TD3 Ethique

essay A+

Tableau donné: dans chaque domaines il y a une vertu précise de l’Ethique a N et pour chacune de ces vertus il y a des vices associés. Ex: la tempérance liée à la débauche, dans le domaine de la peur on a la vertu du courage, dans le domaine de la colère on a la douceur (douceur du caractère) Aristote parle des colériques comme les pires personnes ? côtoyer. La libéralité est à traduire comme générosité. Dans les honneurs il y maniabilité très proche de la conscience en soit, estime de soi.. mais toujours dans une perspective morale.

Lhomme vaniteux opposé à l’homme d’une timidité excessive. Swipe to page La jactance est le fait Barrer rusticité et me e a org Aristote nous dit que to vieu quand on ajoute un s l’am comme vertu à autrui. Le premier commentaire qu’appelle ce tableau : dimension temporelle, contextuelle. Par exemple, aujourdhui on peut retenir un enjeu qui peut être retenu parce qu’il y a une littérature importante sur ce sujet. On assiste a un renouveau de la pensé des vertus sur la crise environnementale. On peut y distinguer les grandes traditions éthique.

Une approche déontologiste, utilltariste et par la pensée des vertus. On assiste a un renouveau de la pensée des vertus sur ce sujet. On remarque une impuissance sur la question de la gestion de l’environnement. Plutôt que d’appeler a de grands principes de justice, on va croire au potentiel des vertus. Alaine Thompson « adaptation éthique au changement climatique des vertus humaine du futur » : le pari de ce livre est de dire que l’enjeu n’est pas qu’économique mais aussi éthique. Nous nous devons de modifier l’idée que nous avons de nous faire.

Nous nous devons de repenser la manière dont l’homme s’insère dans le monde. Le fil directeur du livre est « comment transformer nos propres représentation afin de s’insérer de meilleure façon dans un contexte global tout en réalisant une certaine forme d’excellence humaine qui correspondent aux enjeux contemporains? » Donc en fait on va chercher ici à comprendre l’épanouissement humain (on est dans une démarche aristotélicienne) mais ce qui compte c’est le caractere, on va chercher à ajuster ces caractères, autrement dit on va partir à la echercher des vertus du futur.

L’ouvrage est divisé en 3 parties avec différents chapitres ou on a des vertus écologiques du futur, par exemple la vertus de responsabilité (le devoir de répondre de ses actes. ) Une vertus de responsabilité, une vertu dhumilité également (humilité de place infime de l’être humain face ? l’immensité de la nature et de l’Humanité). Il y a des cas ou Aristote ne reconnait pas la médiété (la pertinence du juste milieux) par exemple pour le vole, pour le meurtre il dit que c’est évident que la médiété ne vaut pas.

On a des actes qui ne seront pas concernés : elle nous renvoie au livre 2, chapitre 6 de l’éthique a Nicomaque. Aristote dit «pour certaines action leur seule déno certaines action leur seule dénomination implique la perversité immédiate par exemple l’adultère, le vole, l’homicide». «le bien ou le mal ne dépend plus des circonstance» «c’est le simple fait d’en connaître un qui est une faute» Mode d’acquisition des vertus, comment devenir vertueux. Aristote dit que le savoir théorique joue un rôle minime pour la possession des vertus.

La vertus nait de l’accomplissement répété des actions justes et vertueuses. Le bonheur est lui même un acte, il n’est pas lié à la possession de quelque chose. Un bonheur qui ne s’actualise pas n’est pas un bonheur. L’homme heureux, vertueux, est un homme qui agis bien. La contemplation est une activité, il n’y a pas de passivité dans la contemplation. L’homme peut s’immortaliser à divers instants dans l’activité contemplative mais de manière ponctuelle. Il a besoin d’amis pour exercer la vertus.

Le fait que la vertus soit une activité, ça rend compte, dans ‘Étique a Nicomaque, au fait que la vertus n’est pas juste un élément naturel. On a souvent reproché à Aristote de nous donner un destin tracé pour l’homme dans sa quête du bonheur, mais il ne faut pas tomber dans la caricature : Aristote n’a pas dit que les vertus étaient donnés par la nature. Chapitre 1, livre 2 « Ce n’est ni par nature à contrairement à la nature que les vertus naissent en nous, mais la nature nous à donner la capacité de les recevoir et cette capacité est amené à maturité par l’habitude ». Donc