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Académie de Roberval Biographie de Léonard De Vinci Travail de français Présenté ? or 8 Madame Germain Sni* to View par Tetbirt, Khaled Adel Français 4 Mars 2015 Introduction J’ai choisi la biographie de Léonard De Vinci, et pas une autre, car il était, il est, et il sera peut-être toujours, une des plus grandes lumières de ce monde. J’aime bien ce personnage, car, contrairement à plusieurs autres savants de son temps, il n’était pas spécialisé dans un seul domaine, il avait une homme comme lui, que j’ai choisi ce livre. Mini-biographie Léonard De Vinci est né le 15 Avril 1452.

Son père s’appelait ser Piero Da Vinci. Léonard était l’enfant illégitime de Piero, mais son grand père, Antonio, développa très vite une affection pour lui, et il nota sa naissance dans son carnet, raison pour laquelle nous connaissons aujourd’hui la date de sa naissance. Léonard faisait partie d’une famille de notaires ; tous ses ancêtres (ou du moins le plus loin où les historiens ont pu creuser) portent le titre ser dans leur nom, titre qui prouve Pimplication d’une personne dans la vie sociale et surtout administrative de la ville dans laquelle il vit.

Nous ne connaissons pas grand-chose de son enfance, si ce ‘est qu’il est resté dans sa ville natale, à Vinci, un petit village de campagne en Italie, et qu’il était très proche de son père et de son grand-père Antonio. Plus tard, Léonard partit à Florence avec son père, ou celui-ci pouvait pleinement exercer son métier de notaire. Vers 16 ans, Léonard commença à développer une passion pour l’art, en particulier pour le dessin et la peinture. Son père vit son talent et alla immédiatement voir un ancien ami, Andrea Verrocchio.

Cet homme est sûrement la personne qui a été la plus influente dans la vie de Léonard. Verrocchio a été e seul à comprendre l’esprlt du jeune Léonard, et ra guidé. Le temps a rapidement passé, et Léonard devenait de plus en plus intelligent ; vers 18 ans, il commença à faire de la sculpture, et il créa une pièce que la plupart des historiens appellent la rondache de bois sur laquelle il et il créa une pièce que la plupart des historiens appellent la rondache de bois sur laquelle il peignit une tête de méduse.

Léonard avait aussi créé une sculpture effrayante en mélangeant plusieurs parties de plusieurs créatures différentes, et un récit raconte que même ser Piero aurait voulu s’enfuir en regardant e résultat final. un autre récit prouve que Léonard avançait très rapidement ; un homme appelé Vasari dit que même le maître de Léonard, Verrocchio, posait des questions à son élève sur la peinture et plus précisément sur la perspective. À 20 ans, l’élève avait dépassé le maître. Pendant dix ans encore, toujours ? Florence, Léonard améliore ses techniques avec Verrocchio.

Il y a même une anecdote, rapportée par Vasari, qui disait qu’un jour, Léonard peignit un ange dans une des peintures de son maitre, appelée Le Baptême du Christ, et que cet ange était si bien fait u’il attirait toute l’attention et camouflait le reste de la toile. Après quoi Verrocchio fut tellement humilié que son élève en connaisse plus que lui qu’il n’aurait plus jamais touché un pinceau. Durant cette période, Léonard peignit plusieurs tableaux, comme l’Annonciation, au le portrait de Ginevra Benci, puis consacra une grande partie de son temps à aider son maitre dans plusieurs toiles.

Mais un évènement bouleversa sa vie ; il partit vivre ? Milan. Il ne partit pas de son propre gré ; un grand homme d’état qui l’aimait bien-l_aurent le Magnifique ou Lorenzo di Piero-l’aurait nvoyé, accompagné d’Atalante Migliorotti, pour remettre une lyre d’argent au seigneur de Milan, Ludovic le Mor accompagné d’Atalante Migliorotti, pour remettre une lyre d’argent au seigneur de Milan, Ludovic le More. Léonard demeura à Milan longtemps (environ un vingtaine d’années), et il était le musicien de la cour de Ludovic le More. plusieurs de ses plus grands travaux s’effectuèrent à Milan, sous la direction du Seigneur Milanais.

