Marketing

essay A

Aujourd’hui, l’importance stratégique de l’entrepreneur et de la création d’activités nouvelles n’est plus mise en doute. Dans toutes les économies développées, sans exception, les nouvelles entreprises et les PÂME ont une contribution nette positive sur le niveau de l’emploi alors que les grandes entreprises en détruisent (CODE, 2002). L’on estime que 15% des nouvelles entreprises à forte croissance (les gazelles) contribuent à raison de 94% à la création nette d’emploi.

Par ailleurs, 67% de toutes les inventions sont initiées par des petites entreprises (renvoyés et alla. 2001, bruyant et jolies 2001, hennir et alla 2003, enkyster and trahir 1999). Le fait que l’entrepreneur soit apparu comme un moteur stratégique de redéploiement économique (escampette, 1975), de création d’emplois et de croissance, son soutien est vite apparu sur l’agenda politique de la plupart des premier boy skiant amputa 24, 2011 | 20 pages gouvernements.

En particulier, la Commission Européenne en a fait un de ses vecteurs principaux pour rencontrer les objectifs de lesbienne 2010 (Commission européenne, 2003). Cette montée en puissance de l’importance de l’acte le nombre de collèges et d’universités qui offrent des cours en entrepreneur est passé d’un niveau pratiquement nul dans les années 70 (le premier NABAB en entrepreneur fut créé en 1 971) à plus de I . 600 en 2005 (karatéka 2005).

Cette tendance est également observée, avec un certain calage, en européen (Commission européenne 2004). Cette contribution fait le point sur l’approche de l’enseignement de l’entrepreneur. Après avoir clarifié une nécessaire définition de l’enseignement de l’entrepreneur, la question « bateau » de l’entrepreneur peut-il s’enseigner sera abordée. Ensuite, l’attention sera portée sur le « quoi » et le « comment » de l’enseignement de l’entrepreneur pour en dégager quelques conclusions.

Enseigner l’entrepreneur : un leurre ? Ce n’est que très récemment que la recherche en matière d’enseignement de l’entrepreneur a vu le jour et que les questions importantes en la matière ont été analysées (karatéka 2005). L’état de l’art en est donc à un stade encore fort « primitif Dans ce contexte exploratoire, il est nécessaire de préciser la notion d’entrepreneur. Deux notions sont au c?Ur de cette discipline récente : l’entrepreneur et l’opportunité.

Pour cette raison, nous retiendrons la définition suivante, imprégnée de bruts & al (2003), de l’entrepreneur comme « une discipline qui étudie le processus par lequel les entrepreneurs identifient, explorent et exploitent une opportunité ». Il convient de souligner l »importance que cette définition donne au recousues par rapport à l’éventuel résultat (la création d’une activité ou d’une nouvelle organisation). Se pose alors la question de la possibilité d’enseigner à une personne comment identifier, explorer et exploiter une opportunité.

Cette possibilité d’enseigner à une personne comment identifier, explorer et exploiter une opportunité. Cette question est aussi vielle que la discipline de l’entrepreneur. Elle est apparue lorsque la recherche en entrepreneur était encore orientée vers la définition de l’entrepreneur en référence à des traits de personnalité et à des récriminatrices stables qui le distingueraient des autres individus. Le débat s’est alors ouvert sur le caractère inné ou acquis de ces traits de personnalité.

Cette approche inspirée de la psychologie fut non seulement incapable de démontrer le caractère « inné » de 2/14 l’entrepreneur mais a également reçu de nombreuses critiques pour son incapacité à dresser un profil cohérent de l’entrepreneur pouvant le distinguer de toute autre personne (gratter, 1 988, sauver et alla 1991, égrenèrent et sextant 1988). Des recherches plus récentes orientées sur le processus entrepreneur (plutôt que sur la résonne de l’entrepreneur) se sont intéressée aux actions de l’entrepreneur plutôt qua sa personnalité.

Ce courant de recherche a permis d’expliquer le caractère évolutif des comportements de l’entrepreneur et a suggéré que la compréhension de l’entrepreneur passerait par la compréhension du processus d’évolution de ces comportements (minait et bégayera, 2001). Les comportements de l’entrepreneur supposent un certain talent et un tempérament mais, l’entrepreneur : « c’est une discipline et, comme toute discipline, elle peut être apprise » (draguer 1985).

Comme le soulignent folle et alla 2007), l’un des arguments souvent avancé est que ces éléments ne peuvent être enseignés. « Cela est ainsi pour les professions et les situations professionnelles. Personne ne contestera le fait que la médecine, le droit ou l’ingénierie peuvent être enseignés et pourtant il existe des médecins, des juristes et des ingénieurs qui ont du talent et d’autres qui n’en ont pas » (folle et alla 2007).

