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Madame Labeur, Suite à l’arrivée de l’administration Coderre , la Ville de Montréal tente de trouver des solutions viables à différents problèmes rencontrés par les maires précédents. Le transport étant un sujet prloritaire pour les Montréalais, Monsieur Coderre souhaite s’y consacrer afin de conserver une avance sur ses adversaires et, également, satisfaire ses citoyens. Pour cette raison, la Ville de Montréal a confié à Transport 2050 inc. n mandat visant à analyser différentes problématiques liées à la situation du transport sur l’ile de Montréal et les divers éseaux la reliant aux plus que Transport 2 basées sur ses obse et à long terme. or 28 Elle souhaite de s recommandations plan daction à court Afin de réaliser un rapport concis et la hauteur de la réputation de notre firme, notre équipe, composée de cinq jeunes professionnels, a divisé le sujet en thèmes distincts.
Nous avons concentré nos efforts sur le transport en commun et le réseau routier et avons, entres autres, analysé et synthétisé la situation actuelle, les menaces et faiblesses du système actuel, le point de vue des diverses parties prenantes, le pouvoir des différents aliers de gouvernement, ainsi que l’environnement politique et ce qui se fait ailleurs au Canada et dans le monde. En espérant le tout à votre entière satisfaction, nous vous prions d’agréer Madame Labeur, nos sentiments distingués et vous prions de nous contacter pour toutes questions supplémentaires.
La situation des transports à Montréal retient souvent l’attention dans les médias et elle est souvent une source de plainte de la part des citoyens de la métropole ou des gens qui ont affaire sur Ille sur une base régulière. En effet, depuis 1990, la congestion routière n’a cessé d’augmenter de 1 à par année, et ce, même i à tour de rôle, les gouvernements ont tenté de réduire cette congestion. Cette situation est causée par plusieurs choses telles que notre problème de ponts ainsi que le nombre de véhicules, qui par moment, dépasse la capacité que nos autoroutes.
De plus, les travaux routiers ainsi que les accidents automobiles n’aident aucunement la situation. Les dirigeants de Montréal devront se concentrer sérieusement sur le problème, car «d’ici 201 6, il y aura une augmentation de 2 milllons de déplacements par jour sur l’île, soit une augmentation de 25%» . Pour plusieurs spécialistes, l’une es solutions serait de rendre notre transport en commun plus efficace . Selon ces derniers, le service en vigueur actuellement ne serait pas adéquat et serait la principale cause d’augmentation du nombre de véhicules.
Il est toutefois intéressant de noter que la société IBM considère Montréal comme étant « l’une des métropoles où les transports en commun sont les plus efficaces Les Montréalais, eux, demandent «une augmentation de l’offre du transport en commun hors du centre-ville car si la tendance se maintient, tout porte à croire que l’augmentation de l’automobile ne fera qu’augmenter . En effet, il y a beaucoup à faire du côté des transports en commun sur Ille de Montréal. une grosse partie du travail à faire est au niveau du métro qui est vieillissant.
Des tests o OF Une grosse partie du travail à faire est au niveau du métro qui est vieillissant. Des tests ont été dernièrement effectués sur les voitures du métro et les résultats ont démontré «un état de dégradation avancée de l’isolation diélectrique des moteurs, donc ces derniers tombent en panne à une cadence de plus en plus rapide» ce qui cause un ralentissement sur les lignes de métro et e la colère de la part des gens qui payent et utilise se transport en commun.
Bein que la situation actuelle du transport, surtout celui du transport en commun, à Montréal soit plutôt négative, il y a tout de quand même plusieurs bons côtés et plusieurs interventions positives à venir. Un de ces ponts est l’achat de nouvelles voitures de métro qui seront effectives dès 2015. En effet, la STM a commandé 468 nouveaux wagons de métro. Les premiers prototypes seront testés sans passagers pendant 8 mois et, par la suite, si tout est concluant, la STM affirme que d’ici 2018, le métro omptera 336 nouveaux wagons, les autres suivront dans les annees a suivre.
