Syntheseee
Ce texte d’Alain , extrait de la Philosophie , porte sur la place de rellglon comme rem texte S. wp next page face à la mort Le interroge donc sur la nécessité de la religion aux hommes . Cette question relève d’un problème philosophique . En effet la question est de savoir si la religion n’est là que pour nous aider à surmonter des épreuves et à ne pas sombrer face à notre existence qui aboutit à la mort , et qu’elle n’a été créée que dans ce but précis .
Dans ce texte Alain critique certains aspects de la distingué , Alain oppose au début du texte l’attitude e l’homme debout ( celui qui affronte la vie ) à celle de l’homme assis, couché ou genoux ( attitude caractéristique de l’homme soumis et qui sont des positions adoptées lors de patriques religieuse ) puis l’auteur part d’une annecdote : la description d’un enterrement de village qui symbolise la communauté qui se rassemble pour affronter la mort de l’un de ses membres . ‘homme , dans un moment comme celui-ci doit faire face à ça mortalité , il se sait mortel .
Ainsi « Dans ces formes Justes, dans le chant liturgique , dans les replis de la cérémonie on percevait la mesure écence convenables à des vivants qui se savent mortels » , l’auteur nous expose les rituels religieux ainsi que le fait que l’homme dans un moment pareil a conscience de sa mortalité . Cette mortalité est comparee a une charge que l’homme porte sur ses é aules , un fardeau pesant et constant : 2 son destin . Il tient à nous rappeler que nous sommes tous mortels . Dans un deuxieme temps l’auteur nous montre à quoi se rattache l’homme pour continuer à vivre cette existence absurde .
En effet l’homme se rattache à des rituels inventés par lui dans le but « d’apprivoiser » cette finitude . Les pratiques humaines bien réglées telle qu’on les observe dans la pratique religieuse servent à discipliner le désespoir » il dit qu’il « faut des choses humaines comme l’ogive et les discours liturgiques ; des choses humaines qui soient bien appuyées par terre , qui soient bien égales des deux coté , et qui marchent selon une règle… » . Il évoque ici le besoin de discipline , de règles pour nous guider dans notre chagrin , pour rester dans le droit chemin et ne pas sombrer .
Lhomme a besoin de choses concrètes 3 ordonnées car nous devons suivre et etre guidés par une chose concrète et ationnelle car sans cela nous serions perdus et livré à nous meme face quelque chose qui nous dépasse . Selon lui , il n’y a rien de surnaturel dans ces rites , ils ont pour fonction de rendre la vie humaine plus acceptable . Dans un troisieme temps l’auteur évoque la détresse dans laquelle seraient plongés les hommes sans ces pratiques les gens seraient face leur propre malheur ce serait alors le chaos .
On peut dire que grace a ces rituels la mort est apprivoisée et donc mieux reçue . La lors de l’enterrement se rassemble pour soutenir les proches de la personne décédée et affronter la perspective de notre propre mort aquelle nous renvoie toujours la mort d’un proche . Selon Alain les hommes ont raison d’etre désespérés « Parble 4 OF lait , qui donc dans cette mort , la religion ou du moins les pratiques qui la définisse seraient la solution au désespoir .
De plus la beauté religieuse nous tiendrait dans l’accompagnement aux proches et à nous meme et ne pas se laisser prendre par la perte , rester digne et fort « la cérémonie habille les douleurs comme il le faut » L’auteur veut donc nous montrer que l’homme a besoin de ces rites pour cacher et contenir ça douleur . Ces rites servent non seulement nous aider ne pas sombrer dans un profond désespoir mais aussi se contenir face une situation pareil , pour l’auteur les choses concrètes tels que les rites sont indispenssables pour la vie de l’homme, nous dépendons tous de quelque chose .
Dans la dern ère partie du texte on trouve une affirmation très paradoxale : « la religion e S t le reste , et menteuse d’affronter l’existence humaine qui sans elles serait insupportable . L’auteur remet en cause son existence car si la vie humaine est aussi injuste et absurde aucun Dieu ne peut exister « Car s’il y avait un Dieu au ciel comment ne pas crier de terreur ou de colère ? » Cest la aison commmune qui fait que nous ne sombrons pas et surmontons la peine : « d’où chacun sait bien qu’il faut se redresser et regarder au loin , par-dessus les peines. Puis Alain termine son texte exactement sur ce qu’il avait dit au début de l’extrait mais qui se trouve justifié par des arguments développés tout au long du texte . De plus cette phrase est comme une boucle , un cercle sans fin , un jour on assiste à la mort puis c’est à notre tour . Malgrès le fait que la vie se termine , on doit la vivre , se redresser et affronter les obstacles , ce qui nous permet de le faire sont les choses en lesquelles nous croyons .