Allemagne

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Malgré l’opposition parfois vive des grandes familles princières, l’unité de ces pays s’est imposée de façon durable. En revanche, en allemande et en italien, rien de tel ne se produisit. Alors que le centralisme se renforçait en France, on assistait au contraire à une plus grande indépendance des principautés, des villes et des autres autorités régionales ou locales. 1 1. Une mosaïque d’États I. La carte politique de l’allemande du SUIVI e siècle ressemble à une mosaïque de territoires plus ou moins grands, certains étant même minuscules.

L’ensemble des premier boy aureIie2407 horripila 22, 2009 | 10 pages l’opiniâtreté du prince ôté vont biaisera, la mosaïque des Dans un long processus, du Moyen Âge à l’époque as allemands fait partie du Saint Empire romain germanique, une confédération constitutionnellement peu contraignante. Vers 1 700, l’Empire englobe la majeure partie de l’allemande actuelle et de l’empire d’autruche qu’elle bénéficie d’un pouvoir considérable en autruche et en bohème, elle a échoué dans sa tentative de faire de l’Empire un état moderne avec un gouvernement centralisé.

Durant la guerre de Trente Ans (1618 – 1 648), l’allemande est le champ de bataille de l’européen. Quasiment dévastée, elle souffrit d’un retard économique qui dura jusqu’ début du sexe siècle. Au moment du traité de stalinien (1 648), la France garantit l’indépendance des princes allemands, préférant maintenir à ses frontières un Empire divisé plutôt que de voir émerger un État unitaire. 2 Il. L’ascension de la presse 1 . Deux changements importants se produisent au cours du suivie siècle.

L’électorat de presse, en allemande Orientale est élevé au rang de royaume et devient, grâce aux rois friperie-guimauve er et friperie AI, une grande puissance à l’est de l’européen. À partir de 1 785, la presse connaît une certaine éclipse que renforcent les guerres de la Révolution et de l’Empire napoléonien. . En 1805 – 1806, grâce à ses victoires remportées sur les Autrichiens, napoléonien s’impose comme le maître de l’européen. Il remodèle profondément l’allemande en réunissant tous es princes allemands dans la Confédération du rein.

Le titre de Saint Empire romain germanique ne correspondant désormais plus à rien, français de absoudre y renonce en 1806, se contentant de celui d’empereur d’autruche. 3. L’épopée napoléonienne se termine en 1815. Toutefois, la tendance à la centralisation liée à l’instauration de la Confédération du rein se confirme : l’espace politique l’instauration de la Confédération du rein se confirme : l’espace politique allemand ne représente plus des centaines de territoires mais un regroupement de trente- neuf États, désormais appelé Confédération germanique.

En même temps, la baviez, le retombées et la sexe se font confirmer leur statut de royaume. 4. L’autruche et la presse, qui luttent pour l’hégémonie au sein de la Confédération, décident de s’allier car toutes deux redoutent la contagion des idées révolutionnaires au sein de la Confédération. C’est ainsi que le chancelier autrichien, le prince entretenir, impose des mesures oppressives dans toute la Confédération sans pour autant y déclencher de guerre.

Mais la vague révolutionnaire, tant crainte par les princes allemands, part de Paris en février 1848 pour s’étendre au reste de l’européen. 3 il. L’année des révolutions I . Des mouvements insurrectionnels éclatent dans toute l’allemande, ainsi qua Vienne où entretenir doit s’effacer. Les insurgés organisent des élections pour former un Parlement (réunissant toute l’allemande) qui siège franco et qui commence à élaborer une constitution en vue de former un État fédéral. Toutefois, es autorités écoles reprennent progressivement le contrôle de la situation.

Et risque l’assemblée propose la couronne impériale au roi de presse, celui-ci la repousse avec dédain : souverain de droit divin, il n’ aucunement l’intention d’être choisi par la volonté du peuple ou d’obéir à une constitution libérale. Les troupes parisiennes mettent fin la révolte des républicains dans les états la révolte des républicains dans les États allemands, et à la fin de l’année 1849, l’ancien ordre est restauré. 2. En 1848, parmi les réactionnaires pressions les plus virulents, le prince ôté vont biaisera (1 815 – 1898), un rang propriétaire terrien, se fait remarquer.

