Les Villes Du Futur

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Les villes du futur Plus de la moitié de la population mondiale vit désormais dans des villes – ONU 10 July 2014, New York ONI_J: Selon un rapport de l’ONU sur l’urbanisation dans le monde publié en juillet 2014, 2,5 milliards de personnes supplémentaires devraient vivre dans les zones urbaines d’ici 2050, d’ou la nécessité de mettre en place un programme de planification urbaine et d’accorder une plus grande attention aux petites villes où vivent la majorité « Aujourd’hui, d pa org urbaines, une propor n to View indiqué le service de économiques et soci sur les perspectives de l’urbanisation. it dans les zones n 2050 ment des affaires ion 2014 du rapport Selon les projections de l’ONU, l’effet combiné de l’urbanisation croissante et de la croissance contribuera à une augmentation de 2,5 milliards de personnes supplémentaires dans les villes, dont 3796 en Inde, qui a actuellement la plus grande population rurale, suivi par la Chine et le Nigeria. New Delhi, qui est actuellement la deuxième ville la plus peuplée du monde avec 25 millions d’habitants, devrait conserver cette place au moins jusqu’en 2030, où sa population devrait atteindre 36 millions.

La plus grande ville du monde est Tokyo, avec 38 millions ‘habitants, et tandis que sa population devrait diminuer à 37 millions d’ici 2030, elle restera en première position. Les autres villes parmi les cinq les plus peuplées du monde sont Shanghai avec 23 millions d’habitants, Mexico, Bombay et Sao Paolo, l’importance face à la croissance des villes moyennes, en particulier dans les pays en développement. Les régions les plus urbanisées au monde sont actuellement l’Amérique du Nord, où 8296 de la populatlon vit dans les zones urbaines, suivie par l’Amérique latine et les Caraïbes, avec 80%, et 73% en Europe.

En revanche, en Afrique et en Asie la majorité de la population ivent dans des zones rurales, ce qui représente la majorité de la population mondiale. Dans ces régions l’urbanisation devrait connaitre une croissance considérable dans les années à venir. « La Gestion des zones urbaines est devenue l’un des défis de développement les plus importants du 21e siècle », a déclaré le Directeur de la Division de la population, John Wilmoth, lors d’une conférence de presse au siège de l’ONU à New York. ? Le succès ou l’échec de la construction de villes durables sera un facteur important pour la réussite du programme de développement pour l’après-2015 Y. Source: Centre d’actualités de l’ONU ARTICLES en LIGNE :ARTE ARTE : Dernière mise à jour: 03 avril 2015 (http://future. arte. tv/fr/les-villes-du-futur) Chaque semaine dans le monde, un million de personnes supplémentaires s’installent en ville. À ce rythme, 70 % des êtres humains seront urbains en 2050. Mais à quoi ressemblera la ville de demain ? Quels seront les enjeux sociétaux, politiques, économiques, et environnementaux majeurs ?

Documentaire de Frédéric Castaignède En Corée du Sud (Songdo), en Chine (Tianjin Eco-City), en Arabie saoudite (King Abdullah Economic des cités futuristes réées de toute pièce sortent de terre. Des prototypes de villes vertes et hyper-connectées, bardées de technologies numériques et d’équipements écologiques Les nouvelles villes, créées en artant de zéro, sont conçues comme des cités écoloeiq euses de l’environnement, respectueuses de l’environnement, optimisant et protégeant les ressources et qui accordent une grande place aux espaces verts.

Des villes moins énergivores, consommant 30% de ressources en moins que paris ou Londres. Des villes où tous les réseaux sont pensés dès l’origine et entièrement gérées par ordinateur. C’est à que les spécialistes des nouvelles technologies expérimentent, sur une ardoise vierge et grandeur nature, leurs dernières innovations pour optimiser les réseaux urbains (énergie, transports, etc. ) et limiter Futilisation des ressources naturelles. Ces nouvelles villes sont un rêve pour certains, des laboratoires vivants du futur, qui pourraient servir de nouveau modèle urbain.

Mais pour d’autres, ce ne sont que des vitrines technologiques, des villes sans âme au centre d’un business très juteux, et qui font figure de cauchemar orwellien : de Big Brother venant menacer la vie privée des citadins et leurs données ersonnelles… En 2050, de la population mondiale résidera en ville. D’ici là, son nombre aura augmenté de 3 milliards, portant à 9 milliards le nombre total de bouches à nourrir. Il faudra mettre en culture IO milliards d’hectares de terres pour répondre aux besoins mondiaux en nourrlture.

