oeuvre de vanité
OEUVRE DU 17erne SIECLE : NICOLAES VAN VEERENDEAL 1680 Le mot vanité a plusieurs sens. Il designe d’abord un défaut humain : l’orgeuil, c’est à dire une personne prétensieuse, trop satisfaite d’elle-même. Ce mot a une autre signification : il vient du mot latin « vanitas » de ‘ ‘vanus » signifiant « vain » donc tout ce qui est vide, creux, inutile et illusoire. Une vanité désigne donc tout ce qui est frivole et insignifiant. Les vanités, qu’est-ce que c’est ? Ce sont des œuvres d’arts qui nous rappellent que nous sommes mortels et que notre tableaux, sculpture, b
Quelle époque est co De l’antiquité à aujou p g a peut être des s sont concernées par les vanités. Mais c’est au 17eme siècle qu’on a produit le + d’oeuvre de « vanité » j’ai choisi l’oeuvre de Nicolaes Van Veerendeal car visuellement elle est très colorée et il y a plein de chose à dire et cette œuvre exprime beaucoup de chose Courte biographie de Nicolaes Né a Anvers en 1640 et mort à Anvers en 1691. En 1657 il devient membre de la guide des peintres d’Anvers.
Entre 1670-1679 : il peint des bouquets très colorés, instaure un dialogue entre les différents él to next page ?léments de ses tableaux. 1680/1691 : sa technique est + libre et un sentiment général de vanité habite ses œuvres. Description : Les vanités attirent l’attention sur la fragilité des biens terrestres et des plaisirs charnelles face à la fatalité de la mort. Cest l’objectif du tableau de Van Veerendeal, qui nous présente deux crânes : celui de gauche vu de face est posé sur des ossements, celui de droite est renversé et repose sur un petit socle de bois.
Il s’agit sans doute d’un couple, uni dans la mort. Le crâne de gauche porte une couronne de paille tressée avec es fleurs violettes et blanches, tandis que le crâne de droite est orné de fleurs + colorées. Au 1er plan, il y a une bulle de savon qui tient encore à l’extrémité d’une paille, posée sur une grande coquille à coté de quelques fleuilles. Chacun des crânes occupe une moitié du tableau, mais cette répartition ne divise pas le tableau en deux car les éléments placés au centre rassemblent les 2 parties.
Les fleurs, la coquille et la bulle forment des liens qui unissent les 2 crânes et constituent en quelque sorte des passages qui incitent le ragarde u spectateur à explorer les différents éléments du tableau. Les éléments du 1er plan et l’architecture coplexes des crânes donnent à la scène son volume et créent un espace presque autonome, con 2 OF s l’architecture coplexes des crânes donnent à la scène son volume et créent un espace presque autonome, construit autour des objets, sans référence à un décor. Ici le fond est sombre et neutre, il n’indique aucun espace identifiable. ? peine peut-on suposer que les objets sont posés sur une table. Le contexte est donc discret pour ne pas dire absent. Lumière et couleurs Les coloris sont contrastés : un premier ensemble,composé des crânes, des ossements, de la table et du fond, est presque monochrome, sombre et brun-noir. De ce premier groupe se détachent nettement des éléments clairs aux couleurs vives (la paille, les fleurs, la coquille et la bulle). ustification de l’appartenance à ce genre : le crâne évoque la mort prochaine, du moins la mort qui ne manquera pas d’arriver un jour. ?a rappelle la définition du mot vanité : composition évoquant la destinée mortelle de l’human. 2eme œuvre contemporaine Damien Hirst, For the Love of God Damien Hirst né en 1965 est un artiste anglais. Il vit et travaille ? Londres. Vers 1988, il réalise exclusivement des installations à travers lesquelles il traite du rapport entre l’art, la vie et la mort (thème central dans son travail). En 1992, il travaille sur une série constituée de cadavres d’animaux. En août 2007, Damien Hirst bat un nou 3 OF s constituée de cadavres d’animaux.
En août 2007, Damien Hirst bat un nouveau record, il cède pour 100 millions de dollars une pièce intitulée For the Love of God, une réplique en platine du crâne d’un homme décédé au XVIIIe iècle, incrustée de 8601 diamants. « Je veux juste célébrer la vie en envoyant la mort se faire foutre. Quel meilleur moyen de le lui dire que de prendre le symbole ultime de la mort et de le recouvrir par le symbole ultime du luxe, du désir et de la décadence ? ‘ Description de l’oeuvre: il s’agit d’un crâne en platine créé à partir de celui d’un être de sexe masculin, âgé d’environ 35 ans, ayant vécu au XVIII ème siècle.
Il est incrusté de 8601 diamants (8600 petits et un plus important). Damien Hirst y a ajouté une dentition humaine authentique. La réalisation de cette oeuvre a coûté 20 illions de dollars à l’artiste. For The Love of God est considérée comme une réflexion sur la vanité de la vie. Avis personnel: J’ai trouvé cette oeuvre très intéressante, car malgré sa très belle apparence, elle fait passer un véritable message. Ce qui m’a fait sourir c’est le détail des dents. En effet, le crâne n’est pas véritable et est entièrement recouvert de diamants, ce qui lui donne un côté très esthétique.
Au premier regard, les spectateurs seront donc fascinés par sa beauté, mais 4 OF S très esthétique. Au premier regard, les spectateurs seront onc fascinés par sa beauté, mais c’est uniquement quand ils s’intéresseront aux dents qu’ils remarqueront qu’elles sont vraies et donc beaucoup moins esthétique. on pourrait admirer à longueur de journée une réplique de crâne recouvert de diamants, tandis que de véritables dents, non. Quand j’ai regardé ce crâne, il m’a aussi fait réfléchir sur la mort, sur l’argent et son importance dans nos vies et dans la société actuelle.
II m’a également fait réfléchir sur la complexe relation qu’entretient l’art avec l’argent I est possible d’aller vers de nombreuses pistes d’interprétation uant aux significations présentes dans l’oeuvre, mais, en bout de ligne, cette oeuvre est destinée au spectateur afin de le choquer quelque peu, de lui faire réaliser qu’en effet, il est mortel et que peu importe le nombre de diamants qu’il pourra posséder, peu importe lenombre d’oeuvres d’art qu’il pourra garder chez lui, peu importe la quantité d’argent qu’il accumulera pendant sa vie, tout est éphémère.
En bref, bien que cette oeuvre soit facilement accessible à tout public, elle n’est pas pour autant dénué de sens et de messages, ce qui la rend plus qu intéressante. S OF s