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Philo Premium Nietzsche On refusera longtemps à Nietzsche la qualité de philosophe, alléguant ses contradictions, son style poétique et aphoristique. On maladie et l’effondrement final dans la folie pour classer ses écrits au nc LA CONSOMMATION LA CONSOMMATION Vendre à tous prix, nous inciter à acheter, nous fair mordre à l’harneçan, Nous, les consarnrnateurs de taus les jours par les commerçants et les grands distributeurs qui ont pour objectifs d.
Ronsard Second livre des Amours Aux XVe et XVIe siècle. une des grande préoccupations des poètes estde valoriser et glorifier la langue français ois par la recherche de formes nouvelles, et par le recours à l’Imltatlon le monde Le gagne toute l’Amérique du Sud LE MONDE 29_12 2 à 14h3g.
Mis I à le 29_122011 à 18h57 1 Lap résidente du Brésil, D Rousset, le octobre 2011, à Bruxelles, Au cœur de la crise de 2009, le Redaction De La Dissertation 2 Sur Le Roman ; le personnage de roman REDACTION COLIABORATIVE DE LA DISSERTATION N02 un héros de roman est-il forcément admirable ? Ren du professeur en Jaune Mera à tous pour votre partlclpat•on et votre tri Livre Blanc Du Microcr Dit Au Maroc En Fran Ais PA préambule 1- Enjeux Ce la Microfinance pauvreté, vulnérabilité t Secteur informel dans nationale.
PS ll- Le Mitrztrédit un économique m 13 Ill- & du Lecture analytique La ballade des pendus premium gy Alex2222 Nietzsche On refuse alléguant contradict maladie e ‘effondre nombre d pathologi propagan pourrait al l’essentiel influence philosophi se soit uni reconnu a l’un des g Sommaire Les sourc La vie de Apport co Critique d La métho L’homme notamment témoigne de façon nette et décisive qui il est ‘ Ce ne sont bien entendu pas les évènements en eux-mêmes qui intéressent Nietzsche mais l’événement en tant qu’il exprime une attitude théorique et pratique.
Il n’y a pas our Nietzsche de philosophie, il n’y a que des philosophes dont la vie cependant n’intéresse le penser philosophique que dans la mesure où elle acquiert signification universelle, dans la mesure où la vie de l’individu a valeur pour la communauté. Du reste, l’œuvre de Nietzsche est inséparable de l’histoire occidentale et il faut s’en souvenir pour le comprendre. C’est dans cet esprit qu’il nous faut donc brièvement rappeler les éléments de sa biographie.
Nietzsche est né à Rôchen, près de Leipzig en 1844. Il serait un descendant de l’aristocratie polonaise par son père. Sa mère était allemande. Nietzsche se réclame de ‘aristocratie (par le sang il se sent hors des limites nationalistes) mais en temps il s’en méfie : Le sang est le plus mauvais témoin de la vérité » écrira-t-il dans Ainsi parlait Zarathoustra. En 1859, Nietzsche devient boursier à la célèbre école de Pforta en Thuringe, école célèbre pour sa tradition humaniste et luthérienne.
La discipline y est monacale. Les études y sont classiques et insistent sur l’apprentissage de la discipline de SOI. Nietzsche lit les auteurs grecs : Sophocle, Eschyle, Platon. Nietzsche sera marqué toute sa vie par son manque de formation scientifique qu’il regrettera. En 1864, il rentre à l’unive PAGF 18 pour suivre des cours de philologie (latin et grec ancien) et de théologie. Schopenhauer influencera beaucoup sa pensée avant qu’il ne s’en détache. Il lit Le monde comme volonté et comme représentation.
Selon Schopenhauer, la réalité véritable de l’homme, sous les apparences, c’est la volonté (et non plus l’esprit, l’intelligence, la raison), force aveugle qui pousse tous les êtres vers des buts dont ils ne perçoivent pas le sens et qui, une fois atteints, laissent la place ? d’autres, indéfiniment , en d’autres termes, la réallté profonde de tous les phénomènes c’est le désir (instincts, ulsions) dont l’homme est animé inconsciemment. Vivre c’est vouloir, désirer.
