Philo
John Stuart Mill Intro : Philosophe et écrivain anglais, fils d’un philosophe, historien, économiste James Mill, John Stuart Mill est devenu un des plus grands penseurs du libéralisme. Il défend la morale téléologique précisément l’utilitarisme, il se base donc sur les conséquences et non sur les moyens. Très tôt, il s’associe au travaux de l’école du philosophe Jeremy Bentham. En effet, en matière morale, Mill adapte l’utilitarisme de Bentham dont il perçoit les limites. Il fonde le devoir sur au domaine du droit or 5 Bentham sur l’aspect Sni* to compte l’écart qui exi ublic. général et l’étend plus l’accent que prend davantage en ividuel et le bonheur Le but de l’Humanité est de r duire cet ecart, tant que cet écart existe le bien d’autrui doit l’emporter sur le bonheur personnel. On oppose ainsi l’utilitarisme altruiste de Mill à l’utilitarisme égoiÈte de Bentham. Pour commencer, la morale téléologique est relative ? l’eudémonisme. Cette doctrine recherche le bonheur. L’utilitarisme fait partie de l’eudémonisme. Il est lui-même divisé en 2 : bonheur personnel, Mill et bonheur public, Bentham (schéma). xemple mandarine ? Pour prouver qu’une chose est bonne, il faut nécessairement m Swlpe to vlew next page montrer que cette chose est le moyen d’en atteindre une autre dont on admet sans preuve qu’elle est bonne. » Pour qu’une chose soit bonne, il faut qu’elle engendre en tant que moyen, une finalité admise bonne sans être prouvée. Ex : art médical, art musical. Cette formule peut être soit acceptée ou refusée, la finalité bonne ou pas étant subjective. Elle dépend soit d’une tendance aveugle ou choix aribitraire.
Tendance aveugle Nous pensons que, la finalité étant ubjective, dans une société, certains individus n’ayant pas d’oplnion vont suivre l’avis de de certains. Choix arbitraire choix personnel Si tu trouves une preuve que la finalité est bonne, ça veut dire que tu refuses la doctrine. Ex : santé Utilitarisme : Doctrine morale et politique de Bentham et de John Stuart Mill fondée sur la notion d’utilité ou de « principe du plus grand bonheur » permettant de diviser les actions ou les choses en bonnes ou mauvaises selon qu’elles tendent à augmenter ou non le bonheur et à diminuer la souffrance.
La définition de l’utilité est strictement benthamienne en ce u’il conçoit le bonheur comme étant le plaisir et l’absence de douleur; la différence se trouve dans une nouvelle démarche. Mill cherche en effet, à accomplir deux choses, d’abord, la défense d’utilitarisme correctement défini et, ensuite, la critique de la définition populaire de l’utilitarlsme. Tout ce qui correctement défini et, ensuite, la critique de la définition populaire de l’utilitarisme.
Tout ce qui a de la valeur doit se concevoir ainsi, soit comme un moyen ou une partie du bonheur; il ne peut y avoir aucune autre preuve au-delà de cet appel de la onstitution psychologique de la nature humaine. Mill considère ainsi, que la vertu est le plus grand bien et qu’elle est un moyen pour atteindre la fin suprême, et, par association, finit par être désirée pour elle-même.
Différence utilitarisme de Bentham et Mill De Bentham, Mill retient le principe de l’utilité, mais le principe seulement. Encore donne-t-il au mot «utile» un tout autre sens que Bentham, en distinguant soigneusement «l’utile» de «liexpédient». On peut définir les principes de l’utilitarisme en tant que théorie éthique, ou doctrine éthique qui pose en hypothèse u ce qui est «utile» est bon et que l’utilité peut être déterminée d’une manière rationnelle83(*).
Cette théorie découle du bon sens: il faut faire les choses utiles et éviter les choses inutiles. Les conséquences de nos actes ne sont pas complètement bonnes ou mauvaises. Il faut en prendre le solde. Tout le monde partage, un peu ce rationalisme là, c’est une philosophie sociale empiriste, fondée sur l’expérience. Les utilitarismes de Mill et de Bentham ont pour point commun de ne prendre en compte que les sensations et le plaisir et les p