le sport est-il objet de littérature ?

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A première vue, on pourrait penser que « sport » et « littérature » semblent opposés. En effet, l’effort athlétique est bien loin de la création littéraire. Cependant le sport est une activité qui se propage et intéressent de plus en plus les écrivains, car celui-ci permet à la population de se divertir. Effectivement le sport est un exercice physique, se pratiquant sous forme de jeu individuel et collectif qui met en jeu le corps. Celui-ci est institutionnalisé par des instances fédérales. Il est également lié au loisir et à la compétition qui amène à un ffrontement avec autrui ainsi qu’à un dépassement de soi.

Quant à la littérature, qui vient du terme latin « litterae », elle désigne l’ensemble d elle regroupe l’ense un domaine précis. D e Sni* to évoque de plus en pl la littérature sportive dans les années 20. ire et lire. En outre, ou orales concernant e la littérature est ce qu’on nomme genre littéraire Nous allons donc nous demander dans quel genre d’œuvre la littérature sportive est-elle abordée ? Dans un premier temps nous verrons la littérature de manière historique, puis le journalisme sportif et enfin le roman sportif.

Tout d’abord, le sport est un objet de littérature abordé de manière historique. En effet, le sport existe depuis 1890. pour laisser des traces, les écrivains ont écrit des œuvres hist Swipe to vlew next page historiques pour le besoin des populations afin de connaître les anciens phénomènes sportifs comme par exemple les JO en 1894. Pierre de Coubertin, celui qui ré-inventa les JO a écrit des livres on voit ainsi, autour de l’année 1890, être publiées des œuvres comme son livre sur l’éducation sportif en Angleterre, ou bien l’ouvrage d’E. Gendry sur le sport cycliste naissant.

De plus, les individus ressentent le besoin de connaître le passé du sport par des œuvres historiques comme des livres de records, sur les résultats de tennis du XXème siècle , ou encore les coupes du monde de football… En outre, les ecrivains ont voulu laisser une trace écrite du sport à leur époque afin d’inculquer leurs connaissances aux générations futures. Ensuite, on peut voir une toute autre forme de littérature sportive historique. Celle qui est liée à des enjeux économiques. Ce sont des personnes, des anciens sportifs qui font une autobiographie, de leur histoire pour se faire de l’argent.

Certes dans ses œuvres on peut suivre leur carrière, la comprendre mais c’est aussi une façon économique d’écrire sur son histoire. Ces sportifs ne sont à la base pas du tout écrivain, cela n’a aucune forme poétique avec des styles et des genres. On peut prendre comme exemple Zinedine Zidane, ce grand footballeur français n’est en aucun cas un écrivain mais a écrit un livre sur son histoire. En parlant de la coupe du monde en 1998 par exemple, sur sa vision des choses ce qui peut être un témoignage historique subjectif.

Mais cela marche, c’est une œuvre histo marche, c’est une œuvre historique sportive. On peut donc dire que le sport est objet de littérature de manière historique. Le sport peut être aussi objet de littérature dans les journaux. En effet, il est devenu un des sujets qui intéressent et qui rassemble le plus de monde, 42% de la population française pratique une activité sportive régulière. Le sport n’est plus réservé à félite française et se propage donc un peu partout dans le monde. Cest pour cette raison que les journalistes vont aborder le sujet.

La presse est présente très tôt dans le monde sportif. Au cours du 20éme siècle, les sports intéressent les nouveaux moyens de iffusion : la radio dans les années 1920, ainsi que la télévision à partir des années 1950. De ce fait, la presse et le sport ont participé ensemble à une culture de masse. Ainsi, la création d’épreuves sportives apparaît grâce aux directeurs de journaux (ou de médias) qui souhaitent augmenter leur audience en attirant l’attention de la population sur les compétitions. n des grands fondateurs du journalisme sportif est Pierre Giffard, il fut un acteur majeur dans l’évolution de la presse sportive et du journalisme sportif en France dans les années 1880 et 1890. Sa onception du sport a attiré beaucoup de nouveaux lecteurs des journaux sportifs ainsi que beaucoup de nouveaux pratiquant du sport. Les journalistes vont plutôt s’appuyer sur des interviews avec des athlètes, des associations sportives mais très peu s plutôt s’appuyer sur des interviews avec des athlètes, des associations sportives mais très peu sur des analysés scientifiques, ce qui est néanmoins de moins en moins le cas.

