Qui Est Abraham Maslow

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Qui est Abraham Maslow? Abraham Maslow est né de parents immigrés ju fs en 1908 à New York. Il est rainé d’une famille de sept enfants. Poussés par ses parents, il commence des études pour devenir avocat mais ni trouve guère d’intérêt et se tourne en complément vers la psychologie, milieu ou il excelle. De 1943 a 1954, il étudie le comportement animal et humain puis se penche sur les sentiments tel que la peur, l’insécurité, etc. jusqu’à finalement étudier leurs contraires : la motivation et la satisfaction En 1954, ses études le pousse vers une théorie liée au besoin aturel de l’homme expliquant que chaque personne a l’envie de comblé des besoins classés par ordre d’i lul donne une forme D’où son nom : La Py Pyramide des besoin ors Sni* to View upé en cinq partie u dessus des autres ment appelée Abraham maslow déc de en 1870 d’une crise cardiaque . ll devient une référence pour beaucoup de psychologues du monde entier. La pyramide de Maslow La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains.

Maslow distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand e besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait. Nous proposons une nouvelle approche de ce modèle en (aujourd’hui contestée), introduisant un nouveau besoin, déduit de notre modélisation. Les besoins humains selon Maslow : Les besoins physlologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif, sexualité,… ).

Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Il s’agit donc d’un besoin de conservation d’un existant, d’un acquis. Il s’inscrit dans une dimension temporelle. Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, associatlon, L’individu se définissant par rapport à ses relations, ce besoin appartient au pôle « relationnel » de l’axe ontologique e besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance.

L’individu souhaite être reconnu en tant qu’entité propre au sein des groupes auxquels il appartient. Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement. Nous le considérons donc comme antagoniste aux besoins physlologiques. Notre modélisation révèle un sixième besoin : Le besoin d’éternité, d’immortalité ou tout simplement de temps, n’est pas décrit par Maslow. C’est pourtant un besoin de plus en plus exprimé dans notre société.

Commercialement, il se traduit par l’attirance envers les produits promettant le rajeunissement ou de gagner du temps. On constate que bien souvent, c produits promettant le rajeunissement ou de gagner du temps. On constate que bien souvent, cette sixième dimension est occultée. Nous y voyons 3 raisons principales : elle n’a pas encore d’existence elle nous projette dans l’incertain puisque de multiples futurs sont possibles elle nous conduit à considérer notre propre fin Cela explique qu’elle soit passée sous silence, sans doute inconsciemment, dans de nombreuses situations.

On constatera qu’aucune hiérarchie entre ces six besoins n’apparaît dans notre représentation. Cela nous abstrait des critiques portées au modèle dorigine. Le principe des 6 natures La sociologie des organisations s’est enrichie récemment de nouvelles approches qui mettent chacune en lumière une dimension des organisations. En particulier, L. Boltanski et L Thévenot ont identifiés plusieurs grands principes de légitimité qui président à la justification d’une action.

Ces principes, appelés « natures « cités » ou « mondes » sont au nombre de six : La cité inspirée renvoie au principe de créativité ; La cité domestique renvoie à l’art des relations familiales, de la tradition , La cité du renom vise à la reconnaissance sociale ; La cité civique justifie une action en fonction de la recherche de l’intérêt général ; La cité marchande justifie une action par le donnant-donnant du contrat commercial ; La cité industrielle, enfin, est celle de l’impératif d’efficacité et de productivité.

La correspondance entre pac;F3CFS incipes des 6 natures et le correspondance entre les cités du principes des 6 natures et le modèle proposé par le Sémioscope est à la fois immédiate et parfaite. Le cycle de Norman Le cycle de Norman fournit le cadre de référence pour analyser et raisonner sur les phénomènes cognitifs intervenant dans les nterfaces. Il s’applique à toute interaction, entre humains ou entre un humain et une machine. La réalisation d’une action intentionnelle met en jeu un cycle à quatre phases : pour atteindre un but, l’usager élabore une commande, l’exécute, perçoit son effet et l’évalue.

La boucle de Norman s’inscrit intégralement dans le modèle du Sémioscope. On positionne sur l’axe X les actions propres au système étudié (2) ainsi que celles mettant le système en relation avec l’extérieur Les entrées (1) et les sorties (6) se retrouvent naturellement sur l’axe Y. L’axe Z permet de décrire les actions concrètes (5) mais également les opérations plus abstraites et subjectives (6). On remarquera qu’à partir de cette représentation il est possible de considérer de nouvelles relations entre les pôles.

PAGF la hiérarchisation des besoins. Le passage d’un besoin à un autre est progressif, alors que l’on a tendance à admettre une logique binaire, c’est-à-dire la satisfaction intégrale d’un besoin avant de pouvoir passer à un autre. Notons encore que selon les circonstances, des besoins supérieurs peuvent primer les besoins élémentaires, par exemple e besoin d’estime poussé à l’extrême (héroÉme) fait fi du besoin de sun,’ie. Dautres critiques sur la représentativité du modèle, la validité des recherches, etc. nt remis en cause les conclusions. >voir Wikipedia Motivation vs. résistance au changement Malgré les réserves sur le modèle, la pyramide de Maslow, présente l’avantage de la simplicité et une représentation pouvant être mémorisee aisément par les managers. Lorsque ceux-ci analysent l’état de motivation de leurs subordonnés ou cherchent à les stimuler, ils peuvent vérifier si les besoins asiques sont couverts et si l’individu est mûr pour chercher ? atteindre le niveau de satisfaction suivant.

Ce qul est parfois perçu comme de la résistance au changement peut simplement être un besoin prioritaire non satisfait. Une personne inquiète sur son avenir à court terme n’aura pas la disponibilité d’esprit pour s’investir dans un projet, alors que la même personne pourrait s’enthousiasmer dans d’autres circonstances. Cela peut être le cas de personnels temporaires, de personnels inquiets sur le sort, sur le maintien de leur poste,