Littérature
E monstre se définit par d’abord par son physique. En effet, il se différencie par des tares physiques. Il n’est pas défini comme naturel de part sa condition physique. Les différentes descriptions faites, démontrent une importance portée à la malformation, comme celle de Victor Hugo de Quasimodo. Qualifiant le visage du monstre de « grimace Cest aussi un pointde caractéristique d’Elephant Man, puisqu’il s’en restreint à devoir porter une cagoule. Le monstre est pour cela pris en mépris.
Horrifié et source de répulsion, il est totalement sous la pitié. Comme dans Notre- Dame, « pauvre diable », démontre l’absence de sentiment pour vien « ext Quasimodo. Elephan sentiment de pitié, m par pitié au narrateu d’attirance, comme p que le cas de Caillau Swipetaviewne t p vaquent encore ce ein nes’exprime plus onnages un source ction de foire, ainsi ence, ilsfascinent. Le peuple est en ébahissement devant la monstruosité de Quasimodo. En contre partie, les monstres suscitent des réactions de rejet insi que d’effroi.
La peur des femmes qui accoucherontd’enfants aussi monstrueux que Quasimodo. Une solitude engendrée par le rejet comme l’affiche d’Elephant Man. Frankenstein rappelant sa solitude et son rejet auprès des hommes malgré ses bonnesintentions. Ces monstres sont par ailleurs perçus comme malsain et né d’une méchanceté naturelle. Ceci uniquement dû à leur apparence physique. Cest ce qui est clairement dit dans Notre-Dame, Le monstre se définit par d’abord par son physique.
En effet, il du monstre de « grimace C’est aussi un pointde caractéristique Quasimodo. Elephant Man et Frankenstein invoquent encore ce sentiment de pitié, mais à rinverse Frankenstein nes’exprime plus par pitié au narrateur. Mais il y a dans ces personnages un source d’attirance, comme pour Quasimodo et l’attraction de foire, ainsi que le cas de Caillaud Claire. De part sa différence, ilsfascinent. physique. C’est ce qui est clairement dit dans Notre-Dame.