Monument Odessa Christian BOLTANSKI

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Monument Odessa Christian BOLTANSKI 1) Christian Boltanski est né d’un père juif d’origine russe et d’une mère chrétienne corsel. Il commence à peindre en 1958, à l’âge de 14 ans, alors qu’il n’a jamais connu de véritable scolarité ni suivi de formation artistique au sens traditionnel du terme. Boltanski s’éloigne de la peinture à partir de 1967 et expérimente l’écriture, par des lettres, des installations ou des dossiers qu’il envoie à des personnalités artistlques.

Il intègre à son œuvre des éléments issus de son univers personnel, et sa propre biographie, éelle ou imaginaire, devient le thème principal de son œuvre Swipe to page dans les premières a questions universelle ell le hasard. 2) Contexte Pendant la seconde téressera à des ors rt, ubli, la culpabilité et Ilions de Juifs, ainsi que d’autres communautés seront massacrés par les nazis sous le commandement d’Adolphe Hitler. personne n’a été épargné, hommes, femmes et enfants. 3 ) Description Des photos sont accrochées sur un mur blanc. Ce sont des photos d’enfants.

Des visages en gros plan qui nous regardent. regardent. Ces photos sont en noir et blanc et sont tellement grandies qu’elles sont floues. Il y en a de quatre tailles différentes : Une en hauteur, au centre, deux grandes de chaque côté, en bas, surmontées chacune de deux plus petites, et une toute seule, placée tout en haut au milieu. Elles sont exposées comme des photos de famille ou comme un arbre généalogique. Il y a des lampes autour des photos, elles font parties de Vœuvre, elles sont allumées et forment de petits halots autour d’elles.

Des fils électriques pendent des ampoules et passent autour et devant les photos, puis se rassemblent en un paquet emmêlé sur le SOI. Malgré la lumière des ampoules, les photos paraissent sombres. Enfin, sous chacune des trois colonnes de photos, sont fixées des sortes de boites en fer blanc. Christian BOLTANSKI a retrouvé des clichés pris en 1939. Les photos, sont celles d’enfants juifs. Elles sont exposées comme des portraits de famille. Sauf, qu’ici, nous ne savons pas qui ils sont, l’artiste n’apporte aucune indication sur leur vie, leur nom.

Ce qui est important, c’est qu’ils ont existé, puisqu’il s’agit de photos. Ils nous regardent, comme nous nous les regardons. Se sont donc des êtres bien réels, bien qu’il egardent, comme nous nous les regardons. Se sont donc des êtres bien réels, bien qu’ils soient anonymes. Les photos sont exposées suivant un ordre symétrique, cela crée un sentiment d’équilibre, comme une architecture, avec la photo centrale, qui symbolise un pilier, un tronc, autour duquel, les photos se serrent.

Les ampoules, de part et d’autre des photos, accentuent cet effet pyramidal. L’artiste dit que les photos construisent un édifice, pour empêcher les souvenirs de disparaitre. 4) Ruptures et continuités Cette oeuvre est en rupture dans le temps avec les autres euvres qui parlent des horreurs de la guerre car elle a été créée 50 ans après les falts, contrairement à Picasso qui a peint Guernica 4 jours après la guerre civile Espagnole.

Elle est en rupture dans la manière car Boltanski lui se recueille alors que Picasso dénonce. Il y a continuité pour Boltanski car il a déjà produit des installations où la lumière était importante comme « les bougies » en 1988. Il y a aussi continuité avec Picasso car les 2 artistes accordent de l’importance à la lumières ( ampoules chez Boltanski et couleurs vives chez Picasso)