Mais cette volonté sans but, sans signification, fait de l’homme un jouet inconscient de ce qui le meut. Il faut donc s’efforcer de renoncer au désir, de nier la volonté. Nietzsche gardera l’idée du désir, de la volonté qui fait vlvre mals, plus tard, il se détachera de Schopenhauer en affirmant que l’homme doit affirmer ses désirs sans nier la volonté, l’instinct, la vie. Nietzsche lit aussi Lange (un kantien) puis Kant dont il retiendra la critique de la métaphysique dont les prétentions scientifiques lui semblent définitivement dépassées.
La théologie lui apparait aussi comme une illusion grossière. Il ne se détache pas de la philologie mais il veut lui donner une base philosophique. Il croit pressentir dans la philologie le seul moyen d’accéder à la philosophie c’est-à-dire à l’humain universel. 18 notamment celle de Richard Wagner qui lui apparait comme l’Eschyle des temps modernes, le héro d une renaissance de la tragédie. Il rend de nombreuses visites à Wagner et à sa femme Cosima. Il leur lira en 1871 le manuscrit de La naissance de la tragédie.
Sa publication en 1872 lui vaudra les réactions hostiles des milieux universitaires mais lui vaut les éloges nthousiastes de Wagner. Engagé volontaire comme ambulancier et infirmier pendant la première guerre francoallemande, dont les atrocités le bouleversent, il tombe gravement malade de diphtérie et de dysenterie. Vers 1873, il ressent les premières manifestations de maux de tête et de troubles oculaires, dont il ne cessera de souffrir : la maladie va devenir consubstantielle à sa doctrine.
De 1873 à 1876, Nietzsche publie les Considérations Intempestives qui soulignent l’intérêt que porte Nietzsche aux problèmes de la culture et de l’histoire, en même temps qu’elles resserrent ses liens avec Wagner. Sa aladie et le développement de sa pensée vont le plonger dans un isolement de plus en plus grand. En 1875, il rencontre le musicien Peter Gast avec lequel il poursuivra l’amitié la plus continue et échangera la correspondante la plus importante.
Gast est le seul ami auquel Nietzsche se soit confié de façon parfaitement sincère, même s’il ne se fait aucune illusion sur ses talents de musicien. Mais aucune des amitiés de Nietzsche n’aura été heureuse. Nietzsche publie Humain t I a conscience alors de Schopenhauer. Toute la métaphysique est ébranlée. Une des conséquences est la rupture avec Wagner. En 1876, Nietzsche ssiste aux premières représentations wagnériennes de Bayreuth. Il est déçu par la pompe nationaliste et la résurgence visible des thèmes chrétiens les plus décadents.
La rupture avec Wagner et le wagnérisme sera consommée et rendue publique dès le début de 1877. En mai 1878, Nietzsche est si gravement malade qu’il doit quitter son poste de Bâle. II obtient, à la suite de ses dix années d’enseignement, une maigre pension qui lui évite la misère. Commence alors une existence errante, neuf ans de séjours variés, de voyages continuels, motivés par la recherche du climat le plus favorable ? sa santé et à l’éclosion e sa pensée.
Aurore (1880-1881 ) prolonge les analyses de Humain trop humain. Cest pendant l’été 1 881, au cours d’une promenade près de Sils Maria » à 6000 pieds au-dessus de l’humanité » que Nietzsche éprouve ‘expérience instantanée, atteint la certitude vécue de l’éternel retour. C’est alors que surgit à côté de lui son double, Zarathoustra. Dans Le Gai Savoir (1881-1882) se précisent les intuitions qui constitueront les thèmes centraux de sa philosophie.