Parmi ses œuvres réalisées au service de Sforza on retrouve : La Vierge aux Rochers, La Dame à l’hermine, La Cène, et bien d’autres. Il réalisa aussi PHomme de Vitruve. Une anecdote, encore une fois rapportée par Vasari, dit que Léonard voulu un jour dessiner plus que le portrait classique de son temps (c’est-à-dire des épaules à la tête) ; il aurait voulu dessiner le corps au complet. Mais pour ce faire il devait connaître les proportions du corps humain. On dit que pendant ses études, il arrêtait des inconnus à la foire et les mesurait.

L’homme de Vitruve est jusqu’aujourd’hui la représentation la plus parfaite des proportions du corps humain, et elle a été réalisée en 1492. Il rencontra à Milan une personne très importante dans sa vie Luca Palioci. Luca était un mathématicien, et plus précisément celui qui a réveillé l’esprit scientifique de Léonard. Les deux hommes collaborèrent dans récriture d’un livre sur la géométrie où ils essayèrent de résoudre un problème très connu dans le monde des mathématiques à cette époque : la quadrature du cercle. Bien sûr, ils ne réussirent pas à cause du caractère infini du chiffre pi (TT).

Vers 1499, la ville de Milan fut assiégée par les Français, et le maitre de Léonard, seigneur de Milan, pe PAGF de Milan fut assiégée par les Français, et le maitre de Léonard, eigneur de Milan, perdit tout son pouvoir, son influence et son argent. C’est à ce moment que le Seigneur de Ligny, ou Louis de Luxembourg, lui proposa de travailler pour lui et Léonard accepta. Sauf que tout n’était pas si simple, et moins d’un an plus tard, des rumeurs disaient que le Duc de Milan était revenu au pouvoir aidé par les rebelles milanais et ses fidèles partisans.

Ces mêmes rumeurs disaient aussi que le Duc comptait punir les citoyens infidèles ayant collaborés avec l’ennemi, et Léonard en faisait partie. Il décida alors de partir chez les plus puissants alliés Italiens des Français ; les Vénitiens. Une fois arrivé à Venise, Léonard retrouva un ancien ami ; Luca Palioci. Celui-ci l’aida ? trouver un atelier ou Léonard ferait ses recherches. Durant cette période, qui dura approximativement sept ans, (de 1499 à 1 506), Léonard réalisa l’œuvre que tout le monde lui associe, et qui est considérée jusqu’à maintenant comme la plus belle toile au monde ; La Joconde, ou Mona Lisa.

Vers 1503, un homme appelé Francesco Del Giocondo lui fit la commande d’un double portrait ; le sien et celui de son épouse, monna Lisa Gherardini. Ce portrait lui prendra trois ans à réaliser (de 1503 à 1506). Finalement Léonard passe ses dernières années en France, invité par le Roi François premier. Il passe la majeure partie de son temps ? élaborer une commande faite en 1515 par le Roi et le pape ; un lion en fer pouvant marcher et ayant un torse ouvrable, duquel sortiraient des fleurs. La raison de la conception marcher et ayant un torse ouvrable, duquel sortiraient des fleurs.

La raison de la conception de ce lion est inconnue, et le projet demeura incomplet car Léonard meurt en 1519, soit quatre ans après le début du projet. Léonard meurt à 64 ans, affaibli par une maladie qui le rongeait depuis plusieurs mois (maladie inconnue). Il évoque ses derniers souhaits dans son testament, où il demande que son cercueil soit suivit par 60 mendiants, et où il lègue toutes ses œuvres à son élève préféré, Francesco Melzi, précisant très clairement de les publier. C’est dans la tristesse et la solitude que Léonard Da Vinci quitta ce monde le 2 mai 1519.

