Reve en politique
II en ressort une demande de plus en plus forte du rêve. Comme la campagne de François Bayrou qui a été un échec de par sa prise de position trop réel dans sa campagne se qui put choquer l’opinion pu politiques doivent int vie politique. De plus Martin Luther King q pour son discours po Swtp to next page ue les hommes ns leurs discours et t présent comme 0000 personnes et légalité dans le monde . II a sue en évoquent une grande par de rêve faire réagir et promouvoir sa cause comme Swige to next page se que demande le publics.
Presque tous les grands leaders charismatiques qui ont su emporter les masses autour de rêves ou d’utopies idéologiques, quelles qu’elles soient, ont donc été des personnages marquants de l’histoire de l’humanité, allant même jusqu’à entraîner ces masses dans des guerres qu’ils suscitaient : il fallait alors se sacrifier pour la patrie, la nation ou les idéaux qu’on voulait ou défendre ou répandre.
Pour exemples, la défense des idéaux de la révolution de 1 789, face aux anciens régimes féodaux, a été la base des grandes épopées apoléoniennes ; la défense de l’utopie communiste a été le prétexte à des dictatures staliniennes qui ont pesé pendant plus d’un demi-siècle sur des centaines de millions de citoyens. Les grandes croisades reposaient, eux, sur des idéaux religieux. Même au prix du sang versé.
Néanmoins quand plus récemment, en 1970, le Général De Gaulle est mort, le Président Pompidou et, dans sa grande majorité, la presse avec lui, ont titré, on den souvient : « la France est veuve » Aujourd’hui, de quel homme politique français contemporain, s’il enait à mourir, dirions-nous « la France est veuve » ? Alors, le « rêve français » qu’évoquai 2 contemporain, Sil venait à mourir, dirions-nous « la France est veuve » ?
Alors, le « rêve français » qu’évoquait récemment François Hollande ? Très bien ! Mais si l’on croit qu’on va faire rêver, sans aucune valeur transcendante pour le porter, sans aucun esprit sacrificiel pour le soutenir, sa serai difficile ! On se souvient encore de la promesse, en 1940, du « sang et des larmes » de Churchill face au danger nazi qui menaçait jusqu’à l’indépendance e la Grande Bretagne.
Il a su immédiatement cristalliser son peuple autour du projet de libération de notre continent et avec quel courage et quel brio. Donc, aujourd’hui, on veut redonner du sens à la politique, ce n’est peut-être pas avec du rêve que sa passera. pour conclure le rêve et une notion importante dans la politique même si il arrive que des facteurs ne sont plus présents et peuvent en nuire. Et de nos jours le rêve et néanmoins le rêve et en train de compromettre les idéo politique.