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Plan de travail Introduction générale Chapitre 1 : Généralités Les médicaments Définition. Composition d’un médicament. Classification des médicaments. Types de médicaments. Médicaments génériques. Histoire de médicament pour connaitre une science il faut en connaitre le passé » or 11 Sni* to View Chapitre2 : Naissanc 1-Recherche de la m 2-Developpement 2-1 Phase d’essais précliniques. 2-2 Développement clinique. Phase 1 Phase2 Phase3 phase4 Enregistrement de [‘Autorisation de Mise sur le marché « AMM h. Fixation de prix et remboursement. Pré formulation : Définition

Intérêt Etudes de pré formulation Formulation : pharmacologique, immunologique ou métabolique. » Composition : Le médicament contient . un prlncipe actif, substance d’origine chimique ou naturelle caractérisée par un mécanisme d’action curatif ou préventif précis dans l’organisme. Connaissance du Principe actif : Au point de départ de la formulation de nouveau médicament, il y a le principe actif c’est-à-dire une substance dont l’activité thérapeutique a été établie et qui a fait l’objet de nombreuses études de la part des chimistes, des toxicologues et des pharmacologues.

Le galéniste doit rassembler toutes celles de leurs observations qui peuvent lui être utiles. Il s’agit essentiellement de propriétés physico-chimiques du principe actif et de tout ce qui concerne son devenir dans l’organisme (tableau Propriétés physico-chimiques Caractères organoleptiques Propriétés physiques : Solubilité Propriétés chimiques : Stabilité et incompatibilité . -Température. -Humidité. -Oxygène. -Lumière. -divers. Devenir dans Porganisme Pharmacocinétique : -Répartition. -Biotransformations. -Elimination. Activité thérapeutique -Lieu. -Mécanisme.

Effets secondaires. Biodisponibilité PAG » 1 d’administration dépend : -La biodisponibilité du Principe actif ; -De la vitesse d’action désirée, de la durée du traitement et du nombre de prise par jour ; -Du type de malade c’est-à-dire de son âge( nourrisson ,enfant, adulte ,vieillard ) et aussi de la situation( debout ou alité , ? domicile ou hospitalisé , traitement ambulatoire ou non ). La voie orale est la voie d’administration la plus normal. c’est celle qui est adoptée pour la plupart des principes actifs : les trois quarts des prescriptions concernent la voie orale.

Forme galénique : Le choix de la forme galénique découle de celui de la voie d’administration Bien que l’éventail des posslbilités ne cesse d’augmenter du fait du succès de la recherche ga énique en ce domaine, on aura presque toujours recours à un nombre limité de formes courante. Dans la majorité des cas, on se limite à une ou deux alternatives. (Tableau 2) Voies Formes principales Orale Parentérale Rectale Vaginale Ophtalmique ORL Percutanée Comprimés, gélules, solutions ou suspensions aqueuses. Solutions aqueuses. Suppositoires. Comprimés, solutions aqueuses. Solutions aqueuses, pulvérisées ou non.

Pommades et solutions. PAGF30F11 Jouer. Ceux-ci sont de trois sortes. Il leur est demandé : -De faciliter l’administration des principes actifs. -D’améliorer l’efficacité du principe actif. -D’assurer la stabilité et par conséquent la conservation jusqu’à la limite dutilisation fixée. Une seule propriété est commune pour tous les excipients : L’inertie. -Inertie vis-à-vis du principe actif. -Inertie vis-a-vis du matériau de conditionnement. -Inertie vis-à-vis de l’organisme. Les excipients sont d’origine soit naturelle (végétale ou animale), oit synthétique ou semi synthétique.

Classification des excipients 1-Eau : L’eau est l’excipient le plus utilisée en pharmacie. Elle apparait soit comme agent externe de fabrication soit comme composant interne de formulation. 2- Glycérides : huiles végétales, glycérides dérives des glycérides naturels, Produits dérivés des glycérides. 3- ares PAGFd0F11 3- Classification en fonction de la cible : Il s’agit ici de composés qui sont classé selon le type de système qui constitue leur cible dans l’organisme et ce, habituellement par l’entremise d’un messager chimique.

