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Compte-rendu de l’exposition Georges Braque à la Villa des Arts de Casablanca Le samedi 27 septembre 2014, je me suis rendue à la Villa des Arts pour visiter l’exposition regroupant les principales estampes du célèbre artiste Georges Braque. Ces 70 estampes de la prestigieuse fondation Maeght de Saint- Paul de Vence en France retracent l’œuvre de Braque : eaux fortes et lithographies. Georges Braques est un peintre dessinateur et graveur français ayant vécu de 1882 à 1963.

Il aband une peinture plus abstraite et est consi créateur d’un nouveau courant arti eint une partie du ors Snipe to pressionnisme pour mi Picasso, un des iste a également plafond du Louvre et a été l’un des seuls à y être exposé de son vivant. Au fil de l’exposition, on retrouve ses natures mortes, ses eaux fortes, et bien entendu l’oiseau, décliné sous plusieurs formes et dans différentes couleurs. Nous pouvons observer dans la première salle d’exposition, au rez-de-chaussée une série d’eaux fortes noires et blanches.

On peut supposer qu’il s’agit là des débuts de l’artiste en la matière : les lignes sont des formes assez simples. Nous dévoilent bel et bien la marque du cubisme. La première est « La petite guitare cubiste les lignes nous laissent deviner qu’il s’agit de l’instrument musical énoncé dans le titre. Celui-ci reflète parfaitement le contenu de cette gravure. La seconde œuvre est aussi une eau forte noire et blanche. Il s’agit de « Paris », réalisée entre 1910 et 1911 .

On peut deviner à partir des espaces de vide et des formes pleines des toits ( les toits de Paris) et on peut aussi supposer que les « bandes » pleines que l’on peut apercevoir dans l’estampe eprésentent le fameux fleuve : « La Seine Après cela, je suis passée à la deuxième salle, j’ai observé plusieurs œuvres, notamment des lithographies dont : « Pommes sur fond noir », réalisée en 1953 qu m’a captivée : à première vue, faurai jugé que c’était un dessin fait au fusain (je me suis renseignée et j’ai découvert que le « crayon » utilisé sur la pierre doit être gras afin d’obtenir cet effet) mais il s’agissait d’une lithographie ! Une estampe m’a intriguée : « La Gélinotte réalisée en 1960, lithographie en ouleurs. Le dessin m’a paru fort enfantin en comparaison avec les œuvres que j’ai vues précédemment. Puis, je suis montée à l’étage et j’ai remarqué qu’à l’étage, le « thème » recurrent est l’oiseau.

En effet, Geor réalisé une série d’œuvres situations : -Les trois oiseaux en vol, 1961, eau forte ; -Vol de nuit, 1958, lithographie ; -Résurrection de l’oiseau, 1 958, lithographie ; -Au couchant, 1958, lithographie ; -L’oiseau traversant le nuage, 1957, lithographie. On peut même remarquer que l’artiste a fait une « étude de ouleurs » sur une série de trois lithographies identiques à part leurs couleurs. Dans toutes ces œuvres, on ressent bien le cubisme, les formes sont simples, il ne s’agit aucunement d’hyper-réalisme. Même si les oiseaux de Braque ne sont pas peints de manière réaliste, ils évoquent le réel, on a l’impression qu’ils volent bien dans le ciel et qu’ils sont bien présents. Les couleurs sont vives et pures.

Chaque surface est en général remplie par une même couleur, ce qui donne aux tableaux une certaine sérénité. our Braque, c’est la pureté et la simplicité qui font l’essentiel de l’oiseau. Définitions : Cubisme : Courant artistique du XXème siècle dans lequel les sujets sont représentés sous forme géométrique. Les écoles Georges Braque et Pablo Picasso sont à l’origine du cubisme. Lithographie : Reproduction par impression sur une pierre calcaire ; estampe obtenue par ce procédé. Eau-forte : Acide nitrique dont les graveurs se servent pour attaquer le cuivre là où le vernis a été enlevé par PAGF3C,F3 le vernis a été enlevé par la pointe.