Alors qu’aujourd’hui de la surface utilisable est déjà mise à contribution, se pose la question de la viabilité du modèle agricole actuel. Le concept de Vertical Farming n’est pas celui de l’expansion horizontale de l’agriculture, mais celui de son expansion verticale en s’interdisant le recours à la chimie destructrice des sols ropre à l’agriculture traditionnelle pour lui substituer celle de l’agriculture hors sol. Documentaire de Jean-Christophe Ribo Optimiser les réseaux d’énergie, de transport en commun, fluidifier les déplacements des piétons ou des voitures… a technologie numérique se propose comme la réponse au défi démographique auquel doivent répo numérique se propose comme la réponse au défi démographique auquel doivent répondre les grandes villes historiques. À partir d’exemples précis – de la modélisation des croisements de piétons du carrefour d’Oxford Circus, à Londres, à la numérisation lobale de la vie des citadins dans un district de Shanghai, Les Villes intelligentes brossent, avec humour, le portrait de ces villes régulées par des algorithmes, tels des mécaniques précises à la recherche de leur fonctionnement optimal.

Des économistes renommés, tels que Jeremy Rifkin, auteur de La Troisieme révolution industrielle et des urbanistes contestataires, comme le new-yorkais Adam Greenfield, s’affrontent pour imaginer cette nouvelle urbanité. Que nous promet cette gestion informatique de notre vie collective ? Car les données recueillies par tous les capteurs urbains sont comme les empreintes umériques de la vie des citadins. Si elles permettent de fluidifier tous les secteurs de la vie urbaine, elles font également planer la menace d’une société épiée de toute part, des villes entièrement gérées par un cerveau central.

Sur un ton volontiers ironique, Les Villes intelligentes dégage une question politique sous- jacente : les nouvelles technologies qui s’implantent dans les villes augurent-elles d’une interaction plus grande entre les citadins et leur lieu de vie ou annoncent-elles, au contraire, un pouvoir ultra- centralisé ? Documentaire de Benoît Laborde En Europe comme en Amérique du Nord ou en Asie, l’agriculture urbaine cherche à rapprocher les lieux de production des lieux de consommation mais ses résultats restent limités. Pour transformer en profondeur les mégapoles d’aujourd’hui, certains vont beaucoup plus loin.

Inventé au début des années 2000 à roniversité Columbia de New York par Dickson Despommier, le concept de « ferme verticale » rencontre partout dans le monde un succès croissant. A Singapour, à Chicago, ? A Singapour, à Chicago, à Shanghai comme en Europe, on cherche à présent à donner corps au rêve de son inventeur. Aucun de es gratte-ciel agricole n’est encore sortl de terre mais toutes les technologies sont d’ores et déjà disponibles ; en poussant les portes de ce grand projet virtuel, le film nous emmene à la rencontre des innovateurs d’aujourd’hui qui préparent la ferme urbaine de demain.

Sur les toits de Montréal et New-York, une nouvelle génération d’u ageekculteurs » mêle agriculture et nouvelles technologies pour produire en pleine ville des légumes frais, sains et sans pesticides ; à Singapour, on économise la ressource la plus rare des villes – l’espace — en érigeant des tours agricoles de 10 mètres de haut et, en Hollande, des diodes ?lectroluminescentes (LED) dernier cri pour remplacer les rayons du soleil en hiver. Mais le gigantisme du projet initial ne fait pas l’unanimité et certains s’inquiètent de voir l’industrie agro-alimentaire détourner à son profit le rêve de Dickson Despommier.

De jeunes architectes reprennent aujourd’hui le flambeau et utilisent les technologies des fermes verticales pour faire des villes de demain de véritables écosystèmes autonomes. 1/ Citez les différents enjeux présentés dans ces documentaires « Les Villes du FUTUR » ? 2/Quels sont les adaptations pensées pour permettre ses enjeux ? /Présentez les dérives possibles et les points de réflexion ? explorer La France, plus urbaine que jamais Selon l’Insee, la France s’est fortement urbanisée au cours de la dernière décennie. Les trois-quarts de la population vivent désormais en ville.