On distingue ainsi des antihistaminiques, des cholinergiques, etc. 4- Classification en fonction du site d’action : Il s’agit cette fois de composés qui sont classés selon le type d’enzymes ou de récepteur avec qui ils réagissent. On donne un exemple d’anticholinestérases. Types de médicaments: Il existe deux grands types des médicaments : les préparations maglstrales et les spécialités pharmaceutiques. Médicaments génériques Un médicament générique est la stricte copie de la spécialité originale dont le brevet est tombé dans le domaine public.

Il est « ssentiellement similaire » au médicament original de référence : il a la même composition qualitative et quantitative en principes actifs et la même présentation (sirop, cachet Lors de sa commercialisation, il doit être vendu au moins moins cher que la spécialité originale. Biodisponibilité : La biodisponibilité, ou assimilabilité désigne la vitesse et le taux d’absorption par le corps rincipe actif provenant PAGF équivalent à sa version d’origine, il n’existe aucune différence notable entre les deux du point de vue de la sécurité et de l’effet thérapeutique sur le corps humain.

Un médicament générique bio équlvalent est aussl sûr et efficace que sa version d’origine. 2- Histoire de médicament . Chaque clvilisation a légué ses connaissances de l’art de guérir : de magique, la thérapeutique est devenue religieuse, empirique puis scientifique, et drogues, remèdes et médicaments se sont succédé au fil des siècles, suscitant de l’enthousiasme ou de la méfiance, jamais de l’indifférence.

L’art de guérir a subit des oscillations pendulaires, O’thme qui suit celui de l’histoire et des connaissances, alternance de périodes d’obscurantisme et de umière où les idées et les découvertes ont jailli. Mais si les inventions thérapeutiques ont suivi pendant six mille ans les découvertes scientifiques, l’art de guérir a donné la faveur tour à tour aux médicaments naturels ou de synthèse. Ressources de la nature, découvertes dues au génie de l’homme se sont mêlées et parfois opposées, la thérapeutique progressant chaque fois qu’il y a eu rejet des idées préconçues.

Cette Histoire de la Pharm édicaments souhaite d’origine animale, minérale, végétale reposant sur l’observation. • Transmission orale depuis environ 6000 ans. De la Renaissance à l’époque moderne: des plantes aux principes actifs : • Étape majeure de l’histoire du médicament: le développement de la chimie et l’extraction des principes actifs à partir des substances naturelles et en particulier des plantes médicinales, puis leur purification Grâce aux progrès de la chimie, les premières synthèses . ?? Chloroforme (Soubeiran, 1831) • Acide salicylique à partir de la salicine (Piria, 1839) • Acide acétylsalicylique (synthèse reprise par Hoffmann, chimiste des laboratoires Bayer en 1897) Chapitre 2 : Naissance et vie d’un médicament – Recherche de la molécule active : La recherche : comprend tout ce qui conduit au choix d’une substance susceptible de devenir un médicament. Elle se divise en deux étapes. La recherche fondamentale avec . ‘extraction d’une substance à partir de produit naturels de différentes origines, animale ou minérale la synthèse chimique des molécules la création et production de substances biologique par les biotechnologies la modélisation de molécules thérapeutiquement actives. La recherche fondamentale se fait dans les entreprises de biotechnologies et les laboratoires universitaires très souvent en artenariat avec les entreprises du médicament.

La recherche appliquée dans les entreprises du médicament ou les entreprises de biotechnologie, mise sur les connaissances fondamentales pour découvrir des nouveaux médicaments prévenir, diagnostiques, r des maladies. PAGF 7 1 les effets du produit sur Horganisme, apprécie son efficacité pour anticiper le devenir du médicament et détecter ses effets toxiques afin d’évaluer les risques potentiels pour l’homme. La phase de développement préclinique se fat sur l’animal et sur la cellule.

Les essais sur l’homme étudient [‘efficacité du roduit et son mode d’administration. La forme galénique du médicament est recherchée en parallèle pour trouver les modes d’administration les plus adaptes, plus efficaces, mieux tolérés, plus faciles d’emploi. ces dernières années ont vu l’arrivée de patch, de transporteurs nouveaux tels les liposomes, les implants, permettant des avancée thérapeutiques parfois importantes. Il ne manque alors que l’autorisation administrative de commercialisation pour pouvoir être utilisée en thérapeutique.

