Management
La gestion des stocks est indispensable pour répondre au mieux aux demandes des cl demandés en quanti 5 Les responsables des oct , „ loview next page les tendances du ma les demandes , les distributeurs ; les délais de livraison. Faire des économies enir les articles nnaître : Dans une entreprise, avoir du stock a un coût : dacquisition ; de conservation ; de dévalorisation. Sassurer une bonne gestion des stocks revient à : éviter : la rupture de stock ; le sur-stockage , minimiser les coûts liés au stockage.
Les stocks représentent des coûts très élevés pour les entreprises, mais quels sont-ils exactement ? préparation du bon de commande ; le traitement de l’information pour préparer la commande ; es frais de poste, de téléphone, de télécopieur, de courrier électronique ; les frais reliés à la réception des marchandises ; les frais reliés au suivi des commandes ; les frais de transport. Les couts de maintien en inventaire : Les coûts de maintien en inventaire représentent les coûts encourus pour maintenir en inventaire, pendant une certaine période, des marchandises.
Ils sont exprimés en dollars par article par unité de temps (exemple : 0,10 $ par article par an). Le coût de maintien en inventaire comprennent le coût du capital immobilisé sous forme de stocks (en d’autres ots les frais de financement des stocks) ; le coût d’utilisation de l’espace d’entreposage (location, électricité, assurances pour l’entrepôt, frais d’entretien des installations, la manutention, etc. ) ; le coût de détention des marchandises (les assurances pour les produits, la désuétude, le vol, le bris, la surveillance, remballage, le rangement spécial, etc.
Les couts de pénurie : Les coûts de pénurie représentent les coûts susceptibles de sun,’enir lorsqu’un article n’est pas disponible. (exemple : 2 $ par article par mois). Les coûts de pénurie comprennent : la main d’œuvre inoccupée ; ‘équipement arrêté ; les coûts occasionnés par les changements dans le programme de fabrication , la perte de réputation ; la perte de commandes ; les coûts des procédures d’ur ence our accélérer les livraisons ; les coûts supplémentaires nce pour respecter les IS supplémentaires de sous-traitance pour respecter les délais.
Le cout d’achat : Le coût d’achat représente la valeur monétaire (le prix coûtant) des produits stockés. Les outils de gestion de stocks pour optimiser les coûts et les quantités de marchandises gérées dans un magasin, nombreuses méthodes sont mise en application. A chacune d’elle, correspond une analyse précise à travers laquelle on recherche un résultat pour mieux interpréter une situation et prendre les décisions appropriées pour l’améliorer si nécessaire. Le présent article parle de deux principales méthodes : la méthode de Pareto et la classification ABC.
Le but de ces méthodes est d’analyser les stocks selon leurs quantités / valeur et de faire ensuite une classification qui ressortira d’une part un segment d’articles à forte valeur et d’autre part un ou plusieurs segments à valeur plus faible. On pourra par la suite appliquer des méthodes de estion différentes à chacun des segments ou classes (type d’approvisionnements, limites de stocks ou indicateurs, type d’inventaire, type de valorisation A- La méthode de Pareto ou loi des 20/80 D’après cette méthode, l’analyse des stocks consiste rechercher les 20% des articles en nombre représentant 80% de la valeur totale du stock.
A ces derniers, il sera appliqué un suivi rigoureux car, l’engagement financier supporté est assez élevé. Le reste des articles, de moindre valeur, seront quant à eux gérés avec un peu plus de souplesse. B- La méthode ABC Tout en restant dans la m 30F IS e la méthode de Pareto, méthode ABC affine la précédente en proposant un découpage plus détaillé des stocks en fonction de leur valeur.
Elle ressort donc trois segments ou classe selon les critères qui suivent : Classe A : les des articles qui représente environ de la valeur totale du stock ; Classe B : les des articles suivants qui représentent environ 15% de la valeur totale du stock ; Classe C : les 50% des articles restant qui représentent environ 5% de la valeur totale du stock. Ou encore selon d’autres théories : Classe A : les 10 % des articles représentent 60 % de la valeur otale du stock ; Classe B : les 40 % des articles représentent 30 % de la valeur totale du stock Classe C : les 50 % des articles représentent IO % de la valeur totale du stock.
Comme vous le constatez, les intervalles de classe ci-dessus ne sont pas igides. Il est même rare des les obtenir avec une telle précision dans une analyse. Dans tous les cas, l’analyste essayera au mieux d’obtenir un découpage qui se rapproche des valeurs de son choix. Nombreuses applications informatiques utilisées pour la gestion des stocks et des articles offrent la possibilité de faire automatiquement ces analyses. C. cas d’emploi des analyses 20/80 et ABC Le 20/80 et l’analyse ABC peuvent être utilisés .
