Sociologie serge paugam

essay A

Elles diffèrent selon le type de inefficacité de l’action sociale. D’une part certains individus font tout pour préserver leur entière dignité. Les fragiles intériorisés par exemple ne souhaitent pas avoir de contact avec les travailleurs sociaux, ils ont du mal à établir un lien. En effet d’après les témoignages recueillis, certains fragiles pensent qu’on se moquent d’eux lorsqu’ vont chercher des colis. Ils ont l’impression qu’on les regarde comme des « pestiférés ».

Aussi le fait de voir des « clochards » dans le hall du CAS. Ils ont peur qu’on les essaim swaps toi vie nées page Sociologie serge page premier boy déniées empâta 23, 2011 | 4 pages assimile à eux. Ils ne veulent pas qu’on les prennent pour des assistés. Aussi ils semblent honteux de vivre dans une cité et ils hésitent à recevoir des personne extérieures à la cité. D’une manière générale, ils refusent d’entretenir des relations avec ceux dont le statut social est inférieur au leur.

On retrouve ce phénomène dans le chapitre quatre où l’auteur explique les difficultés des habitants de la cité du point du jour à former un groupe solidaire. Ceci est la conséquence d’une hétérogénéité de la population. Les uns et les autres cherchent à rejeter la faute concernant leur datation sur ceux dont les difficultés sociales sont les plus importantes. En effet des tensions existent suite aux dégradations faites par des jeunes qui errent dans les espaces collectifs.

page insiste sur le fait du repli des ménages des laïcité pour éviter « les indésirables AI appelle cette stratégie « l’évidement ». De plus les personnes ayant le même statut social s’efforcent de créer des différences en accusant les autres d’être à l’origine de la dégradation de l’environnement « ils cassent tout », tout en leur reprochant de an pas payer leur loyer ou de ne faire aucune démarche pour s ‘en sortir. Cependant de an pas payer leur loyer ou de ne faire aucune démarche pour s ‘en sortir.

Cependant Serge page pose les limites de son approche des relations sociales car les caractéristiques décrites ne sont pas propres aux seules catégories en situations précaires. On peut les rencontrer dans la vie sociale de tout individu en raison du besoin de chacun de reconnaissance et de réalisation de soi. D’autre part certains « disqualifiés » entretiennent de fortes relations avec les travailleurs sociaux. Ceux qui vivent la fragilité négociée demandent des aides financières aux travailleurs sociaux et souhaitent garder le atout de consommateur.

Ils ne ressentent aucune humiliation à faire appel aux aides sociales. Pour les assistés, l’auteur différencie pour les trois expériences, le rapport que chacun entretient avec les travailleurs sociaux. De la distance est mise pour ceux qui vivent l’assistance différée car ils pensent qu’on porte atteinte à leur dépendance et à leur vie privée. Concernant l’assistance installée, les relations s’apparentent à de la coopération, à de la séduction et de l’appropriation.