Extraits du livre Extrait 1 : « Récit de Vasari : « Celui-ci (Verrocchio maître de Léonard) travaillait à un Baptême du Christ ; Léonard y peignit un ange porte-vêtement et, malgré son extrême jeunesse, il fit si bien que son ange était meilleur que les figures d’Andrea (Verrocchio). À la uite de quoi, celui-ci, humilié de voir qu’un enfant en savait plus que lui, ne voulut plus toucher un pinceau » » (Page 52) J’ai bien aimé ce passage que l’auteur à intégrer au livre car il permettait de se détacher de Phistoire de la vie professionnelle de Léonard pour se décontracter.

Et ce récit de Vasari représente bien l’habilité de Léonard lors de sa jeunesse. Extrait 2 : « L’ébauche de chevelure est rigoureusement enserrée autour de la tête par un voile transparent, tandis que son vêtement somptueux annonce la mode espagnole, et peut-être s’agit-il d’un des présents que le More reçût du royaume de Naples » J’aime ce passage car l’auteu s’agit-il d’un des présents que le More reçût du royaume de Naples » J’aime ce passage car Hauteur décris bien la toile de Léonard et émet ses propres opinions et déductions en parlant du vêtement.

Il arrive surtout à me faire une image claire de la peinture. Extrait 3 : « Peut-être Luca Palioci fut-il également de la partie, puisqu’il raconte, dans son De Viribus Quantatis, avec une fraîcheur et une précision dont seul un témoin directe peut faire preuve, le franchissement d’un fleuve, rendu possible grâce à la construction d’un pont conçu par « son noble ingénieur’, qui ne peut être autre ue son ami Léonard J’ame beaucoup de passage car il démontre que l’auteur vérlfie ses informations même quand ce sont de petites histoires comme celle-ci.

Extrait 4 « Léonard découvrit avec stupeur et admiration les œuvres que tous ces hommes de talent avaient réalisées à Rome et bien qu’il fut au faîte de sa splendeur et de sa maturité artistique, Léonard se montra fort discret, restant dans Pintimité de ses appartements » J’ame bien cet extrait car c’est l’une des très rares fois où l’auteur nous décrit ‘état d’âme de Léonard, car jusqu’à maintenant, l’auteur décrit Léonard comme un homme calme et stoïque, ne aissant jamais ses émotions paraitre.

Extrait 5 : « Une recherche ininterrompue, sans confins et sans barrières, qui ne s’arrête, à un moment donné, que parce qu’elle atteint sa limite biologique ou anthropologique extrême : l’heure tardive de la nuit, la fin de l’huile de la lampe, la fin de l’encre ou du papier, la fln de la vie. » C’est l’extrait q fin de l’huile de la lampe, la fin de l’encre ou du papier, la fin de la vie. ? C’est l’extrait que j’aime le plus parmi tous car l’auteur a parfaitement réussi à résumer le sens de la vie de Léonard ; faire sa recherche à tout prix, jusqu’à la fin de sa vie, en laissant de ôté tout le reste. Conclusion Léonard a toujours été quelqu’un qui s’est intéressé à la science, dès son plus jeune âge. Lorsqu’il rencontrait un problème, c’était une manie chez lui de trouver la solution, coute que coute.

Léonard n’abandonnait pas facilement, bien sûr, plusieurs de ses œuvres sont toujours inachevées, mais il n’abandonnait que par ennui, quand il n’y avait plus aucun défi. Plusieurs personnes n’aiment pas se casser la tête pour résoudre un problème, et la plupart de ces personnes ne prennent pas plaisir à le résoudre. Pour Léonard c’était tout le contraire ; il était presque n maniaque des problèmes, sans eux il n’était rien.

Au-del? de ces œuvres artistiques, il découvrit plusieurs théorèmes et réalisa plusieurs inventions, toujours dans l’intention de rencontrer de nouveaux problèmes, et d’en trouver la solution. Cette manière de penser a ses avantages ; les découvertes que Léonard a faites sont capitales et quelquefois essentielles ? l’avancée de la technologie. Mais s’isoler du reste du monde au point d’en devenir presque inhumain et antisocial est un très grand désavantage. Finalement, ce grand génie s’est éteint, et a surement emporté avec lui un très grand savoir.