Mercantilistes physiocrates et classiques
Pour répondre à cette question, nous exposerons dans un premier temps les théories mercantilisme, puis dans un icône temps la psychiatrie et ses grands théoriciens en mettant en évidence les différences qui opposent ces deux écoles quant à l’explication de la richesse des nations, et enfin dans un troisième temps nous montrerons en quoi ces deux mouvements annonçaient la pensée classique. La. Le mercantilisme ou la richesse par ‘excédent commercial.
A. Présentation générale du mercantilisme. Le mercantilisme, à la fois politique économique et corps d’idées théoriques, est un phénomène typiquement européen qui s’étend sur une période précise : il naît au seizième siècle, s’affirme au dix-septième pour mourir au 13 classiques premier boy annulerait I harpe 08, 2009 11 pages dix-huitième, ce qui revient à dire qu’il couvre la période de la Renaissance à la Révolution Industrielle.
A cette époque, il fallut trouver des solutions aux défis nouveaux qui se posaient aux pays européens après les vastes Renaissance, la découverte de l’marquée, la colonisation, l’afflux de métaux précieux, à quoi s’ajoutaient la concurrence entre les états-Nations et le jeu des forces capitalistes naissantes. Les sociétés durent donc se poser de nombreuses questions quant à la richesse, comment l’accroître, les buts de l’activité économique et comment la stimuler.
On ne rencontre nulle part de doctrine cohérente et complète car il n’ eut à aucun moment une « école mercantilisme », comme il n’ a pas de « théorie mercantilisme », on ne trouve que des analyses partielles et des points de vue particuliers, parfois même contradictoires. Cependant il exista des tendances assez convergentes et des idées apparentées partant d’une vision commune des grands problèmes économiques et reposant sur des principes communs, on peut donc parler de pensée mercantilisme. Ce terme désignera donc le fait d’expliquer la richesse d’une Nation par la prospérité du commerce extérieur et son accroissement.
Par le mercantilisme, certaines idées-clé s’imposèrent comme des réponses aux questions évoquées ci dessus, notamment le rôle essentiel de la richesse matérielle, le nationalisme économique, l’interventionnisme étatique, le protectionnisme et la nécessité de contrôler et stimuler les activités économiques. On retient généralement de ce courant de pensée économique deux idées fondamentales que nous allons exposer. B. La doctrine de la balance commerciale. La balance commerciale est une caractérise?que des économies ouvertes, elle comptabilise le flux des archaïsmes entre un pays et le reste du monde.
On y dis?englué d’une part les exportations et d’autre part les importations. Le solde commercial représente la différence entre les exportations et les importations. S’il est positif, c’est-à-dire que les exportations sont plus importantes que les importations, on dit que la balance commerciale est excédentaire ou alors qu’il y a excédent commercial ; si au contraire il est négatif (exportations moins importantes que les importations), on parle alors de balance commerciale déficitaire ou de déficit commercial.
Chez les mercantilisme, cette balance commerciale doit jours être excédentaire ; pour ce qui est des importations, on essaye de n’importer que des matières premières (métaux, bois etc.. ) ou à la rigueur des produits semis-finis (le tissu par exemple). En ce qui concerne les exportations, l’accent est mis sur les produits manufacturés et à forte valeur ajoutée, autrement dit es produits dont la production a stimulé l’activité économique du pays et a engendré des revenus. C. Le mécanisme de la circulation monétaire.
De façon générale, la monnaie peut être définie comme un bien accepté au sein d’une communauté de paiement et qui inspire confiance. Il existe de nombreuses formes de monnaie (métallique, divisionnaire, fiduciaire, scripturale etc.. ) mais pour l’époque et le courant de pensée qui nous intéressent, nous nous concentrerons sur une seule de ces formes, la monnaie métallique, autrement dit les métaux précieux (or et argent). On attribua la monnaie métallique, autrement dit les métaux précieux (or et argent).
On attribue traditionnellement à la monnaie trois fonctions : elle est un instrument de mesure des valeurs, un instrument d’échange, et enfin elle est un instrument de réserve des valeurs, autrement dit elle doit remettre de transférer du pouvoir d’achat d’une période l’autre, c’est ce que nous allons désigner par thésaurisation. L’accumulation des métaux précieux ou thésaurisation est perçue par les mercantilisme comme l’essence de la richesse. L’excédent commercial fait que le pays reçoit plus de monnaie qu’il n’en verse (car il vend plus qu’il n’achète).
