Philosophie et rationnalité

essay B

Philosophie — Examen #1 Introduction à la pensée critique Qu’est-ce que c’est? Démarche qui consiste à améliorer nos processus de pensée (comment puis-je penser mieux? ). Deux niveaux de pensée : Intuitif et cognitif 2. L’éthique de la croyance Croyance fondée : prends en considération les informations mises à la disposition, des raisons valables. Juger les croyances? Ce ne sont pas les croyances proprement dites qui sont jugées, mais plutôt les conséquences qui en découlent. Croyances dans la so Les actions, les mod convictions qui nous Responsabilité?

Chaq or7 Sni* to next de la société. t d’un bagage de rations précédentes. nsabilité de remettre en question certaines croyances pour que l’héritage soit purifié; une marque claire de notre contribution 3. Relativisme, dogmatisme et faillibilisme Attitudes épistémiques (relatif à la connaissance) : relativisme, dogmatisme et faillibilisme. Notre devoir est d’avoir uniquement des croyances rationnellement justifiées. Relativisme : Toutes les croyances, les idées se valent. Attitude correcte?

Les connaissances progressent, les idées sur les sujets se modifient. N’implique pas que chacun ait raison et que toutes les opinions se valent. Donc, non ce n’est pas correct. Dogmatisme : On a toujours raison. Attitude correcte? Néglige l’avantage qu’il y a de mettre en commun nos intelligences. On tient beaucoup à nos croyances ou on est si allergique au doute qu’on préfère vivre dans un univers pas une correcte. Faillibilisme : On considère qu’il n’y a pas de méthodes infaillibles pour arriver à des vérités définitives. Attitude correcte?

L’absence de vérités définitives est due au fait que nos méthodes reflètent les limites de notre époque. Donc, oui c’est l’attitude à adopter. 4. Les sophismes une argumentation : Raisonnement constitué de prémisses et d’une conclusion. Une prémisse est une raison censée justifier la conclusion. Une conclusion est la croyance. Le test du « pourquoi?… Parce que… Généralisation abusive : Deux variantes; Tirer une conclusion générale à partir d’un trop petit nombre de cas particuliers; Tirer une conclusion à partir d’un échantillon biaisé.

Fardeau de la preuve (appel à l’ignorance) : Deux variantes; Dire qu’une idée est vraie, parce qu’aucune preuve qu’elle est ausse; Dire qu’une idée est fausse, parce qu’aucune preuve qu’elle est vraie. Lien causal douteux : Variantes; Coïncidence, Confondre une corrélation; Confondre la cause et l’effet (conclure B cause de A, alors que A cause 3) et/ou conclure que A cause 3, alors que C cause les deux. Double faute : Tenter de justifier un comportement en soulignant que d’autres on fait la même chose ou même pire.

Faux dilemme : On tente de convaincre qu’il ny a qu’un nombre restreint de choix, alors qu’il y en a d’autres. Appel à la tradition : Réfère au passé pour conclure (nos ancêtres nt fait X, X fonctionnait, alors X est vrai). Caricature : Caricaturer (ou déformer) la position ou l’argumentation, donc plus facile à critiquer; Simplifier un propos de m ive (ne tiens pas compte tiens pas compte des nuances); Exagérer un propos; Citations tronquées, inexactes ou inventées ou même des cltations hors contexte.

L’attaque contre la personne : Discréditer la position d’une personne en attaquant à tort la personne qui l’a formulée,’ On s’en prend à sa personnalité, son intégrité, honnêteté, sa santé mentale, son passé, son sexe, sa nationalité, son ethnie, on orientation sexuelle, ses opinions politiques, sa religion. L’incohérence « gestes/paroles » : Tenter de discréditer la position ou l’argumentation d’une personne, simplement parce qu’elle ne fait pas ce qu’elle nous conseille de faire. Appel à la majorité : une croyance est vraie ou fausse parce qu’un grand nombre de personnes l’affirme.

Pente fatale : Si on pose un geste ou si on adopte une politique,’ Inévitablement une série de conséquences de plus en plus graves, culminant avec quelque chose de terrible, alors qu’on peut, en réalité, éviter les conséquences en question; Inévitablement une conséquence terrible, alors qu’en réalité, on peut facilement Féviter. Les croyances religieuses Religion : théorie sur l’origine de runivers faisant intervenir un ou des dieux, associée à des valeurs morales définissant le bien et le mal.

Il y a des religions typiques et des religions atypiques Religion typique : Définie par quinze caractéristiques (selon Benson Saler). Comprends trois éléments, qui sont souvent répondus en associant les réponses à l’existence d’un être surnaturel : Quelle est l’origine de l’univers? Qu’est-ce qui est bien et mal sur le plan moral? Pourquoi quelqu’un devrait-il agir moralement? Humanisme : Vision du monde répandue qui s’oppose ? l’approche religieuse, appel PAGF3C,F7 agir moralement? l’approche religieuse, appelée aussi parfois l’humanisme athée.