En 1882, il rencontre Lou Salomé, jeune fille brillante, aux talents intellectuels exceptionnels (elle publiera le premier ouvrage sur Nietzsche et era plus tard l’amie de Freud et de Rilke). Nietzsche veut en faire sa disciple, la confidente privilégiée de ses pensées. Il s’éprend d’elle et de mariaee échoue de par sa propre maladresse (il charge Paul Rée, alors son rival, d’adresser à Lou sa demande) et à cause de la jalousie de sa sœur qui craint que Nietzsche ne lui échappe. Après cet échec sentimental, l’isolement grandit dans la souffrance et le drame de l’esprit.
L’œuvre s’édifie. En 1882, il écrit le premier livre de Ainsi parlait Zarathoustra ? Nice, en 1883 le deuxième livre à Sils Maria, en 1884 le livre trois, de 1884 à 1885 le livre quatre (? Zurich, Menton et Nice). L’un des plus grands livres du siècle vient d’être écrit mais ses contemporains ne s’en soucient guère. À partir de 1886, le rythme d’écriture s’accélère : livre V du Gai Savoir et Par delà le bien et le mal, 1887 La généalogie de la Morale, 1888 Le cas Wagner, Le crépuscule des Idoles, Nietzsche contre Wagner, L’Antéchrist et Ecce homo.
Cinq œuvres écrites fiévreusement. Cest la dernière année de lucidité de Nietzsche. Le 3 janvier 1889, sur la place Carlo Alberto, à Turin, Nietzsche embrasse un cheval de fiacre qu’un cocher vient de frapper puis tombe sans connaissance. De quelques jours uparavant, datent des lettres et billets de la folie adressés à des amis ou à des inconnus où il signe le plus souvent » Dionysos » ou » Le Crucifié ‘I. Nietzsche a perdu définitivement son identité.
Il n’écrira plus et, bientôt plongé dans un mutisme total, il continuera parfois de jouer un peu de musique. Ramené à Bâle par Overbeck il est conduit par sa mère à Iéna où la clinique psychiatrique prononce le diagnostic de paral ie énérale. Il habitera désormais auprès de sa m 6 8 désormais auprès de sa mère qui le soignera jusqu’à sa propre mort en 1897, puis à Weimar, auprès de sa sœur dans la aison de laquelle il meurt le 25 août 1900. De l’œuvre restent des fragments inachevés.
Les fragments posthumes représentent en fait plus de la moitié de son œuvre. Un certain nombre en seront publié de façon partielle et tronquée par la sœur de Nietzsche sous le titre La Volonté de Puissance. Le problème est, qu’entre temps, celle-ci a adhéré au nazisme et elle cherchera ? donner à cette dernière œuvre (par un habile montage des fragments) un sens qu’elle n’a pas. La Volonté de Puissance n’est pas vraiment une œuvre de Nietzsche Apport conceptuel – La finalité du philosophe est de devenir un surhomme.
Cette affirmation, qui peut paraître surprenante, a besoin d’être déchiffrée. La philosophie nietzschéenne, toute en symbole, ne doit jamais être interprétée au premier degré. Elle suppose au contraire tout un travail d’interprétation. 1- Le Surhomme (übermensch) Le surhomme est un mot que Nietzsche emprunte à Goethe. Il n’a rien à voir avec le superman des bandes dessinées, pas plus d’ailleurs qu’avec l’Aryen SS, exterminateur de popu ation.
