LA CONSOMMATION

essay A+

LA CONSOMMATION Vendre à tous prix, nous inciter à acheter, nous faire mordre ? l’hameçon. Nous, les consommateurs de tous les jours sommes visés par les commerçants et les grands distributeurs qui ont pour objectifs de nous faire acheter toujours plus en attirant notre attention. En France un tiers des achats est un achat impulsif de dernière minute de produit de consommation courante (shampooing, papier toilette, œufs…. ) car l’industriel joue sur le visuel avec un emballage attrayant et manipule nos sens avec différentes tactiques.

Ils pratiquent des méthodes de vente les plus redoutables. On peut se poser la question : Quels sont les moye mis or 5 grands distributeurs Sni* to View Dans une première p commerçants et les sommateur ? eting olfactif du marketing sensoriel, le marketing exp rientiel puis du neuro marketing, et enfin d’autres stratégies mise en œuvre par des grands distributeurs. 1- Le Marketing Olfactif : Beaucoup d’enseignes mettent en place des techniques de ventes afin que le consommateur achète.

Ils utilisent des diffuseurs de apeurs parfumés afin de mettre le lient en condition d’achat. Le Marketing Olfactif influence le comportement du consommateur, change son objectif principal de venu dans le magasin et refonds la perception des clients (syndrome de la Madeleine de Proust). Par exemple l’enseigne BOULANGER procède éno énormément avec les diffuseurs de vapeurs parfumés. Dans le rayon petit électroménager des cafetières, des diffuseurs sont installés aux vapeurs de cappuccino et expresso pour pousser le consommateur à l’acheter.

De même pour les écrans plats, ctuellement le diffuseur utilisé pour ce rayonnage à pour parfum dherbe coupé pour stimuler l’achat suite à la Coupe du Monde de Football 2014 pour que le consommateur se mette déjà en condition de cet évènement. Les odeurs soumis par ses diffuseurs sont régulièrement changer selon la saison, les évènements, les fêtes…. 2- Le Marketing Sensoriel : Chaque marque veut sa propre ambiance musicale, mais le genre musical doit correspondre avec la tendance actuelle de l’enseigne.

Généralement une ambiance zen pour les magasins e salle de bain, classique pour les magasins de décorations et de vaisselle et électro pop pour les magasins de vêtement branchés. Ils alternent le D’thme selon l’heure et le jour de la semaine (musique calme le lundi et plus énergique le samedi). Néanmoins l’atmosphère musicale ne doit pas gêné le client pendant ses achats et la bande son doit guider le client dans ses emplettes. Le marketing sensoriel représente une augmentation de 18 % dans les magasins qui l’ont acquièrent. 3- Le Marketing Expérientiel :

Le marketing Expérientiel met en scène les valeurs associées à une marque en impliquant le client dans la mise en scène en elle-même. Ceux qui va permettre au consommateur d’avoir un sentiment de valorisation et sans le savo sentiment de valorisation et sans le savoir il est conditionné pour acheter. comme ABERCROMBIE AND FITCH à paris sur les Champs-Elysées qui met en scène ses clients. Cette boutique met en scène une file dattente artificielle dehors afin de faire monter le désir du client. De même il théâtralise cette fausse file d’attente avec de faux vigile

Lorsque la caméra cachée est rentrée dans la boutique, tout de suite on lui a proposé de faire une photo avec un mannequin réel torse nu, seuls les vêtements sont éclairés et le reste du magasin est dans le noir pour créer une ambiance secrète, avec de la musique forte et des odeurs poussées. Enfin les vendeurs sont disposés par équipes de deux et dansent constamment. Ils doivent s’adresser par une phrase d’accroche en anglais « Hey, what’s going on ? » avant même de dire bonjour aux clients. Les clients sont raccompagnés à la porte par le personnel comme es célébrités. – Le Neuro-Marketing : C’est un procédé qui lie dans le cerveau des consommateurs avant que celui-ci exprlme sa demande. Pour savoir ce que le client désire il faut fouiller dans son inconscient lors d’expérience en lui faisant passer un I. R. M. Il va scruter les regards de chaque photo et s’intéresser aux endroits du sac qui ne plaisait pas afin de transmettre aux producteurs les éléments qui n’ont pas plus dans cette marchandise. Lors de l’expérience du documentaire une femme était installée dans un I. R. M. et le cherch