Section littéraire

Lecture analytique Manon Lescaut Le roman au XVIIIe siècle est marqué par une recherche de naturel et de simplicité qui se traduit, de la part des romanciers, par le choix du récit à la 1ère personne, comme c’est le cas chez Marivaux dans La Vie de Marianne ou chez Prévost dans son Histoire du chevalier Des Grieux, récit à la 1ère personne que l’on retrouve également dans le roman épistolaire. Ces récits rétrospectifs à la première personne ont pour objet ppal l’expérience amoureuse et son rôle dans la formation du moi.

L’auteur du roman, Pabbé Prévost est un ersonnage contradictoire, partagé entre la rigueur de la morale S. v. p next page religieuse et son goû est aujourd’hui quasi chevalier des Grieux, Mémoires et aventur éclipsé le reste de l’ OF4 re, très abondante, t l’Histoire du dernier tome des té semble avoir histoire du chevalier des Crieux et de Manon Lescaut, le chevalier exprime son amour infini pour une libertine cupide pour qui les sentiments sont infinis Afin de répondre à votre question, je vous propose de vous pencher l’étude plan : Sur portrait de manon Le comportement de des grieux vis a vis

ShAipe to Wew next page d’emblée le lecteur capte les sentiments éprouvés par le Chevalier de Grieux, avec sa tournure hyperbolique « amour fatal » qui désigne un amour par contrainte, sans issu. II poursuit en utilisant les termes hyperboliques telles que «violer tous les devoirs » l’antagoniste est prêt à tout pour satisfaire les plaisirs de bien aimée.

Il compare cette dernière à une « créature » (connotation divine) pour une fois de plus signifier cet amour passionnel. De plus la tournure conditionnelle ligne manifeste son dévouement à la jeune femme, appuyée par a tournure hyperbolique et très imagée « précipiter du ciel » = il la compare à un objet « métaphore objet si charmant b.

Malgré cette passion, il a la décrit comme un sujet avare cupide notamment grâce à la formule subjonctive «ct des passes-temps et des plaisirs qu’il lui fallait » Cependant aucune description physique n’est donnée « créature d’un caractère extraordinaire » Il caractérise cette dernière, implicitement tel une jeune femme cupide avare voire matérialiste, la tournure parfaite » elle ne s’informait pas m quel était le fonds des richesses » démontre on attachement pour les plaisirs sans même prêter attention à la provenance de biens.

Cette remarque est accentuée par l’utilisation du pp pouvoir suivi du pp qui montre bel et bien un certain égocentrisme. ( 2 accentuée par l’utilisation du pp pouvoir suivi du pp qui montre bel et bien un certain égocentrisme. adverbe agréablement ») double hyperbole figure d’ampl’fication« éblouie par le faite des grandes dépenses » Manon ne trouvait son palis que dans les amusements de son personnification « naitre tous les jours des amusements de son gout » Description sommaire t subjectives relève de l’amplification voire gradation « une tendresse si juste pour un objet si charmant » L’adjectif « Charmante », qui qualifie Manon, peut se lire de deux façons : jolie ou ensorceleuse. L’emploi de l’intensif « Si charmante » donne un caractère hyperbolique à cette apparition.

Bien que le chevalier soit éperdument amoureux de la jeune Manon et tente de restituer un point de vue qui levais ébahi devant sa chère et tendre, il n’en laisse pas moins que ce dernier est un personnage naïf et très sentimental,On suit l’évolution e sa passion qui devient vite soumission, le chevalier est prêt et apte à sacrifier son argent o point de lui rester que les biens moraux « que la constance et la fidélité à lui offrir » (restrictive conditionnel) +oxymores « me priver plutôt de milles choses nécessaires que de la borner de superflu.

On peut ici relever une métaphore, le chevalier considèrerait ses sentiments comme superflus. Les adverbes 3 relever une métaphore, le chevalier considèrerait ses sentiments comme superflus. Les adverbes d’intensité « si bien » marque a détermination à satisfaire les désirs de sa prétendante. Un combat entre amour et vertu se développe chez des grieux – (personnification ligne 4à6) Jeune amoureux fougueux, qui agit avec solennité et sans discernement ; à la fois attendrissant et vaguement ridicule. (métaphore avec la relation manon-grieux – « tenter le hasard du jeu »)) assonance en r pour justifier la ténacité de la tâche qui consiste à réunir une somme permettant d’assouvir les désirs de Manon + « par une cruelle nécessité « complément d’argent. La naïveté du narrateur est ainsi rendue ncore plus évidente par le peu de poids de sa lucidité. Même ironique, même tendre, des Grieux reste avant tout un amoureux transi.

La passion amoureuse est ainsi présentée à la fois comme une ivresse et un danger. Mais le narrateur, ranimé par son propre récit, oublie en effet qu’il a entamé une confession pour se livrer à une apologie de l’amour. Le lecteur est conquis, subtile habileté de Fauteur. Cependant le personnage de Manon demeure mysterieux et amène à s’entendre sur la questions des comportements liberticides qui enrobent l’entourage. 4