Cette initiative de la STM arrive juste à temps. En effet, une récente étude publiée dans La presse a démontré que le transport collectif a augmenté de au cours des dernières années Cette réalité apporte son taux de biens faits. Plus les gens utilisent le transport en commun et en sont satisfaits, moins ils utiliseront leur voiture ce qui aidera à diminuer la congestion aux heures de pointe. De plus, côté écologie, réduire la quantité de véhicules sur les routes réduit la pollution et favorise un nvironnement sain.
Transport Québec a récemment oublié sur leur site internet toutes les interventions prioritaires visant les réseaux routiers ? récemment oublié sur leur site internet toutes les interventions prioritaires visant les réseaux routiers à venir au courant des prochains mois. On y retrouve en autres des modifications au niveau de l’autoroute 40, l’autoroute 15 ainsi qu’une nouvelle gestion de la circulation autoroutière et des feux de circulation .
Tous ces travaux s’élèvent à plus de 882 millions de dollars. Il ne reste plus qu’à espérer que les dirigeants de la métropole rouvent le temps ainsi que l’argent pour réaliser tous ces projets, car avec la venue des travaux sur Péchangeur Turcot (plus de 21 000 véhicules tous les jours seront détournés de leur route habituelle) ainsi que la construction du nouveau pont Champlain, tout semble indiquer que la congestlon sur les autoroutes de la ville ne fera qu’empirer. 3.
Situations urgentes Pour voyager d’une ville à l’autre, la plupart des Canadiens se déplacent à bord d’un véhicule tel que l’automobile, fourgonnettes, autobus ou même de camions dépendamment de leurs besoins. Toutefois, plusieurs situations urgentes peuvent enir contraindre ces déplacements. Le pont Champlain et l’échangeur Turcot pourraient rendent ces transports de plus en plus difficiles et même quelques fois dangereux. Plus de 57 millions de véhicules empruntent chaque année le pont Champlain.
Celui-ci est un axe majeur pour le transport des automobiles, le transport en commun et le transport des marchandises du corridor Ontario-Québec-NouvelIe-Angleterre, qui transporte la majorité des exportations vers les États-Unis . pour cette raison et des raisons économiques, des milliers d’entreprises dépendent de ce pont et c’est pourquoi il est urnommé « le pou milliers d’entreprises dépendent de ce pont et c’est pourquoi il est surnommé « le poumon économique » de la région .
Cependant, plusieurs études, dont l’étude fédérale rendue publique le 13 juillet 2011 par le ministre fédéral des Transports, Denis Lebel, annoncent que des dépenses annuelles progressives de plusieurs millions, soit de 18 à 25 millions de dollars, seraient nécessaires afin de protéger la sécurité des gens qui empruntent celui-ci tous les jours . Cela serait causé par « un manque de résistance sismique de la structure actuelle, en raison de la étérioration du tablier qui se traduit par une détérioration des semelles des poutres » .
Malheureusement, l’achalandage du pont a dépassé sa pleine capacité ce qui accélère sa péremption. L’épandage de sel durant la saison de l’hiver a également contribué à la corrosion du pont et à la dégradation croissante du béton . Il n’y a donc plus de temps à perdre, puisque la situation du pont devient alarmante. La seule solution serait la construction d’urgence d’un nouveau pont. Malheureusement, le temps ne peut pas altérer la situation, la durabilité du pont Champlain est achevée. La solution du gouvernement consisterait à créer un nouveau pont qui aurait deux nouvelles chaussées.
Celles-ci auraient trois voies chacune, dont deux réservées aux automobiles et aux camions et une aux autobus et covoiturages. Cette situation serait nettement plus sécuritaire et procurerait une facilité accrue pour les emprunteurs du pont. Cela permettrait une grande amélioration de la circulation routière et du transport en commun L’échangeur Turcot, construit il y a plus de 45 ans et accueillant plus de 300 000 véhicules par jours, est un PAGF s OF construit il y a plus de 45 ans et accueillant plus de 300 000 éhicules par jours, est un élément essentiel de la circulation routière à Montréal.
