Rédaction d’imagination

essay B

Je vais vous raconter un événement marquant de ma vie. Ce moment où ron a si peur que l’on en perd les moyens… Ce moment où ron a l’impression que notre vie est en jeu… Ce moment où l’on tremble de terreur… C’était un soir samedi très agréable que je venais de passer en présence de mes cousins. Nous étions chez nous et ils étalent partis vers 23h30. Tout le monde était parti se coucher et peu de temps après, j’entendais les ronflements de mon frère car il dort dans la même chambre que moi. Ces ronflements m’agaçaient et m’empêchaient de dormir.

Je pris mon iPod et mis de la musique pour ne plus penser à cela. Je n’entendais plus ces ronflements certes mais un autre sentiment me perturbait. Un cambriolage ! p g Oui c’était cela qui m quelqu’un allait ou ét nuit là.. Je n’arrivais pas à m’e j’avais l’impression q essentiment que rendre visite cette es bruits, enfin mon imagination et en même temps ils me paraissaient réels et lorsque je me disais qu’il ne se passait rien, je réentendais un bruit étrange. Soit l’escalier qui grince, soit des bruits de pas sur le plancher du salon t cela durait, durait…

Je m’imaginais plein d Swipe to page de scénarios. Je pensais que cette mystérieuse personne allait venir, monter les escaliers, entrer dans ma chambre et m’enlever… Jusqu’au moment où les grincements de plancher et autres bruits cessèrent. Je me dis que je n’avais fait qu’un cauchemar et que je venais d’en sortir et m’endormis. Le lendemain, je me suis réveillé sans trop penser à cela, qui n’était que du passé pour moi, après tout, ce n’était qu’un cauchemar, ce n’était pas si grave.

C’était la rentrée des classes le undi suivant et pour ne pas trop penser a cela, je me mis devant la télévision. Au moment ou je pris la télécommande, j’aperçus sur le bord de la fenêtre, à l’extérieur, un pot que mon petit frère avait offert pour la fête des mères, il était ouvert. Ce pot contenait des petits cailloux peints de toutes les couleurs. J’allais le chercher pour le refermer et le remettre à sa place lorsque je vis dans la fenêtre, un trou. Un trou qui ne faisait pas plus de cinq millimètres de diamètre.

J’ai prévenu mon père aussitôt qui omprit tout de suite. Un cambriolage avait belle et bien eu lieu chez nous cette nuit là, ce qui me fit encore plus peur. Les bruits que j’avais entendu cette nuit étaient réels ! La police arriva peu de temps après l’appel de mon père. Celle- ci rechercha des traces du cambrioleur. Un chien spécialisé les mena jusqu’à la gare m 2 père. Celle-ci rechercha des traces du cambrioleur. Un chien spécialisé les mena jusqu’à la gare mais le voleur avait pris un train et c’était donc presque impossible de le retrouver.

Les jours qui suivirent, j’avais beaucoup de mal à dormir. Avant, pour m’endormir, il me fallait le noir complet mais après ce cambriolage, je devais laisser la porte semi-ouverte avec la lumière du couloir allumée. Tous les soirs, au moindre bruit, je tremblais, j’étais sans cesse angoissé. Un soir, alors que j’avais déjà dormis trois bonnes heures, je me réveillais vers une heure du matin car je croyais entendre comme si l’on attrapait mon frère.

J’entendais des bruits de frottement sur les draps et je estais sous ma couette sans même regarder ce qu’il se passait j’avais peur que l’on voit que j’étais éveillé. Cela m’arriva ? plusieurs reprises et le matin je me réveillais avec mon oreiller tremper de sueur et ma couette toute humide tellement j’avais eu peur. Au fil du temps, le besoin de lumière pour m’endormir me passa et je n’eu plus peur car je compris que c’étais juste mon frère qui bougeais et non quelqu’un qui l’attrapais. Le fait de grandir me donna plus confiance en moi même SI parfois encore, j’ai peur car j’entends des bruits… 3