Mondialisation

essay A

Un fort « taux d’ouverture » – pourcentage élevé ‘exportations rapporté à un indicateur de production – peut être associé à un très fort interventionnisme d’état, comme en corde du Sud et en chiné, dont la croissance a été « protégée »… C’est ce qu’ont choisi tous les pays aujourd’hui développés, fait occulté par les présentations dominantes de l’histoire du commerce mondial (voir p. 122). Conseillée par dévia richard, principal théoricien du « libre- échange », l’engrangèrent du sexe siècle abolit les coron las – qui protégeaient jusquiames la production céréalière britannique.

l’engrangèrent, qui avait connu sa révolution industrielle capitaliste un siècle avant la France, menait avant la France, menait jusque-là, comme les autres puissances commerçantes, une politique « mercantilisme ». C’est-à-dire une politique protectionniste dans le cadre d’une alliance entre états forts et grands marchands du commerce « au loin », appuyée sur les armées pour conquérir le « nouveau monde » et contrôler les grandes routes du commerce mondial.

La révolution industrielle et l’expansion des échanges se sont réalisées – de l’européen occidentale aux étatisais et jusqu’ jupon – sur des bases protectionnistes. La thèse « libre-échangeais » fut formulée au écru de la première puissance industrielle et colonialiste de l’époque en réponse à une crise majeure du profit. Et si elle est remise à l’ordre du jour, au tournant des années 1 980, aux étatisais, c’est pour les mêmes raisons. La tendance à la chute du profit fut an esse par richard (avant d’être devez- loupe par kart mark) en constatant le rendement décroissant des terres.

l’engrangèrent sacrifia alors sa réduction de blé et chercha à importer des matières premières à coût plus faible, afin de restaurer ses profits… Mais la thèse du libre-échange fut présentée par ses promoteurs comme « universelle », chaque pays étant supposé y gagner en se spécialisant « librement » (sans le moindre rapport de domination… ) dans les productions où il dispose d’un « avantage comparatif Les crédits ou investissements des pays riches devaient permettre aux pays pauvres d’acheter les biens des pays développés – le remboursement de ces dettes devant venir par ‘exportation.

Dès le sexe siècle, cette thèse fut dénoncée comme hypocrite aux états-Unis comme en allemande. Ces puissances siècle, cette thèse fut dénoncée comme hypocrite aux états-Unis comme en allemande. Ces puissances montantes rivales de ‘engrangèrent soulignaient que celle-ci préconisait la suppression des protections une fois sa op station dominante acquise. Mais si les marquée du Sud 276 états-Unis, l’allemande ou le jupon se construisaient alors en se protégeant des premières puissances d’européen occidentale, ils se lancèrent tous trois, comme le Royaume-

Uni, dans une expansion impérialiste imposant aux pays dominés la suppression de leurs protections. Le double langage intitula « libre-échange » cette ouverture forcée des pays quand les métropoles continuaient, par un interventionnisme d’état, à contenir crises périodiques et explosions sociales. Les révolutions du axé siècle dans les pays de la périphérie cherchèrent à rompre la dépendance porteurs de sous-développement. La guerre froide entre systèmes facilita la décolonisation et la marquée du Nord 1 324 résistance aux dominations.