Sommes Nous Alors Toujours Responsable De Ce Que Nous Faisons
Il est courant d’entendre les expressions « il était hors de lui » « il n’était plus lui même » pour décrire le comportement d’un individu. Ces formules révéleraient l’existence d’une force extérieure à l’individu et qui agirait à sa place. L’individu nia pas conscience de son comportement, il ne serait plus responsable de ses actions. Cest donc la notion de conscience et particulierement la place que tient notre conscience dans nos actes, donc de nos responsabilités qui est illustrée ici. Sommes nous alors toujours responsable de ce que nous faisons ? ouvons nous toujours décider de notre comportement ?
La responsabilité de nos actions nous sont elles exclusive ? Si nous ne sommes pas responsable de ce qu commencerons par n s caractère indissociab de la demanderons si notr Finalement nous nou la ilit ‘est ? Nous science et son uis nous nous nous déculpabiliser. ui entrave notre capacité à prendre conscience de nos actes. Faut-il penser que l’homme, de par sa conscience, doit être tenu responsable de tout ce qu’il entreprend ou bien qu’au contraire qu’il serait impossible pour lui d’accéder à un degré d’omniscience u’il lui permettrais d’entièrement contrôler ce qu’il fait?
La question de la responsabilité est intrinsèquement liée à celle de la conscience. En effet être responsable signifie que les co Swlpe to vlew nexr page conséquences de mes actions, bonnes ou mauvaises, m’incombent. Ainsi je dols être dans la mesure de rendre compte de mes actes, je dois les expliquer avec clairvoyance. par conséquent, l’explication de mes actes dépend de ce que j’ai perçu et donc de ma conscience au moment des faits. Si je suis conscient de ce qu’entrainera un de mes actes, je suis esponsable des conséquence et inversement.
Donc si il y a une fuite de gaz dont je n’ai pas la connaissance et que j’allume une allumette, je ne peut être tenu responsable des conséquences. La part de responsabilité qui m’incombe serait donc proportionnel à la quantité d’informations que je perçois. Ne serait ce pas l? une aubaine pour se décharger de toute responsabilité ? Cette vision de causalité ne peut être suffisante pour juger de la responsabilité. Contrairement aux animaux qui sont guidés par leur instinct, l’homme possède le pouvoir de raisonner. Dans l’exemple récédent nous avons admis que l’individu n’était pas responsable.
Mais le concept d’absence de connaissance ne peut être réductible au jugement de la responsabilité. En effet il suffirait alors de ne pas se renseigner avant d’agir et nous serions alors toujours disculpés. Il est donc du devoir de l’homme de réfléchir, d’anticiper les conséquences qu’auront ses actes. Si un maire signe un permis de construire, qu’il juge donc la zone sûre, mais que quelques années plus tard cette zone est inondée alors il est responsable. Ici l’absence de connaissance au moment de son acte ne permet pas de le déc