Dans les approvisionnements afin de cibler les articles dont le stockage est le plus onéreux, les produits dont le coût de revient est le plus fort.. Dans la production afin de cibler les articles qui sont à la cause de fortes immobilisations financière, les ateliers qui effectuent le plus grand nombre d’opérations les ièces qui présentent le plus grand nombre de défauts, 4 OF grand nombre d’opérations, les pièces qui présentent le plus grand nombre de défauts, les goulets d’étranglement..
Dans la vente afin de détecter les produits qui rapportent le plus de profit, les clients qui font le plus gros chiffre d’affaire à la société, les prestations logistiques qui génèrent le plus de charges… e but managérial de ces méthodes d’analyse étant d’optimiser les coûts ou les bénéfices de l’entreprise, II convient, pour chacun des maillons de la chaîne logistique de faire une segmentation par classe et d’assurer une gestion d’autant plus minutieuse que les valeurs sont importantes (les produits/clients/fournisseurs/ ateliers… e la classe A seront suivis avec plus de rigueur, puis eux de la classe B, enfin ceux de la classe C). Cavantage de ces méthodes d’analyse dans la gestion des stocks est donc qu’elles permettent de porter une attention particulière aux articles dont une moyenne de stockage inadaptée peut avoir des conséquences financières significatives et d’appliquer des règles de gestion appropriées à chacune des classes A, B et C.
GESTION DES APPROVISONNEMENT : La gestion d’achat fait supporter à l’entreprise trois types de coûts : •DCoût de passation de commande : Ce coût est composé des frais de personnel chargé des achats, des frais de fourniture, e téléphone ou le fax, le déplacement de transport vers le fournisseur… etc. La somme de ces frais est indépendante du volume acheté, il représente un coût fixe par commande. C’est une fonction de la forme « y a. x» •ÛCoût de possession des stocks : Ce coût comprend les coûts de magasinage, coût de financement… etc. es frais sont liés au volume des quantités d’achat. coûts de magasinage, coût de financement… etc. ces frais sont liés au volume des quantités d’achat. par conséquent la fonction du coût de possession des stocks s’exprime en une fonction, de la forme « b. ». « x » exprime le stock moyen qui résulte des quantités achetées. •DCoût de pénurie (d’opportunité) ou coût de rupture de stocks : Pour éviter la rupture des stocks, les sociétés acceptent volontiers de supporter un coût supplémentaire en augmentant les quantités commandées par rapport au besoin (stock de sécurité).
Le prix des achats supplémentaires est considéré comme le prix payé par la société en vu d’éviter l’épuisement des stocks. Très souvent l’évaluation de ce coût présente des difficultés pratiques, c’est pour cette raison la gestion des stocks e limite à minimiser le coût total des approvisionnements composés uniquement des coûts de passation de la commande et le coût de la commande. PROCESSUS DE SELECTION DU FOURNISSEUR Fiabilité Rappelez-vous : s’ils vous laissent tomber, vous pourriez laisser tomber votre client.
Qualité La qualité de vos fournitures doit être constante; vos clients associent la mauvaise qualité à vous, pas à vos fournisseurs. Rapport qualité-prix Le prix le plus bas ne représente pas toujours le meilleur rapport qualité-prix. Si vous recherchez de la fiabilité et de la qualité de a part de vos fournisseurs, vous devrez décider du montant que vous êtes prêt à payer pour vos fournitures et l’équilibre que vous voulez trouver entre le coût, la fiabilité, la qualité et le service.
Service robuste et une communication claire Vous avez besoin que vos fournisseurs livrent en temps voulu, ou qu’ils soient honnêtes et vous av 6 OF IS qu’ils soient honnêtes et vous avertissent bien à l’avance SI c’est impossible. Les meilleurs fournisseurs voudront discuter avec vous périodiquement pour découvrir vos besoins et comment ils peuvent le mieux vous servir. Sécurité financière Il est toujours utile de vous assurer que votre fournisseur dispose de suffisamment de trésorerie pour livrer ce que vous voulez, et au moment où vous le voulez.
Une vérification de sa solvabilité vous aidera à vous rassurer qu’ils ne feront pas faillite lorsque vous en avez le plus besoin. Approche de partenariat Une relation solide profitera aux deux parties. Vous voulez que vos fournisseurs reconnaissent combien votre entreprise est importante pour eux, afin qu’ils n’épargnent aucun effort pour fournir le meilleur service possible. Et vous êtes davantage usceptible de créer cette réponse en montrant à votre fournisseur combien il est important pour votre entreprise. ÉTAPES POUR UN PROCESSUS EFFICACE D’APPROVISIONNEMENT Étape 1. Établir une équipe de projet intégrée Idéalement, l’équipe de projet pour l’approvisionnement doit être constituée de personnes de l’organisation qui représentent toutes les disciplines et tous les groupes d’intervenants internes. Il est important d’obtenir un consensus à cette étape et, pour y arriver, on doit démontrer qu’on est désireux de s’engager auprès des Autochtones, non seulement au niveau des cadres supérieurs, ais aussi au niveau des membres de l’équipe de projet.
