Question De Corpus

essay A

Question de corpus Les quatre textes dénoncent la guerre : c’est la thèse commune. La Bruyère prononce une critique ironique et dynamique de la folie des hommes : il insiste sur le caractère éternel de la guerre en l’associant à « l’Antiquité il rappelle son omniprésence avec des expressions telles que « dans tous les siècles », « toujours « de tout temps b, « de siècle en siècle ».

Il souligne également les ravages de la guerre avec l’accumulation des verbes pronominaux « se dépouiller, se brûler, se tuer, s’égorger les uns les autres » qui emble mimer la folie guerrière ; ainsi, les hommes sont désignés Swipe to nex: page par des termes qui r La dénonciation pren us or 2 avec l’adresse faite à n to View nextÇEge Soyecour !

Je regrett pénétrant, élevé, soci « orphelins raison funèbre, guerre : « Jeune esprit déjà mûr, prématurée L’article de l’encyclopédie se fonde sur un parallélisme entre guerre et paix, construit sur une double image antithétique : la guerre est une maladie (la guerre est associée au champ lexical de la maladie : « dépeuple « terres… incultes et abandonnées », ? perte », « plaies profondes ») , tandis que la paix, elle, est le garant de la santé de la nation (la paix est associée au champ lexical de la santé : »vigueur « force… écessaire « bonheur », « guérir » Voltaire ironise contre la prétention et l’orgueil des princes (« le prlnce et son conseil concluent sans difficulté que cette province lui appartient de droit divin h). Il met en avant la folie meurtrière des hommes qui « couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires » et l’absurdité et la stupidité de leurs ctes sans avoir aucun intérêt au procès « sans savoir même de quoi il s’agit »).

Enfin, c’est toujours avec ironie qu’il dénonce l’implication de la religion (« chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d’aller exterminer son prochain »). Cela montre les supériorités et même l’impérialisme de ceux qui gouverne en 1764 (siècle des Lumières) mais aussi de l’abus de pouvoir. Le dialogue est Parme qu’utilise Giraudoux pour mettre en confrontation deux thèses opposées.

La défense de la vie est soutenue par Andromaque, face à Priam qui défend la guerre au nom du courage civil. Le choix d’Andromaque, voix féminine, pour condamner la guerre, ne laisse pas indiffèrent : c’est le symbole de la maternité, de Hêtre qui donne vie (Andromaque est d’ailleurs à ce titre une figure emblématique de mère). Lorsque le choix de Priam, voix masculine, pour que l’homme parte a la guerre et non resté comme un courageux civil et paresseux. L’homme est face ? son destin et confronté à la mort. (Dialogue tragique)