Resume de Madame Bovary
I – Première partie 1 – Chapitre I Un nouvel élève, nommé Charles Bovary arriva au collège de Rouen. Il était le fils de Charles-Denls-BarthoIomé Bovary qui s’était marié à une femme fortunée. Chomme profita un temps de sa fortune, puis ils se retrancherent à la campagne. M me Bovary d’abord très aimante, devint acariâtre en vieillissant. Charles Bovary naquit dans ce contexte mais fut bien élevé et cajolé. Les difficultés rurales concernant son éducation l’amenèrent à entrer au collège àRouen. la fin de son collège, ses parents lui permirent d’étudier la médecine, en lui louant une petite chambre.
Après un premier échec étouffé, il obtint son diplôme d’officier fit alors en sorte de I guere appreciee par 2 – CHAPITRE II une nuit, Charles fut or lg Sni* to View la à Tostes. Sa mère ve fortunée, mais e médicale loin de Tostes, auxBertaux. Le p re Rouault s’était cassé la jambe. Charles le saigna et fit la connaissance de sa jolie jeune fille : Emma. Malgré la distance, Charles leur rendait visite souvent, durant la guérison. Mais HéloiÈe comprit bientôt, qu’il y allait pour voir Emma et en devint jalouse. Dans le même temps, les parents deCharles s’aperçurent qu’ Héloïse avait menti et u’elle n’avait pas un sou.
Les parents Bovary se fâchèrent et quelques jours après, Héloïse Bovary mourut soudainement. 3 – CHAPITRE Ill Après l’enterrement, le père Rouault Swipe to vlew next page père Rouault vint payer Charles et tenta de le consoler. Il connaissait sa souffrance : il avait lui-même perdu sa femme. Il l’invita à venir chez lui pour se distraire. Au fur et à mesure de ses visites, Charles se complaisait dans cette nouvelle indépendance il faisait ce qu’il voulait, quand il voulait. Il appréciait beaucoup Emma et se décida à demander sa main. Elle accepta et on prépara la noce pour le printemps suivant. – CHAPITRE IV Le jour du mariage, de nombreux invités arrivèrent aux Bertaux, tous biens apprêtés pour ce grand jour. La fête se déroula autour d’un grand festin et dura plusieurs jours. Lorsqu’elle fut finie, le père Rouault accompagna Charles etEmma pour leur retour à Tostes. À leur départ, la mélancolie s’empara de lui, car il se remémora son propre mariage et le décès de sa femme. 5 – CHAPITRE V Emma découvrit alors sa nouvelle demeure, celle de Charles. Elle y fit certains aménagements, tandis que son mari ravaillait. Ce dernier constatait qu’enfin il trouvait le bonheur avec Emma.
Cependant, leurs sentiments étaient fades, malgré l’enthousiasme de leur vie commune. Pour Emma, son mariage était éloigné de ses idées préconçues et livresques de l’amour. – CHAPITRE VI Emma avait été éduquée au couvent. Durant son enfance, ses amies lui permirent de lire énormément. En effet, elle construisait la vie dont elle rêvait, à travers de nombreux livres : romantique, féminin, fabuleux… Lorsqu’elle perdit sa mère, les livres la consolèrent et l’aidèrent dans son deuil. Elle semb a mère, les livres la consolèrent et l’aidèrent dans son deuil.
Elle semblait rêver d’une vie extraordinaire, mais la vie avec Charles tournait en désillusions malgré ses espoirs. 7 – CHAPITRE VII Emma rêvait d’une vie merveilleuse et trépidante, mais Charles ne lui offrait qu’une vie calme et banale. Elle s’efforçait d’apporter un peu d’intérêts dans leur vie, mais la mère de Charles n’appréciait pas toujours ses manières. Elle regretta bientôt de s’être mariée et se promenait seule avec sa chienne pour rêver sa vie. Un évenement inattendu l’égaya : une invitation pour le bal e Vaubyessard du marquis d’AnderviIliers. – CHAPITRE VIII Ils arrivèrent chez le marquis avec les autres invités et dinèrent. Emmas’émerveillait de tout ce luxe et de cette opulence. Elle rêvait d’une vie comme celle-ci et mit de côté son mari pour profiter au maximum de ce bal, jusqu’au bout de la nuit. Elle dansa avec un vicomte, elle but du champagne et semblait dans son élément. Le lendemain, ils repartirent pour Tostes et Emma sentit monter en elle la mélancolie de quitter ce lieu. Lorsqu’ils rentrèrent, Nastasien’avait pas fait le repas et Emma s’emporta contre elle.
Le bal de Vaubyessard la arqua à jamais et pour pallier l’ennul de sa vie si plate, elle se remémorait fréquemment cette fabuleuse soirée. 9 – CHAPITRE IX Emma s’imaginait Paris, ses beautés, son luxe, sa mode. Elle comparait ses rêves à sa vie morne. Elle avait engagé une petite orpheline – Félicité – pour remplacerNastasie et l’éduquait comme dans la haute société. Pe petite orpheline – Félicité pour remplacerNastasie et l’éduquait comme dans la haute société. Pendant ce temps, Charlestravaillait beaucoup et se faisait une réputation.