Celui-ci relie les autoroutes 15, 20 et 720, facilite l’accès au pont Champlain et crée un lien essentiel entre l’aéroport et le centre-ville de Montréal . Toutefois, l’échangeur est de moins en moins sécuritaire et nécessite plusieurs réparations, puisque la structure vieillissante se détériore considérablement. Le Ministère des Transports du Québec a donc opté pour une reconstruction complète. À l’attente de cette restructuration, de nombreuses réparations d’urgence sont ffectuées sur plusieurs bretelles de l’échangeur .
La construction s’étend sur un périmètre touchant un secteur de 7 km sur 3 km qui comprend plusieurs territoires administratifs du sud-ouest de Montréal. « Le projet comprend le remplacement de quatre échangeurs fortement utilisés, de même que la relocalisation de voies de circulation de l’Autoroute 20 et de voies ferrées du Canadien National (CN) » . Cette future construction ne sera pas terminée avant 2017 et son coût délèvera à plus de 3,7 milliards. Cette somme inclurait la bonification du transport collectif.
De lus, des « projets complémentaires de transport en commun électrifié » seront aussi envisagés, selon l’ancienne première ministre Mme Pauline Marois. Toujours selon Mme Marois l’excédent sera consacré à l’amélioration de l’intégration de la nouvelle structure . Il n’y a aucun doute que la reconstruction de l’échangeur Turcot et du pont Champlain est nécessaire et urgente enfin d’éviter un effondrement de ces infrastructures et, alnsl, une paralysie du système routier montréalais. . po effondrement de ces infrastructures et, ainsi, une paralysie du 4. points de vue des parties prenantes Ville de Montréal La Ville de Montréal a une vision claire de ses objectifs au niveau de son plan de transport métropolitain « Par son Plan de transport, Montréal veut assurer les besoins de mobilité de sa population en faisant de l’agglomération un endroit agréable à vivre, un pôle économique prospère et respectueux de son environnement.
Pour ce faire, Montréal veut réduire de manière considérable la dépendance à rautomobile par des investissements massifs dans les modes de transport collectif et actif tels le tramway, le métro, l’autobus performant, le train, le vélo et la marche, ainsi que sur es usages mieux adaptés de l’automobile, tels le covoiturage, l’autopartage et le taxi. Pour parvenir à ses objectifs, son plan de transport porte sur 5 p incipaux objectifs : offrir des conditions optimales de déplacement, améliorer la qualité de vie des citoyens, améliorer la qualité de l’environnement, soutenir le dynamisme de l’économie montréalaise et, finalement, planifier conjointement le transport et l’aménagement du territoire. Élus Le maire en fonction, Denis Coderre, souhaite pour sa part parvenir à ces objectlfs en favorlsant les points sulvants
Maximiser l’utilisation des infrastructures en place . Penser au nombre de voitures qui peuvent se déplacer sur un axe de transport, mais surtout au nombre de personnes qui peuvent s’y déplacer en misant sur le trans ort en commun et le covoiturage. En résumé, rentabiliser le PAGF 7 OF existants. Combinaison de transport Combiner plusieurs moyens de transport afin de simplifier les déplacements. Repenser le partage des voies en considérant les piétons, les cyclistes, les voies d’autobus, etc.. Favoriser le transport intermodal.
Augmentation des voies réservées Sortir les autobus de la ongestion afin qu’ils deviennent un choix valorisé par les Montréalais. Tramway Pas à court terme, avoir préalablement rallié des investisseurs. Ce projet ne verra donc pas le jour dans le cadre de son présent mandat. Prolongement du métro De la ligne bleue vers Anjou et sur ligne orange dans Salnt-l_aurent. Opposition Projet Montréal, guidé par Richard Bergeron, voit le transport métropolitain de la manière suivante Montréal doit réaliser le virage des transports durables dans les prochaines années.
