’obéir à son père. ( Cest l’analogie quil utilise) donc on est pas la partie irrationnelle mais il y a un rapoort avec la raison. Aristote parle de vertus morale dans l’âme irrationnelle: Vertus du caractere: douceur, générosité. our l’âme rationnelle: pour cela Aristote dédouble la partie scientifique et délibérative. La scientifique possède la vertu la plus importante, la Sophia (la sagesse, Cest la philosophie, Cest ‘intellectuel téorique) quand à la partie délibérative (vertus la plus haute) Cest l’intellectuel non pas en temps quil est téorique mais en temps quil est pratique: Cest l’intelligence mis au service des action juste et bonne dans le monde: la prudence (fronesis).
Toutes çes vertus, aristote dit qu’elles sont dianoethique (intelleçtuelle). Le bonheur de I ethique (livre 1) on peut se demander si ça fait daristote un utilitariste. Ily a deux possibilités de montrer que aristote nest pas utilitariste: 1) l’éthique aristotélicienne nest pas encore utilitariste PAGF3C,F7