Cependant, Emma supportait de moins en moins son laisser- ller et son manque d’ambition. Elle se mit à attendre en vain un évènement quelconque qui lui permettrait d’enrichir sa vie. Mais le temps passait et rien ne venait, elle dépérissait et mit ses activités de côté en se résignant. Même M me Bovary fut surprise de sa transformation. Emma critiquait tout, rien ne lui plaisait et bientôt elle tomba malade. Le médecin conseilla aux Bovary de partir de Tostes. Ils allèrent donc s’installerYonvilIe-l’Abbaye, alors qu’ Emma était enceinte.
Il – Deuxième partie Emma, Charles et Félicité étaient attendus au Lion d’or, dans la petite communed’Yonville-l’Abbaye. M me Lefrancois tenait cette auberge et recevait quotidiennement M. Binet. Ce soir- là, elle attendait l’Hirondelle qui transportait les Bovary. La veuve Lefrançois discutait de M. le curé, avec M. Homais, le pharmacien, tandis qu’elle s’évertuait à tout préparer pour ses invités. L’Hirondelle arriva et les voyageurs expliquèrent leur retard par le fait que la chienne d’ Emma s’était enfuie lors du trajet et qu’on l’avait cherchée en vain.
Emma en était encore plus attristée et on tenta de la consoler. 2 – CHAPITRE Il Les voyageurs se mirent à table avec M. Homais et Léon Dupuis, n jeune clerc de notaire, heureux de rencontrer de nouvelles personnes. Tandis qu’ Homaisinformait Charles jeune clerc de notaire, heureux de rencontrer de nouvelles personnes. Tandis qu’ Homaislnformait Charles sur les différents habitants et le métier de médecin à Yonville,Emma discutait littérature avec Léon. Rapidement, leurs idées et leurs rêves semblables les lièrent d’amitié. ? la fin du repas, on mena les Bovary dans leur nouvelle maison, très bien aménagée par l’ancien médecin. Emma espéra que sa vie changerait. Charles avait peu de patients et cela l’inquiétait, leurs ?conomies étaient bientôt épuisées. Malgré tout, il se réjouissait de la grossesse de sa femme. Elle accoucha un dimanche d’une petite fille qu’ils nommèrent Berthe, après beaucoup de recherches. Elle fut placée en nourrice chez la mère Rolet. Les parents Bovary passèrent quelques jours à Yonville pour la naissance de leur petite-fille. Un jour de grosse chaleur, Emma voulut voir sa fille et se rendit chez la nourrice.
Mais la chaleur l’accablait, et elle se sentait mal lorsqu’elle rencontra Léon. Elle lui demanda de l’accompagner. Le village étant petit, cette histoire se sut rapidement, et on parla ‘infidélité. Lorsqu’ils repartirent, la mère Rolet demanda quelques faveurs à Emma. En discutant de choses et d’autres, sur leur passion commune, Emma et Léonsentaient naître une certaine attirance, l’un envers l’autre. Lorsqu’il la nota qu’il s’ennuyait à Yonville. M. Homais, leur voisin, dînait souvent chez les Bovary et constata que Justin, son assistant paraissait amoureux de Félicité.
Les dimanch PAGF s OF lg les Bovary et constata que Justin, son assistant paraissait amoureux de Félicité. Les dimanches, les Bovary, les Homaiset Léon jouaient ensemble. Ces moments-l? ermettaient à Léon et Emma de se rapprocher et de partager leurs goûts. Charles ne s’inquiétait pas de ce rapprochement et de plus, Léon lui rendait souvent service. Lorsqu’il allait àRouen pour lui, il en profitait pour ramener des cadeaux à la mode à Emma. un jour, celle-ci offrit un tapis à Léon et il voulut lui exprimer ses sentiments, mais ses craintes le freinèrent.
Emma, elle, ne pensait pas l’aimer « d’amour Au cours d’une ballade avec Homais, ses enfants, Léon et Charles, Emmaconstata que son dégoût pour son mari revenait. Elle le trouvait vulgaire et peu apprêté. En evanche, elle sentait ses sentiments évoluer pour Léon, et ne savait pas comment les maîtriser. Le lendemain, elle reçut la visite de M. Lheureux, le commerçant, et refusa de lui acheter quelque chose. Face à cette modération, elle se réjouit et dès cet instant, elle devint plus vertueuse, parla plus sechement à Léon et passa son temps à s’occuper de sa maison.
Elle tentait de faire des économies et s’amaigrissait ; Charles ne voyait rien. Léon ne savait plus quoi penser de cette transformation, tandis qu’ Emma constatait que son attitude ne changeait rien aux sentiments qu’elle éprouvait pour lui et en souffrait. – CHAPITRE VI Un jour, Emma se rendit à l’église pour chercher du soutien auprès de M. Bournisien. Mais il ne comprit pas la détresse de la jeune fem chercher du soutien auprès de M. Bournisien. Mais il ne comprit pas la détresse de la jeune femme, et la timidité de celle-ci l’empêcha de s’expliquer.
