Processus infectieux
Immunité active = lm en réponse à une sti Action décalée dans 0 Swip not page x capable d’induite tre cet agent. d’Ac par un individu fection ou vaccin. Immunité passive L] Acquisition d’Ac d’un autre individu : transfert maternel, sérothérapie. Action immédiate mais durée limitée. Surveillance de l’antibiothérapie : Efficacité du ttt : apyrexie, signes inflammatoires, signes spécifiques de l’infection, marqueurs bio (CRP, dosages). Dosages des antibiotiques : indications systématique pour les aminosides et les Glycopeptides. Attention à la vitesse de perfusion et délai de dosage.
Tolérance : allergique+++, vole d’abord, digestive, hépatique ou rénale, neurologique et fièvre Inflammation : Locales : rougeur, chaleur, douleur, œdème Générales : AEG, fièvre, confusion Biologiques : VS accélérée, CRP, hyperleucocytoses à PNN Traitement : : mise en évidence du microorganisme : bactériologie standard +++, mycologie, biologie moléculaire, détection des antigènes, sérologies Hémocultures : Recherche d’une bactériémie importance du moment du prélèvement : pic fébrile, frissons De l’asepsie Aérobie PUIS anaérobie Du volume de sang prélevé : au moins 10 mC +++
Du transport rapide au laboratoire Indications Hyperthermie OU hypothermie Frissons Marbrures Hypotension inexpliquée Cas particuliers : infections sur cathéter central : hémoculture sur VVC et en périphérie Hémocultures spécifiques : mycobactéries, champignons surveillance de Fantibi0thérapie : EFFICACITE : APYREXIE ++4, diminution des signes inflammatoires des signes spécifiques de l’infection. Marqueurs biologiques : CRP. Dosages. Prévention : 1. Eliminer le réservoir 2. Supprimer le mode de transmission 3. Supprimer le vecteur 4. Prévenir le développement de la maladie 5. Limiter les cas secondaires
Maladies à déclaration obligatoire Obligation à tous les médecins. Anonyme. Liste de 31 maladies établit par décret. 2. Infections urinaires Physiopathologie 0 Définitions : infection urinaire basse : cystite. Infection urinaire haute ou parenchymateuse : pyélonéphrite, prostatite nfection urinaire simple : chez la femme jeune sans comorbidité A risque de complication : âge >65 ans, homme, femme enceinte, uropathie malformative/obstructive, comorbidités (immunosuppression, IR terminale) Clinique : Signes fonctionnels : pollakiurie, brulures mictionnelles, urines troubles (hématurie +/-)
Syndrome infectieux : fièvre, frissons (= infection urinaire haute) Signes parenchymateux : douleurs abdominales et/ou lombaires, douleurs hypogastriques (prostatite), TR douloureux. Diagnostic : La bandelette urinaire doit être faite en systématique pour les patients non sondés Onitrites, leucocytes, sang (pas toujours). Bilan bactériologique : avant antibiothérapie, ECBLJ (examen cytobactériologique des urines), hémocultures Bilan morphologique : échographie rénale et des voies urinaires, uro scanner pour détecter une forme obstructive ou des complications locales (abcès, pyélite, néphrite).
Mesures hygiéno-diététiques : hydratation ++4, mictions fréquentes et post coitales, régularisation du transit, vêtements amples, sous-vêtements en coton, arrêt d’utilisation de spermicides. Traitement par simple ou double antibiothérapie. Toujours adaptée en fonction de l’antibiogramme. 2. Endocardite infectieuse nfection de l’endocarde, sur, le plus souvent les valves cardiaques, natives ou prothétiques. Ou lors d’une greffe au cours d’une bactériémie. Facteurs de risque : porte d’entrée cardiopathie à haut risque. Porte d’entrée : dents, iatr digestif, urinaire, 3 0
Signes de complication : cardiaques, emboliques (neurologique, ostéo-articulaire,… ), rénales… Examens complémentaires : Hémocultures Echographie cardiaque Autres : TDM, IRM cérébrale, bilan de la porte d’entrée Traitements antibiothérapie adaptée aux résultats bactériologiques, par voie IV, prolongée. Chirurgie (40 à des cas) : réparation ou remplacement valvulaire 3. La tuberculose Maladie infectieuse transmissible : mycobacterium Tuberculosis (z bacille de Koch). Transmission interhumaine par voie aérienne (fines gouttelettes aérosolisées de sécrétions respiratoires).
