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Les inégalités Hommes Femmes dans le monde du travail L’égalité des femmes et des hommes est un droit fondamental pour tous et toutes, et constitue une valeur nécessaire pour la démocratie. Afin d’être pleinement accompli, ce droit ne doit pas être seulement reconnu légalement mais il doit être effectivement exercé et concerner tous les aspects de la vie : politique, économique, sociale et culturelle.

Comment favoriser l’égalités hommes femmes ? Dans un premier temps, je parlerai des inégalités salariales et du temps de travail. Dans un second tem chômage, à la retrait Enfin, je parlerai de I or 10 Sni* to View tés face au uche et je conclurais. . Les inégalités salariales et du temps de travail En 2006, l’écart des salaires entre hommes et femmes s’élevait ? 27%. Mais d’où vient cet écart?

Peut-être des caractéristiques des postes comme le temps de travail, le niveau de qualification… ou bien une discrimination de genre ? un tiers de Pécart vient du temps partiel qui est beaucoup plus fréquent chez les femmes (31 %) que chez les hommes (7 %). C’est l’un des facteurs majeurs de cet écart. Environ 10 % de cet écart de salaire vient du fait que les ommes bénéficient davantage d’heures supplémentaires mieux rémunérées.

Par ailleurs, les femmes occupent moins souvent les postes à responsabilité les mieux payés, même si l’on tient compte du niveau de diplômes, de rancienneté, de l’expérience type de contrat de travail, du temps partiel, du secteur d’activité, de la taille de l’entreprise…. il reste une « zone grise » inexpliquée, correspondant à une différence de salaire d’environ 10%. Cela pourrait correspondre à des« effets indivlduels »mal saisis par l’enquête (caractéristiques précises du poste, spécialité du iplôme… ).

Mais aussi à des pratiques ou des processus « inégalitaires ou discriminatoires qui jouent en défaveur des femmes à divers moments de la carrière, voire en amont de la vie professionnelle Certaines personnes travaillent à temps partiel (près de 17+6 des personnes en emploi), d’autres connaissent du chômage entre deux emplois ou cumulent plusieurs emplois avec plusieurs employeurs différents, d’autres encore rentrent ou sortent du marché du travail en cour d’année, comme les jeunes qui arrivent sur le marché du travail en Septembre après la fin de leurs études.

Les différences de temps de travail (nombre de jours travaillés et nombre d’heures) creusent nettement les écarts de salaires perçus. Le quart des salariés les mieux payés sur une année sont rémunérés dix fois plus que le quart des salariés les moins payés. Les femmes et les jeunes sont les plus touchés. SI l’on examine ce que sont devenus en 2008 les salariés de 2005 aux plus faibles revenus salariaux, huit sur dix n’ont ainsi pas travaillé en continu pendant les trois ans connaissant ainsi des  » trajectoires salariales heurtées ».

Les salariés les moins payés sur l’année sont plus souvent des emmes (58%) et des jeunes (37%) et travaillent en majorité 10 payés sur l’année sont plus souvent des femmes (58%) et des jeunes (37%) et travaillent en majorité dans les services marchands, où le recours à des emplois courts et à temps partiel est plus fréquent. En plus d’un revenu salarial, près de deux salariés sur dix ont perçu d’autres revenus individuels, tels que des allocations chômage, des pensions de retraite ou des revenus d’activité indépendante.

Le niveau de vie d’une personne dépend aussi des ressources de son entourage. Les personnes en emploi ont ainsi un niveau de vie plus élevé que a moyenne parce qu’elles touchent un revenu mais aussi parce qu’elles ont plus souvent un conjoint (7 fois sur 10), souvent en emploi (8 fois sur 10). A l’inverse, seul un peu plus d’un tiers des chômeurs ont un conjoint en emploi. 2. es inégalités face au chômage et à la retraite Aujourd’hui, les femmes qui partent à la retraite touchent une pension moyenne qui représente de celle des hommes.