Nous savons qu’il existe un grand nombre de journaux sportifs tel que l’équipe ou le 10 sport… un des plus connue reste bien évidement l’équipe, qui a été créé en 1946 par Jacques Goddet our succéder à l’Auto-Vélo. L’équipe a été à l’origine de la création notamment de la Coupe d’ Europe des clubs champions. Il apparait tout d’abord trois fois par semaine, puis devient quotidien à partir de 1946. Peu à peu Féqulpe va se diffuser en fusionnant avec le Parisien pour gérer ensemble le Tour de France. En 1959, il créé le cahier de l’équipe pour enfin en 1998 mettre en place la version télé : L’équipe W.

En bref, le sport est un réel objet de littérature dans les médias et plus particulièrement dans les journaux sportifs. Les journaux portifs sont plutôt là dans le but d’informer les lecteurs sur tel ou tel sports. De plus, La culture sportive est traitée de manière sélective : un nombre restreint de sports (le football en Europe, suivi du tennis, du rugby et de la formule 1 ; le basket-ball) accapare l’essentiel de la couverture médiatique. Le sport est plus souvent traité comme un sujet de divertissement, par des journalistes passionnés du sport. Le roman sportif est également un objet de littérature.

En effet, dans les années 1920, le sport va subsister un véritable enthousiasme chez certains romanciers, puisque ces écrivains ont s’ PAGF va subsister un véritable enthousiasme chez certains romanciers, puisque ces écrivains vont s’en inspirer dans leurs œuvres comme Jean Giraudoux ou encore Paul Vilar. Cest alors qu’un nouveau genre apparait : le roman sportif qui a pour but de relater des faits liés au sport en générale. Ce type de roman peut être écrit par des écrivains de différent profil tel que les écrivains sportifs, les sportifs écrivains ou encore les écrivains amateurs de sport.

Les écrivains sportifs se sont des amateurs de sport qui ont pratiqués dans leur jeunesse, le sport à un bon niveau et ils ont arfois poursuivi celui-ci en avançant en âge. En ce qui concerne les sportifs écrivains, eux sont des sportifs de haut niveau et qui ont écrit des livres inspirés du sport, tout en étant engagés dans leur pratique sportive. Nous pouvons le voir à travers George Carpentier qui est le premier français champion du monde de boxe anglaise en 1920 et qui a écrit « ma vie de boxeur » en 1921.

Enfin, pour les écrivains amateurs de sport, ils n’ont pas d’expérience dans le spart de haut niveau, mais ils ressentent une véritable passion pour les pratiques sportives et pour ce qu’elles représentent. Paul Morand en est un exemple. Cependant, ce genre littéraire va disparaitre lors de la Seconde Guerre Mondiale en France car la littérature et le sport sont désormais considérés comme des activités qui n’ont pas grand intérêt, voir douteuse d’un point de vue idéologique. Mais, cela n’est pas le cas partout.

Effectivement on peut voir que des écrivains de c idéologique. Mais, cela n’est pas le cas partout. Effectivement on peut voir que des écrivains de certains pays comme l’Angleterre, l’Italie, le Japon, l’Espagne sans oublier l’Allemagne, ce sont beaucoup inspirés des pratiques sportives ans leur roman. Comme l’espagnol Manuel Vasquez Montalban avec son livre Sabotage Olympique Néanmoins un rebondissement réapparaît puisque depuis ces 20 dernières années, le roman sportif est revenu sur le devant de la scène.

Notamment avec Jean Hatzfeld qui est l’un de ces écrivains qui nous raconte des faits sportifs notamment avec son roman « Où en est la nuit » où il retrace l’histoire du Rwanda à travers l’itinéraire d’un coureur de fond. En outre, de manière générale, et au-delà du simple cadre sportif, le sport est devenu pour les écrivains français une façon omme une autre d’appréhender le réel, de le façonner, et de le transcender.

Conclusion : Nous avons donc pu constater que le sport apparait dans différent genres littéraire, notamment dans les œuvres historiques, les journaux sportifs ou bien les romains ainsi que dans bien d’autres registres. En effet, le sport c’est propagé et a intéressé les sociétés ce qui explique cet engouement dans la littérature. Nous voyons donc que la tête et les jambes sont liées. Nous pouvons alors nous demander si cette enthousiasme pour le sport a été le même dans d’autres domaines culturel comme la cinématographie ou bien le musique ?