Seule a tuberculose pulmonaire est contagieuse. Il existe une relation entre la tuberculose et le VIH. Tuberculose et résistance au traitement : non-respect du traitement par le patient donc résistance par la suite. Contexte épidémiologique +++ Altération de l’état général +++ : asthénie, amaigrissement Fièvres et sueurs nocturnes Signes pulmonaires : toux, crachats, hémoptysies. Signes extra-pulmonaires selon les localisations Physiopathologie : Primo infection souvent asymptomatique Porte d’entrée aérienne, pénétration jusqu’aux alvéoles Formation d’un granulome avec adénopathie satellite à évolution
Guérison spontanée ou infection latente. Radio, IRM, scanner, échographie Tests spécifiques Anatomopathologie : analyse histolo ique en cas de biopsie, ponction ou exérèse chiru 4 0 pulmonaires… prise en charge Maladie à déclaration obligatoire : PEC à 100 % Bilan des comorbidités et PEC Bilan associé : état général (bilan nutritionnel, vitamine D), sérologie VIH, HBV et HVC, bilan pré thérapeutique (hépatique et rénal, hémogramme), uricémie, bêta HCG, consultation ophtalmologique. Isolement respiratoire : durée contagiosité 15 à 21 jours. Soignants/visiteurs : masque FFPI ou 2, patient : masque simple.
Limiter les déplacements. Aération de la chambre + pression négative. Les traitements sont différents en fonction si c’est une tuberculose latente ou maladie : traitement long. Surveillance de Fobservance (connaissance des traitements, coloration orangée des urines, augmentation de l’urée, si besoin consultation médicales régulière et passage IDE pour préparation des traitements) et de la tolérance (clinique : troubles digestifs, neuropathies et bilan hépatique). Enquête du Centre de Lutte Anti-tuberculose suite à la déclaration obligatoire. Vaccination préventive non obligatoire, le BCG. 4.
Pathologie du voyage, maladies d’importation, prévention Il faut préparer son voyage : vaccin obligatoire dans certaines zones, penser à la protection solaire, lavage et séchage de la peau, rapport sexuel protégé, éviter les bains en eaux douces, ne pas immerger la tête, repasser le linge séché au soleil. Prévention de la diarrhée du voyageur : lavage des mains, aliments à peu de risque (aliments bien cuits, servis chauds), Aliments à risques (fruits de mer, viande, poisson mal cuits, glace et glaçons, produits laitiers), Boissons (eau et boissons encapsulées, portée à ébullition ou décontaminées par méthode himique). eurologique, respiratoire ou hémodynamique, signes hémorragiques, ictère, hémoglobinurie macroscopique. Prévention du paludisme : éviter les piqures de moustiques, chimio prophylaxie. 5. Les hépatites virales Définition Processus inflammatoire du foie Nécrose hépatocellulaire diffuse ou en foyer Augmentation des enzymes hépatiques Etiologies . Alcool Virus Médicaments Ischémique/Vasculaire Virus hépatite A, B, C . appartiennent à des familles différentes tropisme spécifique pour le foie Il existe d’autre virus moins connus Hépatite D, E Virus herpès EBV (mononucléose infectieuse)
HSV (virus herpès simplex) CMV (cytomégalovirus) Arbovirus (fièvre jaune, dengue) Forme clinique des hépatites Hépatite aigue: Période de primo infection e plus souvent asymptomatique +++ Symptomatique + ( Hépatite fulminante (très rare) Hépatite Chronique: Persistance de l’infection au-delà de 6 mois Risque d’évolution vers une cirrhose puis cancer carcinome hépatocellulaire Hépatites aigues fulminantes: hépatite aigues avec réact re ++4. OF IC épidémiologique : Consommation de crustacés, eau souillée, notion de voyage Hygiène++, lavage des mains Vaccin Hépatite C : Transmission: parentérale +++ ang et dérivés, toxicomanie intraveineuse, transfusion personnel soignant exposé : maladie professionnelle, AES tatouage/piercing Materno-fœtale ++ (verticale) Transmission sexuelle Famille, enfant-enfant, personne à personne (horizontale) Evolution vers la chronicité.
Sérologie : test Élisa, séroconversion tardive (3 à 4 mois après) + test de confirmation diagnostic direct ‘ test de détection d’antigènes PCR qualitative et quantitative Génotypage Prévention +++ : Pas de vaccination Prévention des AES, recommandation préservatifs Dépistage obligatoire IgC anti-VHC et PCR VHC : donneur de sang u d’organes Traitement des hépatites chroniques : Interféron Ribavirine 6 mois à 1 an Hépatite B : Transmission materno-fœtale.