Elle repartit encore plus abattue. Léon, de son côté, fut mssionné par Charles pour lui ramener un daguerréotype de Paris. La tristesse de Léon et la douleur qu’il éprouvait de ne pas exprimer ses sentiments à Emma le conduisirent bientôt à partir s’installer à Paris. Les adieux furent ifficiles pour taus les habitants du village et secrètement pour Emma. Homais, au cours de la visite quotidienne à Charles, lui indiqua que le comice aurait probablement lieu à Yonville cette année, ce qui amènerait un peu de vie dans le village.
Après le départ de Léon, Emma redoubla de tristesse et son ennui augmenta. Puis, le temps passant, l’idée de le rejoindre et de l’aimer s’évapora. Elle reprit ses achats de mode et retomba en dépression. Charles appela sa mère à l’aide. Celle- ci mit fin aux lectures d’ Emma et encouragea Charles à lui trouver une occupation, un travail. Et puis un jour de marché, M. Rodolphe Boulanger de la Huchette amena à Charles, son domestique à saigner. Cet homme, nouvellement arrivé dans la région, rencontra alors Emma.
En repartant, ce séducteur observa qu’elle lui plaisait beaucoup et chercha comment l’atteindre pour la séduire. Le jour des comices arriva et Yonville était en fête ; les visiteurs étaient nombreux. Rodolphe Boulanger accompagnait Emma dans les rues ; M. Lheureuxles suivait. Au moment du discours nombreux. Rodolphe Boulanger accompagnait Emma dans les rues ; M. Lheureuxles suivait. Au moment du discours u conseiller préfectoral, Rodolphe congédiaLheureux et emmena Emma au premier étage de la mairie pour mieux voir son discours.
Rodolphe sentait qu’ Emma était un peu perdue et qu’elle rêvait de quelque chose de plus grand, il énonçait donc des idées dans ce sens pour la mettre en confiance. Il les compara ensuite aux âmes perdues qui se recherchent dans leurs différentes vies, et lui fit la cour. Elle ne répondit rien, mais n’enleva pas sa main de celle de Rodolphe. Après les comices, Emma ne revit pas Rodolphe pendant un long moment. Lu, de son côté, repoussalt le moment de la oir pour que les sentiments de la jeune femme augmentent. n jour, il passa la voir chez elle et lui avoua ses sentiments, mais Charles arriva sur ces entrefaites. Rodolphe, de façon ingénieuse proposa au médecin d’emmener Emma faire du cheval afin de la divertir. Charles accepta et tenta de convaincre sa femme. À la première balade,Rodolphe lui fit la cour et Emma ne put résister à ses charmes et s’abandonna à lui. En rentrant, son visage était changé et elle se surprit à être contente d’avor un amant ; elle, qui s’était si longtemps contrainte en amour. Leur liaison continua par des lettres et des rendez- ous matinaux.
Mais les sentiments d’Emma étaient très forts et Rodolphe l’informa que leur liaison était risquée. 10 – CHAPITRE X À ces mots, Emma prit peur d’être découverte. Et un matin, mots, Emma prit peur d’être découverte. Et un matin, sur la route du retour de chez Rodolphe, elle rencontra M. Binet. Elle fut effrayée et comprit qu’il pouvait avoir découvert sa liaison. Ansl, les rendez-vous avec Rodolphe se prirent le soir, au fond du jardin, quand il faisait bon. Cependant, au fur et à mesure, leur relation s’effilochait et Rodolphe se lassait di Emma et ne sien achait pas.
Lorsqu’elle reçut la lettre annuelle qui accompagnait la dinde de son père, Emma fut émue et eut un élan de tendresse envers Berthe. Cela lui rappelait l’insouciance de ses années aux Bertaux. À la suite de cette lettre, elle s’interrogea sur sa relation avec Rodolphe et voulut se rapprocher de son mari. 11 – CHAPITRE XI Homais et Emma poussèrent Charles à opérer les malformations des pieds (pied-bot). Ils voulaient qu’il opère Hyppolite, l’écuyer du Lion d’or. Le médecin, peu à peu convaincu, s’instruisit de la méthode et fit construire la machine servant ? ‘opération.
L’opération, qui avait attiré la foule, sembla réussi etHomais félicita Charles en rédigeant un article de presse sur l’affaire. Emma se réjouissait de tout ceci, pensant que le succès qu’elle attendait de son mari, approchait. Cependant, lors de sa convalescence, la jambe d’ Hyppolite gangrena et l’on fut obligé de faire venir M. Canivet, médecin réputé de Rouen. Celui-ci amputa la jambe d’ Hyppolite en se moquant de ces médecines nouvelles. Emma sentit revenir son dégoût pour son mari. Elle ne se faisait plus d’illusions et regrettait de s’en être rap PAGF lg