Management des organisaitions

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Fiche Synthèse Management des organisations : Séance no 1 : Qu’est-ce que l’organisation ? Il y a certains auteurs qui se refusent à définir ce qu’est l’organisation car ils pensent que cela n’a aucune pertinence, de plus il y a trop de différences entre les définitions possibles de l’organisation. Il est important alors de se demander sur quel critère on s’appuie pour dire ce qu’est une organisation ou ce qu’il ne l’est pas . L’organisation se distingue d’une institution et d’un groupe.

Du fait que l’institution s organisations il y a al Derrière le mot orga Il s’agit d’une entité o Le point qui est aussi s’imposant aux mentaire. cations • e action d’organiser. L’organisation entité se distingue en sous catégories qui sont une entité collective, une entité finalisée, une entité ouverte sur son environnement, une entité de division et de coordination et enfin une entité qui évolue. Entité Collective C’est un ensemble d’individus nous pouvons nous poser la questlon de savolr ce qui lie ces indlvidus entre eux et quelles sont les relations qu’ils entretiennent au sein de l’organisation.

Ce qui est davantage fondamental est que leurs actions sont coordonnées, mais aussi que les individus sont dans des relations ‘interdépendance. Dans cette entité il y a une distinction entre un membre et un non-membre, mais aussi des parties prenantes internes et externes. Les parties prenantes internes (membres) sont les salariés, les dirigeants mais aussi les représentants du personnel. concurrents, les syndicats et enfin les réseaux professionnels. Une entité finalisée : Finalité / Objectlfs : quelle est la finalité d’une entreprise ? D’une association caritative ?

Dans le but d’assurer sa pérennité. Qui incarne la finalité de Forganisation ? Tous les membres de La finalité peut se décliner en plusieurs objectifs : l’organisation evient alors une « coalition d’intérêts divergents de plus il y a une hiérarchisation des objectifs. Les objectifs sont nombreux par ex les relations avec les fournisseurs, la satisfaction des clients. Comment je fais en sorte pour réunir chacun des membres à la réalisation de la finalité ? Cependant les individus ont leur propre finalité et le manager doit contribuer à la finalité de l’organisation.

Les objectifs organisationnels ne recouvrent pas les objectifs individuels ! Les individus vont déployer leurs propres stratégies. Une entité ouverte sur son environnement : De quoi est composé l’environnement de l’entreprise ? II y a les individus, les organisations, les institutions, les marchés mais aussi les valeurs ou éléments géophysiques. Ces éléments ont-ils une influence sur son fonctionnement et son adaptation ? Si nous retournons la question comment l’entreprise peut elle influencer l’environnement ? Comment sont définies les frontières de l’entreprise ? Ou s’arrête et ou commence l’entreprise ?

Les entreprises de l’entreprise sont de plus en plus floues ? cause : Des structures juridiques très compliquées. Des réseaux d’entreprlses. L’environnement de l’organisation est un construit : Grace aux différents membres. Avec un environnement propre à chaque individu Influence de l’évolution de l’environnement avec les acteurs du marché. PAGF 31 acteurs du marché. Une entité qui évolue : Une organisation est un système ouvert et en tant que système toute modification d’un élément conduit à modifier les relations au sein de ce système mais aussi de la nature de ces éléments.

La dynamique d’évolution des entreprises s’accélère aujourd’hui. Question fondamentale : Comment comprendre et piloter le changement dans une organisation ? Une entité de division et de coordination : Question permettant de rendre l’organisation efficiente : Comment les décideurs et managers doivent structurer l’organisation ? L’organisation doit penser son « organizing » il doit y avoir une division des taches à accomplir et aussi d’une coordination afin d’accomplir le travail (Mintzberg).