L’accumulation de cette monnaie est donc le but principal qu’une économie doit se fixer selon les mercantilisme. Ces derniers ne font aucun distinction entre monnaie (les métaux précieux) et capital (propriétés foncières, bâtiments, outils de travail etc.. . Leur but est uniquement d’avoir une balance commerciale excédentaire et ce sur le long terme. Cependant, cette conception de ‘origine de la richesse des nations montrera ses limites et sera remplacée par une autre, plus réaliste et propre à son temps, la psychiatrie. Il. La psychiatrie ou la richesse dans a production agricole A.
Présentation générale de la psychiatrie La psychiatrie, qui signifie étymologiques « gouvernement de la nature » (du grec « fois » nature, et « karaté » nature), est une école d’économistes qui occupe une place éminente dans l’histoire de la pensée économique, car elle marque une réaction très vive contre le mercantilisme qu’elle jeu de la pensée économique, car elle marque une réaction très vive contre le mercantilisme qu’elle juge dépassé, et également car il est permis de la percevoir comme la première manifestation de la pensée libérale.
AI est important de préciser que es physionomies, contrairement à ce que nous avons vu pour les mercantilisme (I. A. ), se considéraient comme une école économique à part entière. Ils s’étaient d’ailleurs baptisés eux-mêmes « les économistes ». De ce fait, on distingue beaucoup plus acclament des théories psychiatriques et des économistes physionomies. Pour les physionomies, il existe des lois économiques qui, tout comme les lois de la nature, sont incontestables.
Les hommes doivent se soumettre ces lois et ne doivent pas intervenir dans ces mécanismes, on explique la richesse économique par la prospérité de l’agriculture. Le « maître » de cette école est sans conteste français Chesnay, un médecin protégé de me de pommader et que le roi lois SÈVE appelait « mon penseur », autour duquel gravitent d’autres penseurs : le Marquis de amarrerai, Pierre dupons de meneurs, l’Abbé encollais bedeau etc..
On doit à français Chesnay l’élaboration de a plupart des théories de l’école physionomie que nous allons maintenant présenter, notamment le « Tableau économique ». B. Le « Tableau économique » En 1758, français Chesnay publie à Versailles son « Tableau économique », et la légende veut que se soit le roi lois SÈVE en personne qui l’ait imprimée.
Ce tableau est en fait un schéma du fonctionnement économique où Chesnay met en évidence que ce sont les rêve Chesnay met en évidence que ce sont les revenus engendrés par l’agriculture qui circulent ensuite entre les différentes classes de la société. Le travail de la terre est le seul à dégager un « produit net », qui est la différence entre les rendements de l’agriculture et les dépenses effectuées pour obtenir ce rendement. La classe des fermiers perçoit ce produit net. Elle en conserve une partie pour sa survie et les semences de prochaines récoltes.
Elle verse le reste à la classe de propriétaires en rémunération de la mise à disposition de la terre. A son tour, la classe des propriétaires reversera une partie de ces revenus aux fermiers en échanges de produits alimentaires, et une autre partie à la « classe stérile » des commerçants et des artisans en échange de réduits manufacturés et des services. Le circuit est bouclé quand cette classe stérile reverse à nouveau ces revenus la classe des fermiers pour l’acquisition de produits agricoles.
La volonté de Chesnay, qui est médecin rappelons-le, est de comparer le fonctionnement de l’économie à celui d’un organisme vivant, où le revenu net de l’agriculture circulerait comme le sang circule dans un corps. Ainsi, pour Chesnay, l’agriculture est le « c?Ur » du corps économique et irrigue les différentes classes de la société en revenus. Ceci nous amène à aborder la théorie de la rameute de l’agriculture, et de cette primauté découlera celle de la propriété foncière et du despotisme éclairé. C.