Il est souvent difficile de distinguer si un travail est une recherche, u entre déjà dans le cadre du développement. Aussi, très souvent on parle de R&D La recherche et le développement sont ainsi deux activités clés des entreprises du médicament. Entre le moment de la conception d’une nouvelle molécule et le moment ou elle est susceptible d’arriver sur le marché, il faut compter de sept ans ? douze ans, 2-1 phase d’essais préclinique Pour que la molécule devienne un médicament, il faut procéder ? des tests in vitro, puis sur des cellules et ensuite sur des modèles animaux.

Test préclinique : Avant tout essai sur l’homme, une série de tests obligatoires, ppelée « tests précliniques », est lancee sur des cellules (in vitro) ou sur des animaux afin de vérifier l’innocuité, la tolérance et l’efficacité du nouveau médicament à ses différents stades de développement, et de déterminer les doses à administ B1 nouveau médicament à ses différents stades de développement, et de déterminer les doses à administrer à Ihomme lors de la phase d’essais cliniques. ne fois la molécule sélectionnée, déclarée et brevetée, on passe au processus de développement clinique et industriel. 10 ANNÉES ÉCOULÉES 3-Phase d’essais clinique : Ce n’est qu’après les multiples étapes du développement préclinique que les premiers essais thérapeutiques sur l’homme peuvent être réalisés. On parle alors de développement clinique. Les essais cliniques (ou essais thérapeutiques) sont une étape obligatoire et systématique du développement d’un médicament.

Ils permettent de préciser l’effet d’un traltement chez l’homme, d’en déterminer l’efficacité ainsi que les éventuels effets indésirables. On distingue 4 phases dans les essais cliniques : phase I : Lors de la phase 1, les essais sont, généralement, réalisés chez le volontaire sain (c’est-à-dire non malade). Ces essais ont lieu dans des centres spécialisés qui ont reçu un agrément de la part des autorités de santé.

Ces études ont deux objectifs majeurs : Premièrement, il s’agit de s’assurer que les résultats concernant la toxicité obtenus lors du développement préclinique, sont comparables à ceux obtenus chez l’homme. Cela permet de déterminer quelle est la dose maximale du médicament en développement tolérée chez l’homme. Deuxièmement, il s’agit de mesurer, via des études de pharmacocinétique, le devenlr du médlcament au sen de l’organisme en fonction de son mode d’administration absorption, diffusion, métabolisme et excrétion).

Phase Il Essais chez les patients, p g 1 ée et homogène limitée et homogène (quelques centaines). Les essais de phase Il ont pour objectif de : Déterminer la posologie optimale du produit en terme d’efficacité et de tolérance sur une population Ilmltée et homogène de patients (quelques centaines). Les interactions médicamenteuses ainsi que la pharmacocinétique font parfois l’objet d’études dès cette phase. Phase Ill : Ces essais, de plus grande envergure, sont conduits sur plusieurs milliers de patients représentatifs de la popu ation de malades ? aquelle le traitement est destiné.

Il s’agit d’essais comparatifs au cours desquels le médicament en développement est comparé à un traitement efficace déj? commercialisé ou, dans certains cas, à un placebo, c’est-à-dire un traitement sans activité pharmacologique. Cette comparaison se fait, le plus souvent, en double insu et avec tirage au sort, c’est-à-dire que les traitements sont attribués de manière aléatoire sans que le patient et le médecin chargé du suivi soient informés de quelle attribution ils ont fait l’objet. Ces essais visent à démontrer l’intérêt thérapeutique du édicament et à en évaluer son rapport bénéfice/risque.

Cest à l’issue de la phase Ill que les résultats peuvent être soumis aux Autorités Européennes de Santé (EMEA) pour robtention de l’autorisation de commercialisation appelée AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Phase IV : Les essais de phase IV sont réalisés une fois le médicament commercialisé, sur un nombre de patients souvent tres important (jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de personnes). Ils permettent d’approfondir la connaissance du médicament dans les conditions réelle t d’évaluer à erande