Comment repartir les taches entre les différents membres de l’organisation ? Comment mettre en concordance des activités et des comportements individuels ? Séance no 1 B : Les théories classiques des organisations : Qu’est-ce qu’une théorie ? Une théorie est un ensemble d’hypothèses qui forment les fondements d’une série d’affirmations logiquement inter reliées. Une théorie permet de structurer la lecture d’une réalité complexe et en mouvement. Souvent une théorie souhaite répondre à un problème (la flânerie des ouvriers pour Taylor… mais chaque théorie ne révèle souvent qu’un aspect particulier de la réalité qu’elle souhaite observer. Pourquoi mobiliser plusieurs théories pour comprendre les organisations ? II faut s’attacher à donner des visions plurielles de l’organisation, de plus l’organisation peut être considérée par ex comme une machine ou comme une organisation vivante car elle a la capacité de produire quelque chose. Pluralité des théories des organisations : Quelles sont les diverses disciplines qui ont choisi comme objet l’organisation ?

Ily a l’économ 3 1 Quelles sont les diverses disciplines qui ont choisi comme objet l’organisation ? Il y a l’économe, la gestion, la sociologie, la psychologie mais aussi les sciences politiques. ASmith est le 1 er des théoriciens par rapport à la théorie des organisations. C’est ensuite Taylor qui va démocratiser les théories organisationnelles. Quelle est l’utilité d’aborder l’organisation sous plusieurs angles ? La pluralité permet d’avoir une vision globale de l’organisation ? ause d’une réalité complexe et au mouvement.

Une des cohérences qui se dégagent au sein des théories classiques est la quête de la rationalité. La quête de rationalité : Les organisations se dotent de processus, d’outlls pour se coordonner et pour réduire les incertitudes, la rationalisation est un inventaire des problèmes que peut rencontrer une organisation et que l’entreprise doit résoudre pour atteindre ses objectifs. Les auteurs qui se sont penchés sur cette quête de la rationalité sont Taylor, Fayol, l’Ecole des relations humains et enfin les théoriciens de la contingence.

Taylor ou la rationalisation de plusieurs dimensions : Taylor est un théoricien americain qui fut cadre dans une entreprise et qui a essayé de construire une théorie autour de son expérience. L’objectif de Taylor est de proposer des principes organisationnels qui doivent conduire à l’efficacité productive de l’entreprise. L’inefficacité productive est liée : A la flânerie des ouvriers à cause du système des salariés et de l’employeur qui ne connait pas les conditions de travail. Aux techniques d’exécution du travail et à leur apprentissage.

La Méthode proposée par Taylor est d’introduire une rigueur cientifique dans la gestion du travail et Taylor pense que l’apprentissage du métier ne doit plus seulement être fait par l’expérience. 1 pense que l’apprentissage du métier ne doit plus seulement être fait par l’expérience. Il y a une rationalisation du travail productif : l’organisation du travail productif repose sur la maitrise des temps opératoires dans le but de mesurer et de contrôler l’exécution du travail par ailleurs ceci permet de décomposer le travail en taches élémentaires afin de mieux les évaluer.

La tache pour Taylor : « prescrit non seulement ce qui doit être ait, mais comment il faut le faire et le temps exact alloué pour cela » Afin d’appliquer concrètement cette méthode de travail il doit y avoir la présence d’un service qui sera dédié à la répartition du travail et que Taylor appelle « bureau des méthodes » ou « bureau de répartition du travail ». De plus selon lui la dimension intelligente doit être retirée des chefs d’équipe et les ouvriers seront alors réduits à des machines qui n’ont aucun droit de penser.

La gestion des ressources humaines est au centre de sa théorie. La vision de l’entreprise prônée par Taylor est performante car ‘entreprise est mieux organisée. La méthode Taylorienne est toujours présente à l’heure actuelle avec : « one best way qui est le travail à la chaine par ex, les ouvriers s’adaptent en fonction de la tache et les managers recherchent l’individu comme force physique. Recherche de techniques et outils afin de réduire l’incertitude liée à l’activité du travail comme le système ERP.