Il en va de même pour les entrepreneurs et l’entrepreneur. Une des études les plus récentes sur l’apprentissage entrepreneur démontre en effet, que certaines capacités, préférences et compétences sont acquises au fur et sure de la vie de l’entrepreneur et plus particulièrement à la suite d’une expérience professionnelles et entreprendrais (pilotis, 2006). Ceci démontre sans équivoque que l’entrepreneur peut être acquis, voire enseigné. La preuve il est enseigné !

Pourtant, il faut reconnaître que l’on sait très peu de choses sur l’efficacité réelle de ces enseignements. Les vraies questions qui doivent être posées dans ces conditions sont : – Qu’enseigne-t-on ? (Quoi ? ) – Comment l’enseigne-t-on ? (Comment ? ) – Avec quel impact ? (Quelle est l’efficacité ? ) Cadrage de l’enseignement de l’entrepreneur Si ‘enseignement de l’entrepreneur poursuit comme objectif de préparer à l’entrepreneur, il insiste surtout sur la volonté de favoriser l’émergence d’entrepreneurs.

Il convient donc de s’intéresser aux facteurs qui influencent l’intention entrepreneurs. C’est effectivement celle-ci qui va déclencher le passage à l’acte et déterminer, ni fine, l’engagement d’un processus entrepreneur. Deux facteurs semblent influencer cette intention : la faisabilité perçue par le candidat entrepreneur et la « désirables » que constitue l’acte d’entreprendre (séparer 1975 et équerre et alla 2000). La faisabilité perçue reflète la c ‘acte d’entreprendre (séparer 1975 et équerre et alla 2000).

La faisabilité perçue reflète la confiance qua le candidat entrepreneur quant à la nécessité de son projet. La « désirables » est influencée par l’envie que le candidat entrepreneur pourra nourrir à l’idée de développer son propre projet, de prendre des risques et de s’engager dans une activité autonome. Les différentes recherches associées au projet du Global entrepreneurs monitorat (GEMME 2006) ont démontré l’influence que le contexte exerce sur la faisabilité perçue (compétences) et le désirables (motivations).

En particulier, ce modèle met en évidence les conditions cadre pour entreprendre suivantes : ? Le financement 3/14 La politique gouvernementale Les programmes et actions spécifiques à l’entrepreneur riait L’enseignement et la formation Les transferts en R&D L’infrastructure légale et commerciale L’infrastructure physique L’ouverture du marché intérieur Contexte social, culturel, politique Conditions cadre pour entreprend Financement Politique gouvernementale Programmes spot c offices Enseignement et formation Transferts R&D Infrastructure I v gai le et commerciale Ouverture du marcha anti rieur Infrastructure physique Normes socioculturelles opportunités do entreprendre Existence Perception soulignent folle et alla (2007), l’entrepreneur est un concept polysémique qui peut tantôt faire référence à des compétences techniques (la rédaction d’un business plan) et des attitudes (la prise de risque). L’approche de la démarche entrepreneurs comme un processus confirme ce caractère hybride voire fortement centrée sur la dimension des attitudes. « entrepreneurs si a dynamisa procès Fo vision, change, and création. Ait requises an application Fo énergie and passion tordras thé création and implantation Fo née idées and créative solutions.

essentiel ingrédients inclure thé longilignes toi tek calculette riais – ni termes Fo tome, équité, or carrer ; thé habilita toi formulait an effective aventure item ; thé créative ski toi maréchal entend ressources ; and fondamental ski Fo building solide business plan ; and final, thé vision toi recorrige opportunité hère éthers se chaos, contradiction, and confusion » (karatéka et digests 2004, p. 30). Ainsi présenté l’entrepreneur est à la fois science et art (agaça et endosserons 1999, are 2004). Développer l’entrepreneur nécessite des compétences spécifiques, voire techniques. Ces compétences peuvent faire l’objet d’un enseignement (folle 1997). Elles requièrent une accumulation de connaissances qui sont essentiellement techniques.

Elles appartiennent pour a plupart à la sphère des sciences du management mais nécessitent une adaptation à la spécificité de la démarche entrepreneurs. Ainsi, par exemple, l’approche marketing est essentiellement centrée sur l’entrée dans un marché, la dimension financière et cible sur le financement et la levée de fonds, les ressources humaines sont principalement concernées par la constitution de l’équipe et la mise en place d’un système ont principalement concernées par la constitution de l’équipe et la mise en place d’un système d’incendiée adapté, la dimension production est focalisée sur la définition du corde business et le « liant » de tous ces éléments 4/14 n’est autre que la rédaction du plan d’affaires.