OGM «Et l’homme créa la vie », Joël de Rosnay
De nombreux discours basés sur des croyances populaires incriminent les OGM (Organismes génétiquement modifiés) alors que d’autres justifient leur présence pour répondre à l’attente d’un mode de vie en constante évolution. Cette technique pourtant routinière dans les laboratoires du monde entier est controversée. Nous allons essayer de comprendre ces divergences : les OGM, avantage médical ou « fléau social » ? BIOlogiquement parlant, cette découverte est une avancée extraordinaire dans les recherches biotechnologiques.
L’homme a réussi à modifier un organisme d’un point de vue génétique, ‘est-à-dire qu’il a réu un autre pour qu’il ex pas propres. La proc que l’on souhaite ins la séquence, puis ins ors re t d’un organisme ? p és qui ne lui sont Identifier le gène n organisme, isoler procédure va donner naissance à un organisme transgénétique, terme utilisé par Joël de Rosnay dans son ouvrage « Et l’homme crea la vie», qui désigne les organismes possédant, dans leur génome, un gène « étranger Cette nouvelle technique a déjà fait ses preuves • c’est une pratique courante utilisé surtout sur les végétaux et les animaux.
Les scientifiques ont fait de grands progrès dans le domaine au cours des dernières années, en Swlpe to vlew nexr page en particulier quant à son application sur l’être humain. Ainsi, une équipe de chercheurs de l’Université Cornell a modifié génétiquement un organisme humain. Ceux-ci ont intégré dans un embryon humain un gène codant la synthèse d’une protéine fluorescente, par l’intermédiaire d’un vecteur viral (pour les organismes multicellulaires, il faut recourir à la fécondation in vitro).
Le but étant d’étudier, dès la conception de l’être humain, a formation des cellules et des maladies. D’un point de vue médical, c’est une piste très intéressante pour réussir à développer de nouvelles techniques qui nous permettront de mieux comprendre l’organisme humain et aussi de guérir des maladies génétiques, telles que l’hémophilie, par exemple. D’un autre côté, la question éthique au sujet des OGM persiste encore.
Le risque de cette démarche, visant à modifier l’organisme humain, est qu’elle pourrait être utilisée non plus exclusivement à des fins médicales, mais aussi à des fins personnelles. Donnons un exemple de cela : si cette avancée echnologique arrive directement aux mains de la population dans son ensemble, les futurs parents pourraient alors se rendre chez le médecin et choisir le sexe de leur enfant. Ils auraient même la possibilité de choisir la couleur des yeux, cheveux et pleins d’autres caractéristiques physiques.
Nous pourrions tout simplement créer des bébés génétiquement « améliores », selon les désirs des parent pourrions tout simplement créer des bébés génétiquement « améliorés », selon les désirs des parents. La nature n’aurait alors plus, selon les défenseurs de ce point de vue, son mot à dire. J’ai choisi de me concentrer sur une seule facette des OGM, celle qui nous concerne directement, nous et notre descendance : la modification d’organismes humains.
Les informations récoltées pour effectuer ce travail m’ont appris énormément et m’ont permis d’appréhender les avancés biologique d’un point de vue différent. J’espère sincèrement que grâce à toutes les recherches effectuées, nous arriverons un jour à réduire l’effet des maladies génétiques sur l’être humain. Mais, comme nous le savons, celui-ci a parfois besoin d’avoir cette forme de contrôle sur on environnement et sur la nature.
Pour pouvoir continuer à faire des recherches biologique, voir biotechnologique, en vue d’améliorer ce que nous pensons nuire à notre condition, il faudrait utiliser nos découvertes selon ce que la majorité de nos sociétés estime être à bonne escient. Pour cela, il est nécessaire de savoir se mettre des limites et de prendre conscience de ce que nous sommes sensés être, des êtres humains. Sources : http://www. genethique. org/revues/revues/2008/mai/20080514. 1 asp consulté le 16. 11. 2011 http://www. tdx. cat/handle/10803/31902 consulté le 16. 11. 2011