Cependant cette méthode s’appuie sur des hypothèses erronées de l’efficacité productive : L’homme est considéré par ces capacités physiques comme une machine dont il faut optimiser l’utilisation Une conception « additive » de la production – plus on découpe — on coordonne. Fayol ou la rationalisation des fonctions de l’entreprise : Fayol identifie 6 catégories d’activités dans l’entrep PAGF s 1 rationalisation des fonctions de l’entreprise : Fayol identifie 6 catégories d’activités dans rentreprise qui sont technique, commerciale, financière, sécurité, comptable et enfin administrative.

La fonction administrative doit traverser l’ensemble des fonctions : « administrer, c’est prévoir, organiser, commander, coordonner et contrôler b. Ces sont donc des fonctions essentielles de l’organisation. Les théories de la contingence ou la rupture avec le « one best way » Ces théories mettent l’accent sur les influences de l’environnement sur l’organisation c’est pourquoi ils pensent qu’il n’y a pas une façon universelle d’organser l’organisation mais c’est davantage une question de contexte de cette organisation.

Les entreprises n’adoptent pas tous le même « one best way » les technologies conditionnent la façon dont l’organisation s’organise. Ily a trois modes d’organisation de la production associés à des structures particulières : Production de petite série : organisation assez souple. Production de grande série : organisation rigide. production en continu : organisation assez souple.

Leurs théories reposent sur l’influence de la stabilité de l’environnement car l’incertitude et la complexité de l’environnement a un impact sur la structure à travers les évolutions de renvironnement et la nature du produit (la structure « mécanique » correspond à un environnement stable, la structure « organique » correspond à un environnement très dynamique). La synthèse de Mintzberg : les éléments de l’environnement sont les marchés, le climat politique et enfin les conditions ?conomiques. De plus il définit les caractéristiques de l’environnement qui sont la stabilité, la complexité, la diversité et l’hostilité.

La quête de la rationalité La quête de la rationalité aujourd’hui Taylor : analyse du poste de travail et définition des fonctlons. Fayol : identification de la fonction de l’entreprise et mise en cohérence et communication entre ces fonctions. Ecole des relations humaines : processus de gestion des RH. Théorie de la contingence : relation clients/usagers et relation avec les autres organisations. Conclusion : De l’intérêt des théories des organisations : Les théories des organisations ne sont pas un ensemble désordonné de théories sans lien les unes aux autres.

Nécessaire de concevoir l’organisation sous des angles d’approches différents lorsqu’on cherche à comprendre l’objet organisationnel. Les outils de gestion sont porteurs d’une image dominante de l’organisation, reste à savoir laquelle pour comprendre l’objectif de l’outil et son utilisation. Séance 2 a : La structure organisationnelle : Définition de la structure organisationnelle : « Somme totale des moyens employés pour diviser le travail en taches distinctes et pour ensuite assurer la coordination écessaire entre ces taches. ? Mintzberg La structure organisationnelle « correspond à l’ensemble des mécanismes mis en œuvre conformément à la volonté implicite ou explicite de la direction afin de permettre d’une part la spécialisation des taches et d’autre part leur coordination de telle façon que soient atteints les objectifs de l’entreprise (Kalika) La structure organisationnelle est un ensemble de disponibilité visant à diviser puis coordonner le travail au sein de l’entreprise afin d’atteindre les objectifs organisationnelles.

La structure organisationnelle cherche à répondre à ces ifférentes questions : Comment repartir les diff s productives dans PAGF 7 1 les différentes activités productives dans Pentreprise ? Comment repartir les différentes fonctions de l’entreprise ? Qui décide dans l’entreprise et de quoi ? Comment circule l’info entre les différentes sous-parties de l’entreprise ? Structure et organigramme • L’organigramme permet de formaliser la fonction de chacun par rapport aux autres, d’établir les relations hiérarchiques, définir les canaux formels de répartition de l’autorité qui va prendre la décision sur tel domaine ?

L’organigramme donne aussi une ision normative de la structure et est seulement la partie visible de la structure. La structure est-elle le fruit exclusif de l’intention des dirigeants ? Ou est-elle le fruit de ce qu’en font les membres de La structure est le fruit des 2 : des décisions des dirigeants de l’entreprise, des pratiques des membres. Les organisations se distinguent par le formel : ensemble des règles explicites qui visent à réduire l’imprévisibilité des comportements rationalité, il y a aussi l’informel : comportements et relations qui existent de fait.

