Il ne suffit pas d’être un héros. Nous voulons être des vainqueurs.

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Français Dissertation Sujet : « Il ne suffit pas d’être un héros. Nous voulons être des vainqueurs. » Georges Clémenceau Vous arrivent- ils de poser ces questions à vos enfants : « Qui est ton héros préféré ou lequel voudrais-tu être ? » ? Certains petits garçons répondront « Batman » car il sauve des vies et protège la ville du danger avec sa « gatmobile contrairement aux petites filles qui vous répon c’est « Barbie » leur h et qu’un jour, elles ai que des personnage existé. m des sourires que elle des princesses le. Mais ce ne sont jamais réellement

Or, en affirmant : « Il ne suffit pas d’être un héros. Nous voulons être des vainqueurs. » Le chef du gouvernement français George Clémenceau (1841-1924) désapprouve le fait d’être un héros (et brise le rêve de chaque enfant) mais qu’il faut être un vainqueur. En employant le mot « vainqueur », ce nom débouche sur la victoire, qui est de synonyme avec le mot gagner ». La relation logique de cet énoncé est le but, car il nous montre qu’être un héro ne suffit pas mais qu’il faut être un vainqueur. Mais Georges Clémenceau a-t-il raison de dé page énigrer le mot « héros » ?

Quelles nuances peut-il avoir entre ces deux mots, et quels sont les points communs? Mais encore, pourquoi être un héro ne suffirait-il pas ? C’est ce que nous essayerons de clarlfier dans la discussion ? suivre. George Clémenceau était un grand homme français, a bataillé, s’est battu avec ses troupes dans différentes guerres, et est sorti souvent victorieux. Ce mot est relatif à la victoire et non ? l’héroÉme. Être un héros est d’une part égoïste, car un héro agit seul, ne pense pas forcément aux autres et au final n’atteint pas e victoire. renons la place du président qui a des hommes derrières lui, des familles, des enfants, des vies entières qui ne souhaitent qu’une seule chose que la guerre Sarrète et le mieux avec une victoire française. Cependant en gagnant cette guerre, tous ces hommes sont représentés comme des vainqueurs et non comme des héros car c’est tous ensembles qu’ils ont réussi, car tous seuls, an ne peut arriver à nos fins. Du point de vue du Président, il est compréhensible de dévaloriser le mot « héros », car il ne souhaite qu’une seule chose, e ne pas participer aux combats, mais de les gagner.

Certes le mot « héros » peut être vu également comme péjoratif car il est souvent représenté comme téméraire et superficiel. Contrairement au mot PAG » OF d comme péjoratif car il est souvent représenté comme téméraire et superficiel. Contrairement au mot « vainqueurs » qui est soutenu par le mot victoire et le fait d’être plusieurs personnes. Mals en revanche, le mot « héros » montre qu’en prenant des risques et en agissant seul, il ne met pas la vie des autres en danger et prends sur lui. C’est un coté valorisant.

Voici un exemple de 2 adolescents, de 17 et 19 ans, qui ont sauvé une octogénaire de la noyade. Cette dernière voulait mettre terme à ses jours et pour cela, la dame a enjambé la barrière de sécurité pour se jeter dans l’Aube. Les jeunes adultes n’ont pas hésité à braver le courant et le froid pour sauver la vieille dame. On peut parler ici d’acte d’hér01Sme, ils n’ont pas gagné une victoire mais ils ont sauvé la vie d’une dame en détresse. Cependant ils auraient pu également mourir car ils n’ont su évaluer le danger de leur acte.

Le point commun entre ces deux mats est le fait d’accomplir son propre but, de faire le bien autour de soi. Mais il est perçu sous différentes formes. Le fait de sauver des vies ou de gagner une bataille ont pour but d’en vouloir, de tout faire ce qui est possible, aller jusqu’au bout tant que nous sommes encore dans la course. Cette philosophie de vouloir réussir est bien pour notre mental, car en cas d’un éch course. Cette philosophie de vouloir réussir est bien pour notre mental, car en cas dun échec, on en ressortira encore plus fort our atteindre notre objectif. ?tre un héro ne suffit pas pour la société, car il fera une fois un acte positif, on le félicitera et il recevra sûrement une médaille pour acte de bravoure mais après quelques mois on l’aura oublié, c’est à peine si son nom nous reviendra à l’esprit. Tant dit que le maire de la ville, représenté comme vainqueur, fera aux mieux pour ces citoyens, en espérant que sa ville règne d’amour et de paix. Il devra montrer le bon exemple et le bon chemin à suivre. Etre un vainqueur, c’est une personne que l’on n’oubliera pas et ui guidera son prochain.

En conclusion, je partage l’idée qu’évoque la thèse soutenue cet énoncé par Georges Clémenceau car en tant que sportive, en entrant sur le terrain, il ne faut pas seulement participer au combat, mais se battre jusqu’au bout pour atteindre la victoire. Il faut en sortir victorieux et en équipe. Il faudra toujours notre leader représentatif, mais la victoire ne peut être acquise ensemble et non seul. Voilà ce qui prouve que selon moi, en étant un héro, seul, on ne peut aboutir à peu de choses.