Question Sur Corpus

essay A

Question sur corpus Les trois textes mettent tous en scène la mort de l’héroÎne. Il y aura un texte de rAbbé Prévost, auteur du Siècle des Lumières, puis un texte de Chateaubriand, un auteur du romantique et enfin un texte de Flaubert, un auteur réaliste . Nous nous demanderons donc quelle vision de la mort apporte ces differents textes . Dans les 3 textes , la vision de la mort est omniprésente et décrite de façon similaire mais le ton des auteurs est different. Le texte Manon Lescaut est du registre pathétique , le texte Atala est du registre lyrique et le texte de Flaubert est du registre tragique. texte de Flaubert est au point de vue omniscient, celui de L’Abbé p g Prevost est au point est au point de vue e differents. Tout d’abord dans to des femmes « Mano nir le texte Atala les 3 points de vue nes mortes sont dans le premier « la mort de sa bien aimée » dans le second puis « Emma Bovary se suicide à rarsenic » dans le dernier texte Dans le texte de L ‘Abbé Prévost et celui de Chateaubriand , les auteurs ont choisi de caractériser la mort avec des euphémismes Swipe to page afin de rendre cette mort moins douloureuse « sa dernière heure » , « Atala venait d’expirer ».

Dans le texte de Chateaubriand, la religion joue un rôle primordial dans l’atténuation de la mort car la religion permet de soulager et de relativiser la perte d’un être aimé, la présence du champs lexical évoque aussi cette idée « prêtre ,prosterner, Dieu , tabernacle La religion est aussi évoqué dans Mme Bovary mais plus rarement « râle, oraisons, crucifix, prière ». Le dernier texte est le plus réaliste, le plus « noir » et le plus évocateur de cette mort. Dans Mme Bovary, la mort est plus brutale ce qui provoque pour le lecteur de la peur de mourir dans la souffrance par rapport aux deux précédents extes.

Le texte de Flaubert reflète les souffrances physiques liées à la fin de vie d’un être humain « Sa poitrine aussitôt se mit à haleter rapidement. La langue tout entière sortit hors de la bouche ; ses yeux. en roulant, pâlissaient comme deux globes de lampe qui s’éteignent à la croire déjà morte, sans l’effrayante accélération de ses côtes secouées par un souffle furieux comme si l’âme eût fait des bonds pour se détacher Le réalisme est parfaitement démontré ici, on pourrait même faire une peinture de cette scène vu la précision des informations. Dans 2