Les caractéristiques de la structure : Quels sont les modes de spécialisation dans une organisation ? La fonction, le domaine d’activité et la zone géographiques sont des modes de spécialisation dans une organisation. Quels sont les moyens d’assurer la coordination entre les taches et les activités dans une organisation ? Verticale et formalisation (culture organisationnelle). Le niveau des taches et de l’emploi.

La départementalisation peut s’opérer suivant plusieurs logiques : par fonction, par produit, servlce, activité, par clientèle ou marché, par zone géographique, par technologies et enfin par circuit de distribution. Comment définir l’autorité ? L’autorité est le droit d’agir ou de commander les autres à agir. 31 Il y a l’autorité à la chaine hiérarchique par la formation de la hiérarchie conduit à spécifier, la chaine de commandement et enfin l’étendue du contrôle (autonomie des collaborateurs, dispositif de contrôle (comment on peut vérifier la réalisation de la tache demandée ? et nature des taches). La décentralisation consiste à distribuer du pouvoir de décision entre les différentes personnes. La décentralisation peut être verticale ou horizontale. La centralisation confère une perspective globale aux décisions rises, facilite la coordination entre les services et le contrôle, permet de réagir rapidement, renforce l’uniformisation des politiques et pratiques de gestion, de plus cela réduit les risques liés à la confidentialité de l’information Facteur Intégration. a décentralisation permet d’améliorer la qualité des décisions par leur adaptation au contexte local, mais aussi une meilleure réactivité grâce à un circuit d’information + court, limite par ailleurs les risques de « perte » d’un homme clé dans l’organisation et libère la direction générale pour les questions stratégiques Facteur différenciation.

Selon Mintzberg les mécanismes de coordination sont le « ciment qui tient toutes les pierres de la bâtisse de l’organisation Ce mécanisme peut être fait grâce à un ajustement mutuel ou par une supervision directe (une personne décide pour tout le monde), mais aussi par une standardisation : des procédés (définition des procédures, description des taches, règlement intérieur), des résultats, des qualifications et enfin des normes.

Les configurations structurelles : Les formes entrepreneuriales . Ces caractéristiques sont que les procédés et les liaisons sont peu formalisées, la entrepreneuriales : Ces caractéristiques sont que les procédés et les liaisons sont peu formalisées, la coordination est basée le plus souvent sur l’ajustement mutuel et sur la supervision directe, le champ d’intervention de chacun reste imprécis et enfin les relations personnelles sont privilégiées.

Les forces sont une bonne flexibilité et une motivation au sein de Les faiblesses sont qu’il y a une faible standardisation des procédés et de la répartition des taches. Les formes fonctionnelles : Cela consiste à découper l’organisation selon des fonctions. Il y a deux règles qui régissent ce découpage c’est premièrement ue chaque unité correspond à une base d’expérience et deuxièmement que l’interdépendance entre les unités ne doit pas être trop forte de façon à permettre l’exercice d’une responsabilité effective.

Les forces sont qu’il y a une simplicité de fonctionnement, niveau d’excellence technique, un regroupement homogènes des compétences et une mise en évidence des responsabilités de chacun par fonction et clarifie donc les compétences requises, définit les zones de pouvoir et contrôle les performances. Les faiblesses sont qu’il y a une surspécialisation de certains adres, une apparition de cloisonnement, une augmentation du délai de la prise de décision, et une tendance au formalisme (perte de la vision globale et différentes temporalité, faiblesse de la coordination entre fonctions lorsque l’entreprise se développe).

Les formes divisionnelles : Il s’agit d’un découpage par division selon un critère de résultats. Les caractéristiques de cette forme sont qu’il y a une mise ? disposition des moyens, une juxtaposition de petites entreprises autonomes en mono activité mais complémentaires, et enfin que chaque division dispose d biectif