Scene de bal
Ces trois textes sont écrits en utilisant les temps typiques du passé (et de la description) : l’imparfait et le passée simple. Ces temps se prêtent parfaitement à la description et en effet les trois textes sont riches en description : de lieu « … Faisait au louver… », et de personnages « surpris de sa beauté ». Enfaîter pour l’auteur, c’est fondamental, pour la scène de bal, de réussir à décrire au mieux tous les lieux, les personnages et les actions. Voici donc justifier l’utilisation des temps du passée.
Mais l’auteur utilise un être moyen pour réussir au mieux dans sa description : le point de vue omniscient si e toi vie nixe a e scène de bal premier boy taillait fibres 22, 2009 | 4 pages swaps toi vie nixe page omniscient, employer dans le premier et le dernier texte, tandis que le deuxième : »Le lys dans la vallée » utilise un point de vue interne. Le point de vue omniscient est préférable dans les descriptions de ce genre car il permet de décrire toutes les actions en même temps et de façon (disons)objective. Il permet aussi de décrire tout les intimement interne des personnages parfaitement.
Comme d’ailleurs le narrateur qui est externe pour les textes où le point de vue est omniscient car il permet de très bien décrire tout ce qui se passe dans la scène et est interne dans le deuxième texte où le choisi d’Honoré de balança a été de transgresser complètement le tops ordinaire. Après avoir analyser cet aspect des trois textes on pourra analyser leur vision du monde et de l’homme. Le premier texte offre une vision du monde et de l’homme qui l’habite, dirai-je presque parfaite. La Princesse de colères est présentée comme étant très belle et Monsieur de meneurs semble très beau lui aussi.
Ils sont tous deux très charment et très bien éduqué. Le Roi et la Reine semblent eux aussi parfaits. Dans le deuxième texte, l’homme est représenté comme une bette qui est attirée que en voyant le corps d’une femme très belle et qu’il lui sotte dessus sans frein. Mais le monde reste un d’une femme très belle et qu’il lui sotte dessus sans frein. Mais le monde reste un monde plausible, où la femme arrête tout de suite le pervers en hurlant « Monsieur ». Dans le troisième texte, la vision de l’homme se rapproche beaucoup de la vision parfaite qui caractérise aussi le premier texte.
Le monde représenté est ce qu’il y a de plus parfait : « Ceux qui commençaient à vieillir avaient l’air jeune, tandis que quelque chose de mur s’étendait sur le visage des jeunes. ». En considérant la scène de bal de « cendrier » comme le tops originel, on va analyser comment ces trois texte différent de ce tops. En se basent donc sur ce tops on peut affirmer que le premier et le dernier texte sont des réécriture de ce tops andin que le troisième texte est une énorme transgression de ce tops.