Sa réputation d’extrémiste l’avait éloigné du pouvoir, mais il fait son grand retour à la faveur d’une crise politique. Le roi aiguillage I er est résolu à entreprendre des réformes coûteuses pour faire de l’armée parisienne la première d’européen. Mais la majorité libérale du Parlement de presse refuse de voter les impôts que cela implique. Pour débloquer la situation, aiguillage I er décide de prendre comme Premier ministre ôté vont abaissa. 4 AV. Une révolution par le » haut » 1. En septembre 1862, le souverain parisien nomme biaisera chancelier.

Mais celui-ci n’est pas seulement un réactionnaire compétent, hostile aux assemblées parlementaires, il est également un brillant diplomate et fin politique, aussi intelligent qu’ambitieux. Cet aristocrate a toujours été convaincu de l’inéluctable de l’unité allemande mais restait néanmoins persuadé qu’elle ne se ferait pas par le « bas » – par la pression des mouvements pope aires – mais qu’il s’agirait d’une révolution par e « haut », donc, essentiellement conduite par les élites. 2.

Dès le début, biaisera se rend indispensable au roi. Passant outre l’opposition du Parlement, il autorise la levée es impôts et entreprend des réformes. Grâce à elles, biaisera crée il autorise la levée des impôts et entreprend des réformes. Grâce à elles, biaisera crée la machine militaire efficace requise pour mener son audacieuse politique étrangère. 3. En 1863, biaisera profite du fait que les Polonais se révoltent contre l’autorité russe pour gagner l’amitié de la réussie, en l’aidant à étouffer l’insurrection polonaise.

La même année, une discorde très ancienne à propos des duchés du schlittes et du listent provoque une rupture entre le démènera et la Confédération germanique. Le démènera tente d’annexer le schlittes, dont la majorité de la population est danoise, et de renforcer son contrôle sur le listent qui fait partie de la Confédération. Sans attendre un quelconque arbitrage diplomatique international, le chancelier parisien décide de recourir à la force.

Profitant des relations amicales qu’elles entretiennent avec la réussie et du fait que la France et l’engrangèrent sont dans l’incapacité d’intervenir, la presse et l’autruche envahissent les duchés en 1864 et forcent les Danois à renoncer à leurs prétentions. L’échec des libéraux n 1848 – 1849, dans leur tentative de résoudre le problème de ces duchés au profit des Allemands et la réussite de biaisera donna à penser que le nationalisme pouvait nourrir des élans plus puissants que les principes libéraux qu’on lui opposait. . Cautérisé et la presse s’accordèrent pour continuer d’assurer conjointement la souveraineté du schlittes et du listent. Mais cette situation provoqua des frictions, peut être intentionnellement suscitées par biaisera. À cette époque, il se provoqua des frictions, peut-être intentionnellement suscitées par biaisera. À cette époque, il semblait déjà isolé à offrir à la presse une position hégémonique en allemande, avec ou sans l’accord des Autrichiens.

Prévoyant Eure désaccord, il s’est préparé à la guerre en s’assurant de la neutralité de la France et en contractant une alliance avec l’italien. 5. En juin 1866, prenant comme prétexte une série de mésententes, biaisera laisse ses troupes envahir le listent, administré par l’autruche. La guerre éclate et la plupart des États allemands soutiennent l’autruche. Mais l’armée parisienne s’impose en sept semaines. En fait, la campagne est virtuellement terminée dès la fin de la remarie semaine après que les soldats pressions ont remporté une écrasante victoire à soudoya (contraignant). . Dans la négociation du traité de paix, biaisera se montre généreux car il considère l’autruche comme un pays ami (à condition se tienne à l’écart des affaires allemandes). D’autre part, les États allemands situés au nord du fleuve Main forment la Confédération germanique du Nord sous l’autorité de la presse, tandis que les États de l’allemande du sud, majoritaires catholiques, constituent leur propre confédération. En obtenant de napoléonien il qu’il strates en dehors du contentieux assaut-parisien, biaisera prit la juste mesure de la détermination française. 5 VIA.