La participation et les commentaires des intervenants internes sont nécessaires pour mener une bonne évaluation des besoins (à Pétape 2). Le che internes sont nécessaires pour mener une bonne évaluation des besoins (à l’étape 2). Le chef de l’équipe d’approvisionnement doit attribuer un rôle à chaque membre de l’équipe, préciser les attentes, déterminer les objectifs et élaborer un code de conduite. Il faut également recueillir et conserver des connaissances au fur et à mesure de l’évolution du projet.
Il est important que les cadres supérieurs interviennent non seulement en donnant leur point de vue, mais également en offrant activement un soutien et un encouragement pour sélectionner les fournisseurs autochtones et travailler avec eux. ‘équipe de projet peut avoir besoin d’une formation sur la sensibilisation aux réalités culturelles; et, pour éviter les problèmes de communication, il est nécessaire d’avoir d’excellentes habiletés en communication.
C’est aussi le moment d’envisager d’attribuer à un ou plusieurs membres de l’équipe le rôle de défenseur des entreprises. Étape 2. Définir le produit ou service dont on a besoin Si possible, menez de façon formelle une évaluation de l’approvisionnement recherché, que vous pourriez devoir scinder en composantes plus petites afin de favoriser la participation des entreprises autochtones qui ne seraient peut-être pas en mesure de répondre à l’ensemble de la demande d’approvisionnement.
Lorsque vous vérifiez l’évaluation qui a été faite des besoins, demandez-vous si de multiples fournisseurs autochtones seraient capables de répondre aux exigences en unissant leurs efforts. En certains cas, plusieurs ressources d’une même communauté ourraient satisfaire aux exigences d’une importante possibilité d’approvisionnement. À la fin de l’étape 2, l’équipe de pro exigences d’une importante possibilité d’approvisionnement. la fin de l’étape 2, l’équipe de projet doit avoir obtenu suffisamment d’information de la part de ses intervenants internes pour se mettre à la recherche des fournisseurs autochtones appropriés. Étape 3. Chercher des solutions concernant les fournisseurs autochtones I peut être difficile de localiser les fournisseurs autochtones, car les ressources sont en général dispersées. On dispose de plusieurs options, y compris des répertoires imprimés, des publications, des initiatives de sensibilisation des communautés, des réseaux informels, des moteurs de recherche et des bases de données.
Les ressources suivantes peuvent également être utiles : Le Répertoire des entreprises autochtones, du gouvernement fédéral, est gardé à jour par Industrie Canada; cette base de données consultable offre des listes d’entreprises autochtones présélectionnées, à l’usage des acheteurs gouvernementaux. Le Réseau des entreprises canadiennes est une base de données onsultable, offerte par le gouvernement du Canada et gardée à jour par Industrie Canada, qui porte sur 60 000 entreprises canadiennes.
Maintenu par NCM Media, GOVpages est un annuaire de plus de 50 000 fournisseurs du gouvernement du Canada. Le gouvernement de la Saskatchewan garde à Jour un répertoire des entreprises autochtones. Le gouvernement du Manitoba garde à jour un répertoire des entreprises autochtones. Le Canadian Aboriginal and Minority Supplier Council (CAMSC) garde à jour un répertoire d’entreprises appartenant à des Autochtones et à des minorités (réservé à ses membres). Etape 4. Examiner si des obstacles nuisent au processus d’appel d (réservé à ses membres). Étape 4.
Examiner si des obstacles nuisent au processus d’appel d’offres Pour certaines entreprises autochtones, c’est peut-être la première fois qu’elles participent à un processus d’appel d’offres. par conséquent, l’équipe d’approvisionnement peut devoir aider le propriétaire d’une entreprise autochtone à se familiariser avec le processus de soumission et avec la façon de remplir les documents pour soumissionner. Il se peut aussi que ces entreprises ne soient pas au courant e l’appel d’offres, ou qu’elles n’aient pas les ressources pour répondre de façon professionnelle à un appel d’offres.
Il peut donc être nécessaire d’offrir une aide pour faire en sorte que la proposition soit retenue. Le processus actuel d’appel d’offres peut également devoir être raffiné pour s’adapter aux capacités des entreprises autochtones qui présentent une soumission. Il se peut que les organisations doivent réviser et adapter leurs appels d’offres s’il devient évident que les entreprises soumissionnaires n’ont pas les capacités requises.