La primauté de l’agriculture Selon Chesnay, seule la terre restait du despotisme éclairé. Selon Chesnay, seule la terre restitue à homme des quantités supérieures à celles qu’il lui fournit (en effet, pour un grain de blé par exemple on peut en obtenir dix), d’où une sacralisation de la terre, et l’établissement par Chesnay d’une opposition entre la classe paysanne qu’il qualifie de « productive » et les classes des artisans et commerçants qui pour lui sont « stériles » : en effet, les artisans ou les commerçants ne font que « transformer » les biens sans les multiplier. A partir de là, il est facile de déduire que l’agriculture est le seul secteur économique qui produit véritablement de la richesse, qu’il faut donc stimuler au maximum la production agricole, et les propriétaires fonciers sont, tout comme les paysans classés parmi le groupe « productif » ; les physionomies affirment que « la propriété foncière se trouve a c?Ur du droit naturel ». Rappelons tout de même que le courant physionomie naît dans un période de déclin de l’agriculture alors que du revenu national dépendent de ce secteur.
Les physionomies considéraient que ce déclin était en grande partie issu du fort interventionnisme de l’état dans l’agriculture qui mettait en place, par exemple, des permis d’exploitation, des droits de douane internes, des quotas de production, ou qui limitait ou interdisait certains types de cultures selon la région. Les physionomies réclamaient donc la liberté de commerce et d’exploitation des produits agricoles. Cette liberté ne pouvait, toujours selon Chesnay, être garantie que de des produits agricoles.
Cette liberté ne pouvait, toujours selon Chesnay, être garantie que dans le cadre d’un septième éclairé : en effet, le roi est cc-propriétaire de toutes les propriétés foncières. AI touche donc un impôt pour tous les revenus perçus par les propriétaires fonciers, il est donc de son intérêt que le revenu croisse pour que son impôt aussi augmente. AI laissera donc la plus grande liberté au secteur agricole de se développer, et ce pour son intérêt mais aussi d’une façon liée pour celui de l’économie de l’état.
Après le Tableau et les théories que nous venons de voir, certaines dissidences commencent à se développer au sein de l’école, ce qui provoque le déclin du mouvement ui va laisser la place à l’école classique. Expliquons présent comment la pensée économique classique s’est appuyée sur le mercantilisme et la psychiatrie pour se construire et s’affirmer. AI. Comment la pensée économique classique fut préparée par ces deux courants de pensée économique. A.
La réfutation du mercantilisme par les classiques Paradoxalement, il est permis de dire que la pensée économique classique s’est fondée sur le mercantilisme, non pas avec lui mais contre lui. En effet, la réfutation du mercantilisme a permis de formuler certains concepts économiques classiques dont voici les deux principaux : I) La théorie des avantages comparatifs, de richard, qui s’oppose à l’obsession qu’avaient les mercantilisme pour une balance commerciale excédentaire à tout prix.
En effet, selon richard, rien ne sert de s’obstiner à vouloir s’auto suffire en m excédentaire à tout prix. En effet, selon richard, rien ne sert de s’obstiner à vouloir s’auto suffire en matière de production industrielle en essayant d’avoir une économie fermée et l’avantage absolu (produire au coût le plus compétitif) pour tous les produits fabriqués. Il est préférable au contraire que chaque pays se spécialise dans e bien qu’il produit le « moins mal », et encourager les échanges entre les pays. Cette spécialisation permet de réaliser des économies d’échelle.
Il devient alors possible d’importer les produits que l’on a arrêté de manufacturer : on obtient ainsi une plus grande quantité de ses propres produits et une plus grande quantité de ceux des autres. richard donne l’exemple de l’avantage comparatif du vin porterais et celui du drap anglais. Si chaque pays se spécialise dans la production du bien qu’il maîtrise le mieux, il réalisera des économies d’échelle ?importantes. L’engrangèrent pourra alors importer plus de vin porterais et e pourtour plus de drap anglais.
richard réfute donc la théorie des avantages absolus et la doctrine protectionniste des mercantilisme. 2) Le rôle de l’or comme simple instrument des échanges. En effet, édam smash s’oppose à la théorie mercantilisme d’accumulation des métaux précieux. En effet, selon smash, l’or n’ pas de valeur intrinsèque : il s’agit d’une marchandise comme les autres, dont la valeur se mesure sa rareté.