La gloire de biaisera 6 I. Grâce à cette victoire, biaisera fait rapidement figure presse de héros aussi bien aux yeux de la plupart des libéraux que des conservateurs, justifiant ainsi sa fameuse assertion : « c’est par le sang et par le fer » et non par les discours et les promesses que l’on fait l’histoire. Le Parlement parisien rend hommage au vainqueur en adoptant une loi d’indemnité qui approuve rétrospectivement tous les impôts levés en dépit de la loi. Ainsi, le libéralisme apitoyait devant le militarisme influençant de manière décisive le destin historique de l’allemande. . Une des grandes qualités de biaisera résida dans son habileté à gagner la confiance de aiguillage er. En 1870, il ne cherche à éviter aucune confrontation avec la France : lorsqu’ est question de présenter un membre de la famille royale parisienne (les ensoleiller) à la candidature au trône d’espagnol, les Français protestent. aiguillage er renonce immédiatement aux prétentions parisiennes sur l’espagnol et le chancelier exploita l’incident diplomatique ses fins.

Alors que aiguillage er lui relate dans un télégramme ses discussions avec la France – le roi a refusé amicalement et fermement de s’engager à ne jamais présenter un ensoleiller – biaisera rend public le télégramme (la dépêche d’mes) en le tronquant au point qu’il apparut injurieux pour la France. Inévitablement, la guerre éclate. 3. Parallèlement, biaisera est parvenu, en déployant une politique diplomatique très habile, à isoler la France, la coupant ainsi de toute alliance militaire éventuelle.

De toute façon, en 1870, la majeure partie de l’européen considère la France comme la première p insonore la France comme la première puissance militaire et condamne les pressions rapidement à la défaite. Cette illusion est vite dissipée par la fulgurante avancée des pressions qui, forts d’une armée particulièrement disciplinée et dotée de matériels modernes – le chemin de fer est même employé pour acheminer les troupes sur la frontière franco-allemande – collectionnent les victoires.

La défaite de la France à Sedan (2 septembre 1870) et le traité de paix de franco (mai 1871) ouvrent la voie à la constitution de l’Empire allemand. 7 VIA. Une allemande unie Ce conflit eut des conséquences politiques considérables. En janvier 1 871, dans la galerie des glaces à Versailles, symbole de la grandeur passée de la France, le triomphateur aiguillage er est proclamé empereur d’allemande. biaisera devient chancelier (l’équivalent de Premier ministre) du nouveau récit.

Même si les anciens États allemands continuent d’exister, l’allemande est devenue sans aucun conteste un pays unifié dirigé par un seul gouvernement. 8 VIA. Le Chancelier de fer Pendant encore presque vingt ans, le « chancelier de fer », ôté vont biaisera, dirige le pays. Il contrôle le recachetais (le Parlement allemand) et manipule habilement les partis politiques. Durant cette période, l’industrie allemande, protégée par des tarifs douaniers élevés (des taxes sur les produits étrangers compétitifs), devient une rivale pour la Grande-bretonne et les États-Unis.

Mais certains aspects de la politique intérieure de biaisera se révèlent moins fondés. Méfiant à l’égard de l’influence de l’Église catholique, il mena une campagne contre elle (le culturelles), mais n’obtenant pas les résultats escomptés, il reconnut son erreur et fit marche arrière. Il s’attacha aussi à combattre les socialistes sans réussir égueuler leur audience en Al imagine. En revanche, il eut plus de réussite avec le programme de protection sociale qu’il mit en place entre 1883 et 1889.

En pratiquant, dans une certaine mesure, un socialisme d’État, il put calmer le mécontentement de la classe ouvrière. Après 1871 , l’unité allemande établie, il renonça à sa politique d’expansion et consacra ses efforts à garantir la sécurité de l’allemande. En 1 879, la réconciliation entre l’allemande et l’empire assaut-hongrois donna lieu à une alliance formelle qui about it à une triple alliance en 1 882 avec son élargissement à l’italien.