Le nazisme, par son interprétation erronée et malhonnête de la pensée de Nietzsche a voulu faire croire que Nietzsche défendait ce que justement dans son ?uvre il a toujours refusé Nietzsche avait vécu ? partir du moment où elle s’est débarrassée de l’idée de Dieu. Dans le prologue de » Ainsi parlait Zarathoustra Nietzsche écrit : « Je vous enseigne le surhomme. L’homme est quelque chose qui doit être surmonté. Qu’avez-vous fait pour le surmonter Le surhomme est le sens de la terre. Que votre volonté dise : que le surhomme soit le sens de la terre. Le sens de la terre s’oppose bien sûr au sens du Ciel. Critique du nihilisme : l’homme du ressentiment. Le nietzschéisme procède tout entier d’une critique des valeurs du christianisme ui, aux yeux de Nietzsche, enferment l’humanité dans de fausses valeurs morales et limitent sa puissance de connaissance en lui donnant des réponses illusoires et apaisantes à ses ignorances. « Dieu est mort » a écrit Nietzsche, ce qui signifie que les valeurs religieuses (et la religion) sont mortes et qu’il faut leur substituer de nouvelles valeurs plus positives. Surhomme » signifie donc » au-delà de l’homme » c’est à dire au delà de toutes les conceptions que l’on s’est fîtes jusqu’ici de l’homme, puisque toutes ces conceptions ont été négatives. « Ecce homo » s’expliquera sur le surhomme : » Le mot surhomme tilisé pour désigner un type de la plus haute plénitude, par opposition aux modernes, aux bons, aux chrétiens et autres nihilistes, et qui, dans la bouche de Zarathoustra, devait donner ? réfléchir, ce mot a presque t0Lfours été employé avec une candeur parfaite au profit supérieure d’homme, moitié saints, moitié génies. Nous voil? prévenus : le surhomme n’est ni un saint, ni un génie et il est le contraire du bon et du chrétien. 2- Reproche du christianisme Mais que reproche donc Nietzsche au christianisme ? Il lui reproche justement de nier l’homme, d’être, comme il le dit, une morale du ressentiment. Le mot ressentiment doit être pris dans ses deux acceptions : Lhomme du ressentiment est celui qui ressent au lieu d’aglr. Il n’agit pas mais réagit. Lhomme du ressentiment est celui qui éprouve du ressentiment envers lui-même et les autres.
Cest l’homme de la culpabilité (cf. la notion de péché), qui veut se punir lui-même, l’esprit de vengeance comme dira Nietzsche, esprit de vengeance d’abord tourné envers soi-même mais qui va ensuite se tourner vers les autres comme en témoigne la figure du prêtre qui vise à la culpabilisation de l’autre. Le nietzschéisme part d’un constat : la société contemporaine se aractérise par une crise des valeurs qui est aussi une crise du fondement car le fondement sur lequel on avait fondé les valeurs s’est révélé faux.
Notre société voit l’effondrement des valeurs. On s’aperçoit que les valeurs sont relatives (historiques), d’où une angoisse du vide, du néant, que l’homme moderne cherche à masquer. Lhomme moderne concept de nihilisme. Le nihilisme, c’est la barbarie contemporaine. C’est une décomposition dans le rien, dans l’incertitude qui est le propre de l’époque nihiliste. S’il n’y a plus de fondement certain, la réaction peut être le pesslmisme. Elle peut aussi être de transformer le néant en force active : pour ne plus avoir ? contempler le néant, on se jette dedans.
C’est le totalitarisme (que critique très fortement Nietzsche et l’on voit ici l’étendue du contresens hitlérien qui a cru que Nietzsche défendait le nihilisme quand il est ce qu’il critique le plus violemment), ce sont les mythes, les superstitions, la drogue, tout ce qu’on invente pour ne plus voir le néant. Mais si les valeurs traditionnelles sont mortes de leur absence de fondement, il est encore des gens pour les défendre, d’où la figure du prêtre. Le rêtre n’est pas ? confondre avec le simple membre du clergé.
Il est la figure caractéristique de la conscience incapable de réagir au monde par des actions et le prêtre du clergé n’est rien d’autre qu’une des exploitations possibles de cette figure de la conscience. Les hommes, ou plutôt certains hommes, ceux que Nietzsche appelle les faibles ou encore les esclaves, le troupeau des agneaux bêlants, sont dans la situation de celui qui subit sans pouvoir répondre et qui, par suite, ne peut pas oublier. Ne pouvant réagir en agissant sa réaction est située sur le plan de l’imaginaire c’est