Pour ce faire, Projet Montréal fixe trois objectifs, soit de réduire a circulation automobile d’au moins 2,5 % par année; porter d’ici 15 ans à 1 milliard le nombre de déplacements annuels réalisés à pied ou à vélo (350 millions en 2013); porter d’ici 15 ans à 1 milliard le nombre de déplacements annuellement réalisés par le biais des transports collectifs dans la région métropolitaine de Montréal (500 millions en 2013). ? Projet Montréal donne, entre autres, les recommandations suivantes 1. Instaurer un payage sur tous les ponts reliant Montréal aux deux rives, ce qui réduirait le trafic, augmenterait l’achalandage du transport en commun et assurerait des revenus upplémentaires. 2. Annuler les coupures de la STM en ce qui a trait aux diminutions de services aux usagers. 3. Implanter un réseau de tramw s de 37,5 km. 4. Accélérer le développe PAGF 3.
Implanter un réseau de tramways de 37,5 km. 4. Accélérer le développement des réseaux de pistes cyclables. Envlronnementaliste Plusieurs environnementalistes, tel que Steven Guilbeault d’Équiterre, souhaitent que les élus permettent par le biais de divers programmes une promotion du « cocktail transport » qui se veut une utilisation de plusieurs transports tels la marche, le vélo, e covoiturage et le transport en commun .
Pour ces derniers, le « cocktail transport » permettra de réduire le nombre de voitures sur les voies ce qui sera bénéfique pour l’environnement et réduira l’usure du système routier montréalais. Gens d’affaires Le Groupe de réflexion sur le financement du tramway de Montréal, crée par la Chambre de commerce de Montréal souhaite faire circuler un tramway sur les lieux de fort potentiel de développement immobilier puisque ces derniers ne sont pas toujours desservis par le métro.
Cette initiative sera supportée par une surtaxe d’amélioration locale sur les ouveaux immeubles qui seront bénéficiaires de ce service. Ce groupe valorise également un partenariat public-privé afin de dégager Montréal des risques tant budgétaires que relatifs ? l’échéancier. 5. Juridiction des divers paliers de gouvernement Municipal Les municipalités peuvent organiser le transport collectif sur le territoire de la municipalité et assurer une liaison avec des points extérieurs à ce territoire.
Ce prlncipe est d’ailleurs énoncé dans le Code municipal du Québec et dans la Loi sur les cités et villes. par ailleurs, Montréal et Québec sont également habilités ? planifier le transport métropolitain et jouer le rôle de régie intermunicipale. Dès lors, ce sera la munic transport métropolitain et jouer le rôle de régie intermunicipale. Dès lors, ce sera la municipalité qui fixera les tarifs et les catégories pour les usagers.
Elle pourra intervenir directement et adopter des mesures préférentielles telles des feux priorltaires pour les autobus, des voies additionnelles aux intersections, des voies réservées aux autobus et au covoiturage, des stationnements incitatifs, etc. Les municipalités ont également compétence en matière e voiries pour toutes les voies publiques ne relevant pas du provincial ni du fédéral. Elles peuvent donc adopter des règlementations pour les régir, mais elles sont également responsables de leur construction et de leur réfection, incluant financement nécessaire.
Provincial Au niveau des infrastructures routières, la Loi constitutionnelle de 1867 accorde aux provinces la juridiction en matière de transport routier sur trois ordres, les infrastructures routières, la circulation des routières et les activités de transports. Fédéral Au niveau des voieries, le gouvernement fédérale divise ses ffectifs en trois thèmes distincts : les programmes relatifs au autorotues, les programmes relatifs aux ponts et les programmes de transport en commun.
Il s’agit de programmes de financement permettant d’améliorer le réseau routier par le biais de contributions financières. Il est a noté que certains ponts et autoroutes, tels le pont Mercier et le pont Champlain sont de compétences fédérals de par certaines circosntances particulières pourtant non conformes aux disposition de la Constitution canadienne 6. Les voies réservées au trans art en commun et le covoiturage