Suffit-il pour être juste d’être dans son droit ?
Définir le sujet . L’Epreuve Au lycée, une épreuve importante attend les élèves de première: l’épreuve orale anticipée de français. Afin de mieux comprendre comment se passe celle-ci, deux élèves de premiere S ont rédigé un article. Il y a trois semaines français. Cet examen épreuves de cette m Celle_ci e s commentaire de text re du réa mon oral blanc de ne des deux la fin de Fannée de eux parties : un n entretien. C’est donc avec un peu d’anxiété que j’ai commencé à réviser cette épreuve, deux semaines avant la date fatidique.
Toutefois, ce stress m’a permis de réviser mieux et plus vite. Puis, arrive le matin de ‘épreuve. Après m’être munis de mon courage, de ma carte d’identité et de ma convocation, je me suis rendu devant la salle, dix minutes avant l’heure comme l’usage le voulait. Comme je suis de nature impatiente, ce temps m’a parut durer une heure et mon stress a alors atteint son paroxysme. Ensuite, la porte s’ouvrit et un professeur, en apparence sympathique, m’accueillit. Elle me donna le texte à analyser et me lut la problématique.
Le texte en question me paraissait facile, je l’avais l’avais révisé la veille, mais la problématique, elle, me semblait étrange. Je me suis donc installé au fond de la salle. Après avoir lu le texte avec attention, l’analyse faite en classe me revient en tête et la problématique s’éclaircit. En effet, le plan réalisé en cour s’adaptait bien à celle-ci, sans trop de modification. Toutefois, ce fut assez difficile de se concentrer : rélève convoqué avant moi expliquait son analyse de texte. Bien évidemment, notre sujet ‘étude n’était pas le même, cela aurait été trop facile.
Armé de mon stylo, je me suis mis à rédigé des notes. Mais je ne vis pas le temps passer et les trente minutes s’écoulèrent. Quand je fus appelé, je n’avais pas eu le temps de réfléchir à la conclusion. Mon Introduction était brève et précise mais j’eus quelques petites difficultés à lire le texte sous reffet de l’anxiété. puis, avec confiance, j’abordais le développement. Le fait que je sois le seul à parler me déconcerta quelque peu. Le temps passait vite et ‘arrivai à la conclusion. Je sus en improviser une assez facilement.
Celle-ci était un peu courte mais elle résumait bien les grandes parties de mon développement. Par contre, pour l’ouverture, je n’avais pas vraiment d’idée, je n’ai donc put en faire. Cette première partie étant passé, je pensais d’ailleurs m’en être bien sorti, j’abordai la sui 2 première partie étant passé, je pensais d’ailleurs m’en être bien sorti, j’abordai la suite avec appréhension. En effet, mon professeur de français avait fait peu de cour sur Pentretient t avait principalement axé ceux-ci sur la première parti de l’épreuve.
Les questions commencèrent. Je sus répondre à la plupart des questions, me forçant à argumenter et à étoffer mes réponses afin d’être sûr de dire ce que le professeur attendait. C’était aussi un moyen d’éviter d’autres questions auxquels je n’aurais peut-être pas su répondre. Malheureusement, je ne répondis pas assez à une question, n’ayant pas bien cerné ce que mon interlocuteur attendait. Celle-ci en profita pour me dire tout ce que j’aurais pu dire ce qui me mit mal à l’aise.
Comme c’étais la dernière question et que les dix minutes s’était écoulées, le professeur me dit de prévenir l’élève suivant et de lui laisser le brouillon. J’obéis mais je n’en fus pas moins surpris : je n’avais pas été prévenu qu’il fallait rendre ses feuilles. Enfin, je pris mes affaires et je sortis de la salle. Je pensais m’être pas trop mal débrouillé mais comme c’était ma première épreuve de ce type, je ne pouvais être sur de rien. Tout de fois, un grand poids s’envola de mes épaules et mon stress s’env 3