Psychologie sant mentale

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Psychologie Santé Mentale Troubles santé mental diffèrent d’un pays à l’autre . Aspect culturel, contexte, multi-source Psychopathologies Description Clinique (Côté médical, utilise le DSN) Causes (Psychologue regarde dans le développement de la personne, regardent dans le passé, comment Schème comportementaux ont été créé? Adapter ou non? ) Traitement (Psychologue donnent des outils, travail sur les relations interperson apprendre à commu : patterns le monde dans leque comprendre le mond Histoire Modèle surnaturel : – des sociales pour OF4 • naviguer dans

Swape nextp g us permet de forces occultes, ésotériques, prend possession de l’individu, religion pousse ces croyances. Se tourne vers la religion pour expliquer les phénomènes inexplicables, quelque chose plus fort que nous. Plusieurs traitements possibles : trépanation (trou dans le cerveau pour faire sortir la maladie mentale), opium, rituel religieux (exorcisme), logique déliminer (peur des troubles de santé mental car on ne connait pas, ignorance).

MOYEN ÂGE en majeur partie mais existe encore quelques poches de résistances qui utilise ce modèle Modèle biologique : édecine, étudie le cerveau, arrive avec Hippocrate, théorie qui implique le corps humain (pas très plausible mais biologique). comportement. Empire romain jusqu’au moyen âge. Après moyen âge, malade mentaux = malade. On crée des asiles, on les identifie et on les met à l’écart (comme des prisons), presque pas de droits humains, on vous enferme contre votre gré. as de justice Peut créer des problèmes mentaux même s’il n’en avait pas Avancé majeur : on ne tue plus les gens mais on ne les traite pas comme des humains. Période de contention (présence au Canada) Arrivé de Pinel, prône les droits humains en Europe, focus sur l’être humain, on leur donne des responsabilités (ménages, nourriture, arts… ) pour leur donné une raison de se lever le matin (qualité de vie) = traitement moral. Première ébauche du modèle psychologique. On leur redonne le titre d’être humain. environ 1800) Trouble du cerveau, première maladie entre problème au cerveau et comportement (problème de santé mental) = Parésie centrale (issue de la syphilis) virus qui monte au cerveau. Cure avec antibiotiques. Arrivé des traitements chocs, pour les patients les plus difficiles ? érer, traitements évasifs qui arrive dans un contexte où on a rien pour calmer ces patients (rendre le cerveau inhospitalier pour la maladie mentale) choc au niveau cérébral (bain d’eau glacé, grande dose insuline pour chasser la manie… La lobotomie : on fait des lésions cérébrales, on coupe des fibres pour calmer la personne au niveau dorso-latéral. La personne devient docile, détacher au niveau émotionnel, moins imprévisibles. Modèle psychologique Freud ** Figure 1. 3 apprendre la séquence (qu’est-ce qui se chevauche, quel troubles à quel période, comment ça apprendre la séquence (qu’est-ce qui se chevauche, quel troubles à quel période, comment ça évoluer… Neurotransmetteur Principaux : Glutomate : activateur, si on prend une drogue qui augumente le glutomate, le cerveau s’Actice (phénomène d’éveil) Gaba : Inhibition, lorsqu’on augumente l’inhibition (anti- dépresseur et autre médicament, alcool), difficulté à s’endormir. Les tranquilisants réduise l’anxiété et amplifie la sensibilité à ce neurotransmterteur. Augumentation par les calmant (ex valium) = augumente l’inhibition donc somnolence Secondaire :

Dopamine : TDAH, trouble d’attention, pas assez de dopamine, quand on fais quelque chose qui nous plait, la dopamine se décharge (problème de dépendance beaucoup de dopanime dans une région du cerveau qui motive, sentiment de récompense). Motricité (Parkinson) est réduite à cause du manque de dopamine. Schyzophrénie (dopamine est directement lié au contact avec la réalité).

Prise de drogue influence ce neurotransmetteur (stimulant) Sérotonine : Humeur, comportement de sommeil, satiété (problème très présent chez les dépressif) Noradrénaline : phénomène d’attention, sommeil, appétit dépression) Endorhpine : Héroine, morphine… rend euphorique et augmente beaucoup la présence d’endorphine. (calme la douleur) Aspect psychologique (dans la tête des patients) On regarde tout d’abord le étresse, émotion 3 déconnexion avec raffecte (émotions triste – réaction heureuse). Aspect cognitif, comment la personne analyse l’informations pour avoir cette réponse. * évènement récurent, aspect temporel important Comportement : façon de réagir et de communiquer les émotions ressentis Cognition : Est-ce que la personne pense normalement où présente ne distorsion cognitive (dépression, anxiété, bipolarité) = La personne est relativement connecter avec le monde mais contorsionne la réalité mais en mettant certains éléments en avant plan, ne voit plus les nuances tout est négatif Comment la personne pense, qu’est-ce qui te vient en tête automatiquement, discours interne Comportement En lien avec l’émotion (l’affecte) Transgresse les normes sociales (ex : parler seul en public) Dimensions sociales Principale signe : isolement social (plus les personnes sont bien entourés plus sa situation va s’aider vite, expérience de vie. ) Famille, amie, travail (3 cercles socials à évaluer) comment sont les relations (saines ou non) Soutient social (si la personne ne se sent pas bien avec un des cercles social il va se faire aider par les autres). Filet social Famille dysfonctionnelle? Plus la famille est normale, plus l’aide va être précieuse Facteur culturel (ex : asiatique dont plus fermés émotionnelement) Facteurs social (urbain ou rural) ne concoive pas les choses de la même façon. Différence sexuelle (fille vont plus vers l’émotion que les garçons ** facteurs intereliés, ils s’influence tous les uns les autres 4