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Section 2 : Risque opérationnel 1. Définition « Le risque opérationnel est défini comme le risque de perte résultant de carences ou de défaillances attribuables à des procédures, personnels et systèmes internes ou à des événements extérieurs. La définition inclut le rlsque juridique mais exclut les risques stratégiques et d’atteinte à la réputation ». Dans la pratique, on peut considérer comme réalisation d’un risque opérationnel tout événement qui perturbe le déroulement des processus et qui génère des pertes financières ou une dégradation de l’image de la banque.

Donc les risques opérationnels sont réalisés essentiellement par : les employés Swipe to page PACE 1 or 4 (risques liés à l’invest err. ,’. Snipe to par des événements naturelles,… ) sus Interne de , le système , violation…. ) et ues, catastrophes Chapitre 2 : Les méthodes de gestion du risque bancaire Introduction Les banques, en tant qu’entreprises, sont soumises aux risques. Toutefois, elles sont exposées à plus de formes de risques et la maîtrise de ceux-ci devient un défi important à relever.

L’idée de rlsque zéro est donc un concept loin de la réalité. Il y a toujours un risque résiduel après avoir couvert le risque principal. A cet effet, toute banque doit adopter une politique de gestion des différents risques découlant de son activité. Section 4 : Le risque opérationnel La gestion des risques opérationnels est le processus qui consiste à contrôler l’éventualité et la gravité potentielle d’un incident défavorable ; tel les fraudes ; les incidents et les pannes informatiques.

Les banques sont exposées à ce risque et pour y remédier ils utilisent des méthodes de gestion qui leurs permettent de l’atténuer. Dans cette partie nous allons nous intéresser à quelques méthodes qui nous estimons les plus utilisées. 1 . Processus de surveillance 1 . 1. Contrôles internes Les contrôles internes correspondent à l’ensemble des ressources et procédures utilisées par les dirigeants pour contrôler efficacement les activités. Grâce à eux, la direction et le personnel peuvent être raisonnablement certains d’atteindre les objectifs.

Ils aident à corriger les contradictions et à détecter les anomalies survenant entre les différents centres décisionnels (par exemple, les chefs d’agence) dotés de niveaux d’autonomie ariés. Les contrôles internes doivent être préventifs, détectives, et correctifs. Une gestion des risques opérationnels efficace est composée des • Contrôles de prévention : conçus pour éviter les incidents indésirables avant leur survenue. • Contrôles de détection : conçus pour identifier les incidents indésirables lorsqu’ils surviennent.

Ils identifient les erreurs après qu’elles soient survenues. • Contrôles de correction : con us our s’assurer que des de réparer les incidents mesures correctives sont PAG » Of d mesures correctives sont prises en vue de réparer les incidents ndésirables ou d’éviter qu’ils se renouvellent. Les risques liés au manque d’information a Incapacité à classer les risques par priorité Un élément clé du processus de gestion des risques est le classement par priorité.

Cela peut se faire en utilisant une matrice pour classer les risques selon la possibilité qu’un évènement arrivera (la fréquence) et une estimation du coût potentiel (l’impact). La non disponibilité d’informations historiques rendra ce processus plus difficile. a Incapacité à détecter la fraude : Si une fraude est commise dans une banque, son effet e constate le plus souvent sur la qualité de portefeuille. Si des informations à temps et exactes sur le portefeuille sont disponibles, la fraude liée aux déboursements et remboursements peut être détectée plus facilement. Non-conformité avec les réglementations ‘ Sans des informations correctes et à temps, les rapports réglementaires seront inexacts ou incomplets a Manque de contrôle sur les actifs : Il est important de garder les registres d’entrée et sortie des fournitures de bureau, d’utilisation des véhicules, et de tenir un registre des immobilisations. Non-conformité avec le budget • Un système d’information financière doit comprendre une comparaison entre les résultats et le budget. Si un directeur n’est pas en mesure de vérifier la raison des écarts, une manipulation du système ne pourra pas être détectée. Etats financiers inexacts : Des procédures d’enregistreme pourra pas être détectée. a Etats financiers inexacts • Des procédures d’enregistrement et de comptabilité imprécises ne créent pas seulement un environnement favorable aux activités frauduleuses, mais laissent les dirigeants et les parties renantes avec les informations incorrectes pour la gestion de l’entreprise. 1. 2. Audit interne L’audit interne est une appréciation systématique et objective par les auditeurs internes des diverses activités et contrôles d’une institution.

L’objectif d’un audit interne est de déterminer si les risques auxquels s’expose l’institution peuvent être identifiés en vérifiant a Les informations financières et les données d’exploitation sont exactes et fiables a Les politiques et les procédures internes sont respectés a Les risques d’exploitation de l’institution sont identifiés et réduits au minimum Les réglementations externes sont respectées Des critères d’exploitation satisfaisants sont remplis a Les ressources sont utilisées de manière efficace et économique a Les objectifs de l’institution sont effectivement atteints Si une petite banque n’a pas l’argent lui permettant d’embaucher un auditeur interne à plein temps, la fonction d’audit interne peut être contractée à l’extérieur. Si les services d’une société sont requis, elle ne doit pas être la même que celle qui fait l’audit externe annuel. En combinant les deux, l’indépendance de l’audit externe sera mise en cause