Malgré leur arrivée massive dans le monde du travail depuis les années 1970, les inégalités hommes/femmes, (écarts de salalres, temps partiel, choix familiaux… ) perdurent, avec des onséquences directes sur la retraite. En 2011, les hommes touchaient en moyenne 1603 € de pension de retraite par mois, et les femmes 932 € malgré la mise en place d’avantages comme les majorations du montant de la retraite pour les mères de trois enfants et plus. La pension moyenne des femmes représentait donc 58% de celle des hommes.

En effet, en termes de carrière et de salaires, les femmes sont moins bien loties que les hommes : effet, en termes de carrière et de salaires, les femmes sont moins bien loties que les hommes : Elles sont plus touchées par les emplois précaires : 80% des emps partiels et des emplois non-qualifiés sont occupés par des femmes. Elles sont moins bien payées : en 2009, leur rémunération était inférieure de 27% en moyenne à celle des hommes ; l’écart descend à 17% si on ne tient compte que des emplois à temps plein ; à poste égal, il reste encore de 9%. En outre, l’écart évolue peu depuis le milieu des années 1990.

Enfin, les femmes ont des carrières plus accidentées : entre chômage et choix familiaux (grossesses, congés maternité, arrêts de travall pour élever ses enfants… ), elles connaissent plus de périodes d’inactivité que les hommes. Ainsi, elles valident en moyenne 20 trimestres de moins que les hommes (1 57 trimestres pour les hommes, contre 137 pour les femmes), et ne sont que 41 % à effectuer une carrière complète, contre 86% chez les hommes. En définitive, moins d’une femme sur deux réussit à valider le nombre de trimestres nécessaires pour toucher une pension complète.

L’important écart entre les niveaux de pensions de retraite des hommes et des femmes se réduit à un rythme très lent. Aujourd’hui de 42%, il devrait être de pour les générations 1965-1969, qui partiront à la retraite aux alentours de 2025-2030. Et on a déjà pu noter une amélioration entre les générations précédentes : en 2008, le niveau relatif (par rapport aux hommes) de pension (hors réversion) des femmes âgées de 65 à 69 ans était supérieur de 18% à celui des 0 pension (hors réversion) des femmes âgées de 65 à 69 ans était supérieur de 18% à celui des femmes âgées de 85 ans ou plus.

Elles percevaient des pensions de droit direct supérieures de 43% à celles de leurs aînées. On peut donc espérer que les femmes qui travaillent actuellement auront de meilleures retraites que leurs mères Le nombre d’hommes au chômage a augmenté de 56 % entre e premier trimestre 2008 et le 3e trimestre 2014, contre 43 % pour les femmes. Au total, on a enregistré sur la période 540 000 hommes et 400 000 femmes de plus parmi les demandeurs d’emploi.

En 2008, le taux de chômage des hommes (6,6 %) était supérieur d’un demi-point à celui des femmes (7,1 Six ans plus tard, c’est l’inverse, le taux de chômage des femmes est inférieur d’un demi-point à celui des hommes (9,7 % contre 10,1 h). Entre 2008 et 2014, la progression du chômage n’a pas été linéaire. Elle a connu trois phases très distinctes : une très forte hausse de 2008 à fin 2009, une pause jusqu’à fin 2011 et une ouvelle période de progression rapide depuis. Les évolutions ont été différentes selon les sexes.

Dans les premiers mois de la crise, le nombre de chômeurs et de chômeuses a augmenté rapidement et au même rythme. Entre la mi-200g et début 2012, le chômage s’est stabilisé chez les femmes, autour de 1,3 million. Le chômage masculin a continué à s’élever jusque fin 2009. Il a ensuite diminué en 2010, puis il est reparti en très forte hausse depuis mi 2011. L’inversion des taux de chômage entre les sexes est un phénomène nouveau. Jusqu’au milieu des années 200 PAGF s 0