Contamination périnatale (pas de passage Trans placentaire) par contact avec sécrétions cervico-vaginales et sang de la mère. Enfant développe une hépatite chronique. Conséquences : hépatite chronique asymptomatique ++ (hépato carcinome) Diagnostic virologique de l’hé atite B . sérologie : tests ELISA (Aca ti. HBe, Acanti. HBC) tardif de l’infection à VIH) Des disparités selon les régions du monde 0 On observe une baisse des nouvelles infections en Afrique subsaharienne, une ontinuité en Europe, en Asie et pacifique mais une augmentation dans les pays du Moyen-Orient.
On observe une baisse de 2003 à 2008 et maintenant le nombre de nouveau cas stagne en France. On continue d’observer qu’il existe des groupes à risques, les personnes ne se protègent plus à cause de l’efficacité des traitements (entre 2003 à 2012). On note aussi que le dépistage est beaucoup plus précoce, souvent même avant l’apparition du SIDA, avant l’apparition de la maladie et des symptômes (primo- infection).
Les cellules cibles du virus HIV : Cellules qui portent la molécule CD4 sur leur membrane cellulaire : ymphocytes T4 Cellules macrophagiques : Monocytes, cellules de Langerhans, cellules dendritiques cérébrales 3 modes de transmission : Sanguine Sexuelle 0 facteurs de risques : Nombre de partenaires, « surisque » si homosexualité Sexe du partenaire (OH) Contagiosité du partenaire : primo-infection ou stade SIDA Lésions génitales : MST+++ Saignements : règles, viols.. De la mère à l’enfant : materno-fœtale .
Durant la fin de la grossesse (1/3 des cas), l’accouchement (2/3) ou l’allaitement au sein Risque de transmission : Afrique : 30 à 40 % France avec traitement ARV : 1 % Protection : traitement ARV en fin de grossesse : Trithérapie en fin de grossesse +/- césarienne (France) et AZT sirop bébé pendant 6 semaines. Allaitement contre-indiqué. AZT + Névirapine dose uni hement en Afrique 8 0 peu spécifique LI syndrome pseudo-grippal avec fièvre, asthénie, arthralgies, myalgie… et atteintes cutanées (éruption), pharyngite +1- ulcérations, ulcérations génitales….
Phase asymptomatique (10 ans en moyenne) = stade A et parfois symptômes non classés au stade SIDA (=stade B) : signes « mineurs » : zona, candidose buccale, thrombopénie liée au VIH Si CD4100) bilan fièvre prolongée, sueurs nocturnes avec anorexie, amaigrissement. Vaccination par le BCG vaccin à bacilles vivants atténués. Efficacité partielle mais qui permet de réduire la fréquence des formes graves (méningites ++). Interdite chez le VIH car risque de BCGite généralisée. Toxoplasmose : Toxoplasma Gondii. Baisse de l’immunité réactivation endogène des kystes toxoplasme c Diagnostic Clinique .
Signes d’appel : fièvre, céphalées, signes neurologiques Abcès focalisé : hémiplégies, crises comitiales Trouble de conscience Scanner cérébral ou IRM cérébrale. nfections à cytomégalovirus Trithérapie classique 8. Choc septique, sepsis sévère, choc septique Choc septique SRIS : syndrome de réponse inflammatoire systémique. Hyperthermie ou hypothermie Tachycardie Polypnée Hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles Infection, signe d’inflammation seulement. Sepsis : SRIS d’origine infectieuse * bactériémie (z hémoculture positive) = septicémie.
Sepsis sévère = sepsis + défaillance : Hémodynamique : hypotension artérielle Respiratoire : détresse respiratoire, hypoxie Neurologique : trouble de conscience Rénale : insuffisance rénal fréquence respiratoire, le système cutanée (marbrures), défaillances diverses (respiratoire, diurèse anormale, roubles biologiques (lactate +++, insuffisance rénale, anomalies hépatiques et troubles de la coagulation) Pose de VVC : Conditions : Asepsie chirurgicale Trendelenburg Patient scopé Installation +++ : Jugulaire : tête tournée sur le côté opposé Sous-claviaire….
Contrôle radio Risque d’embolie gazeuse. 9. Pathologies d’inoculation • Maladies dues à . La contamination de plaies traumatiques La piqûre par du matériel Inerte (aiguille, arête de poisson, épine végétale La piqûre d’arthropodes (insectes, acariens) Les morsures animales Pasteurellose : Animaux (chat et autres) ou milieu extérieur. Contamination par morsure ou griffure (piqûre végétale rare). Douleur +++ inflammation Dévolution vers arthrite, phlegmon des gaines.