Réponds aux questions en assoclant souvent leurs réponses au désir et à notre capacité à regarder les choses et les évaluer de manière impartiale. L’humanité est la source de toutes les valeurs morales et esperances. Rationalisme : Avant de tenir quelque chose pour vrai, il faut fournir des raisons solides à la personne. Fidéisme : « Je n’ai pas besoin de tenir quelque chose pour vrai, e raisons solides en ce qui concerne les questions qui portent sur forigine surnaturelle de l’univers et sur féthique. » Déisme : « J’en arrive à la conclusion que je devrais croire qu’une divinité existe. ? Agnosticisme : « J’en arrive à la conclusion que les arguments disponibles ne permettent pas de conclure, même de manière provisoire. » Athéisme : « J’en arrive à la conclusion que je ne devrais pas, pour l’instant, croire qu’une divinité existe. » Arguments en faveur ou en défaveur de l’existence d’une divinité : Fanatisme : les personnes religieuses sont parfois fanatiques, leur eligion n’existe pas; Invisibilité : on ne peut pas voir les divinités. par conséquent, elles n’existent pas; La croyance inconfortable : il est rationnel de ne pas croire ce qui nous fait douter, car cela nous rend inconfortables. . Émotions et rationalité Les émotions : Caractérisées (selon le philosophe danois Jon Elster) en 6 éléments : L’excitation corporelle : vivre une émotion implique que notre corps passe d’un état particulier à un autre; L’expression psychologique : les expressions faciales, la moiteur des mains, la posture révèlent des canaux par lesque sychologique : les expressions faciales, la moiteur des mains, la posture révèlent des canaux par lesquels l’expression des émotions est possible (fonction communicationnelle); L’intensité de valence : les émotions, c’est une question de degré.

Ce qui distingue le bonheur du malheur réside dans la valence des émotions ressenties; La disposition à agir : les émotions préparent notre corps ? répondre efficacement à une nouvelle situation; L’objet : Les émotions portent sur les objets; Les raisons : c’est une croyance qui motive notre émotion. Fonctions des émotions : essentiellement trois fonctions iologiques Nous preparent à l’action; Nous indiquent quels sont les bons et les mauvais choix; Nous motivent à passer à travers faction. ?motion adéquate? Trois critères : Dois porter sur le bon objet; Soit être de la sorte appropriée; Dois être de la bonne intensité. Émotion et rationalité : Sont compatibles ensemble puisque l’on peut juger les émotions et les catégoriser selon la rationalité de chacune d’elles. 7. Juger les désirs Désirer adéquatement : Ils existent deux variables • L’objet du désir (dois porter sur le bon objet, comme lorsqu’on juge une émotion); Son intensité.

Critères d’évaluation : les moyens, le renoncement sont des critères importants; Moyen réaliste : moyen accessible et réalisable; Moyen efficace; Impliquer moins de coûts de renoncement; Être moralement acceptable Quoi vouloir? Il faut désirer des fins comprenant les critères suivants : Fins réalistes; être proportionnelle à l’importance de son objet. Les raisons : La plupart de nos désirs reposent sur des raisons qui expliquent et justifient ceux-ci. Désir rationnel : désir qui repose sur de bonnes raisons. Pourquoi?

Avoir de bonne raison de désirer quelque chose augmente nos hances que notre désir soit adéquat. L’enchaînement des désirs : Comprends des désirs intermédiaires et des désirs terminaux. 8. La faiblesse de volonté Conflit de désirs : Notre moi ne dirige pas seul agent qui préside nos choix, mais est lui-même divisé en un planificateur et un exécutant : Planificateur : Partie de soi qui voie les conséquences à long terme, voie loin. Exécutant : Partie de soi qui voie le présent, le proche avenir. Les causes : Il existe deux types de déclencheurs Perceptuels : Fais appel au sens (ex : voir, sentir, toucher, etc. ; Cognitifs : Sans les sens, dans la tête, on se l’imagine; Motivation viscérale : Besoin à l’intérieur de nous, manque de quelque chose; Distance temporelle : plus le moyen pour répondre au désir se rapproche de nous temporellement, plus cela nous déplaît. Contrôle de soi : Il existe au total 5 moyens bien connus pour mieux se contrôler : Redescription : On remplace les termes négatifs ou positifs dans la formulation du désir pour le rendre soit négatif ou positif; Gestion de l’attention : Éviter un stimulus, Attention contrôlée : Reporter le désir plus loin dans le temps;

Pari privé : Récompenses que l’on nous accorde; Contrainte à soi-même : Réduire les options, choix plus coûteux (ex : si je fais mes devoirs, mon père me redonnera mon 20 $ sinon il le gardera). 9 Les décisions rationnelles Menu de choix : L’ensemble des alternatives poss *AGF 6 rif 7 9. Les décisions rationnelles Menu de choix : L’ensemble des alternatives possibles entre lesquelles on peut choisir. L’influence des personnes qu’on fréquente sur nos désirs est plus profonde qu’on peut penser ? première vue (influencent directement nos désirs via le menu de choix);

Menu de choix réel : Comprend vraiment l’ensemble de ces alternatives; Menu de choix subjectif : L’ensemble des alternatives que l’on pense avoir. Méthodes décisionnelles : Il existe plusieurs méthodes; L’imitation : Adéquat quand c’est un nouveau problème pour nous. Consiste à imiter une personne qui Réussite; Mêmes capacités que nous; Mêmes désirs, aspirations, sensibilités. Choix par défaut . Choix prédéfini; Compatible avec le bien-être collectif; Connaissance extérieure de nos besoins. Le simulateur du futur : Utile quand événement simple.

Face ? des alternatives parmi lesquelles on doit choisir, on imagine (Cortex cérébral) ce qu’elles impliquent et on mesure l’impact émotionnel que cela a sur nous. La méthode du seuil de satisfaction : Utile lorsque l’on n’a pas besoin du meilleur choix possible. Établir à l’avance des critères qui forment un seuil de satisfaction (note de passage) : Lorsqu’il y a une grande quantité de choix; Lorsque les choix ne sont pas tous connus. La délibération . Utile lorsque l’enjeu est important et que l’on recherche le meilleur choix ossible_ Délibérer par rapport ? chacune des options (nor options) :