Une évolution marquée par un étalement urbain et une absorption de communes dans de plus grandes unités. 25 août 2011 | Sophie Fabrégat (O Google Map)Extension des zones urbaines par de nouveaux lotissements à Lattes (34) En 2010, 77,5 % de la population française vit en zone urbaine, soit 47,9 millions d’habitants, selon une étude de l’Insee publiée le 25 août. Les villes occupent désormais 21 % du territoire, soit une progression de 19 % en dix ans. un rythme plus important que lors des décennies précédentes, mais proche de celui des annees cinquante et soixante. De nouvelles petites unités urbaines sont apparues et le périmètre de certaines grandes unités urbaines s’est agrandi », résume l’Insee. Zone urbaines et zones ruralesLa différenciation entre zone urbaine et zone rurale repose sur deux critères : la continuité du bâti et le nombre d’habitants. Une zone ou unité urbaine est un « ensemble de communes sur lequel on trouve une zone de bâti continu, c’est-à-dire un espace u sein duquel il n’y a pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions et dans lequel résident au moins 2. 00 habitants », selon l’Insee. une ville isolée est une unité urbaine qui n’est constituée que d’une seule commune. l_Jne forte urbanisation du territoire français Les villes couvrent désormais 119. 000 km2 de territoire, contre 100. 000 en 1999. Ainsi, 1 *368 communes rurales en 1999 sont devenues urbaines en 2010, le plus souvent par intégration à une agglomération, alors qu’à I agglomération, alors qu’à l’inverse seulement 100 communes urbaines sont devenues rurales.

L’urbanisation progresse surtout le long des littoraux atlantique et méditerranéen », et plus surprenant dans les réglons alpines. « La part de la population située dans des communes nouvellement urbaines est élevée en Bretagne (Côtes-d’Armor, Morbihan, Ille-et- Vilaine), Loire-Atlantique et Vendée, ainsi qu’en Ariège, dans les Pyrénées-Orientales, l’Aude, le Gard et le Vaucluse. Ces départements, déjà en forte urbanisation dans les années 1990, ont depuis confirmé leur important dynamisme démographique », indique l’Insee.

D’autres départements connaissent une plus forte urbanisation ue dans la décennie précédente (Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, la Savoie et la Haute-Savoie, mais aussi la Corrèze, le Lot, le Tarn-et-Garonne, la Lozère, l’Ardèche et le Jura) soit liée à une forte croissance de la population, soit à une proportion importante des résidences secondaires. Les régions les plus urbaines restent l’Île-de-France (96,4 %), Provence-Alpes-Côte d’Azur (94,3 Nord-Pas-de-Calais (88 puis Rhône-Alpes (81 %) et Languedoc-Roussillon (80 h).

Une urbanisation marquée par l’étalement urbain La densité moyenne de population augmente : 113,6 habitants par km2 en 2007 (contre 107,6 en 1999). Si elle est stable dans l’espace rural depuis 1936 (33 habitants par km2), la densité de population diminue dans l’espace urbain depuis la fin des années soixante. On compte aujourd’hui 400 habitants au km2 en moyenne dans l’espace urbain, contre 600 jusqu’en 1962. La principale raison : l’étalement urbain. La notion d’étalement urbain est souvent utilisée en urbanisme pour décrire une extension des surfaces urbanisées, souvent sous la forme d’un habitat pavillonnaire de faible hauteur avec des jardins. Ce phénomène ne se traduit pas forcément par la transformation de communes rura jardins. Ce phénomène ne se traduit pas forcément par la transformation de communes rurales en communes urbaines, car l’habitat d’une commune peut s’étendre sans accroissement de sa population.

En revanche, l’étalement urbain se matériallse souvent par les constructions le long des routes. Il peut en résulter l’apparition de zones de bâti continu avec des communes voisines, et l’adjonction à une unité urbaine », analyse l’Insee. Ainsi, la superficie totale des très grandes agglomérations (de 200. 000 à 2 millions d’habitants) a augmenté de 30 % par l’absorption de communes (+ 3. 800 km2). Mais c’est surtout la uperficie des petites unités urbaines (moins de 1 0,000 habitants) qui a le plus augmenté (+ 9. 00 krn2 entre 1999 et 201 0), soit par l’agrandissement d’agglomérations existantes, soit par l’apparition de nouvelles villes isolées. Les petites unités urbaines sont responsables de plus de la moitié de la croissance urbaine alors que seulement 16 % de la population urbaine y vit. « La croissance du territoire urbain s’observe donc surtout dans la partie la moins dense de l’espace urbain, et plus particulièrement sous la forme d’unités urbaines multicommunales ». La France métropolitaine compte aujourd’hui 28 unités urbaines e 200. 00 à mons d’un million d’habitants. Sont entrées dans cette catégorie depuis 1999 : Le Mans et Bayonne, qui a fusionné avec l’unité urbaine frontalière d’Hendaye. Parmi les très grandes unités urbaines, Nice, Toulon, Toulouse et Douai-l_ens, qui s’étaient beaucoup développés dans les années 1990, ont cessé de s’étendre. En revanche, Avignon a connu « une extension spectaculaire », en englobant notamment les unités urbaines d’Orange, Cavaillon et l’Isle-sur-la-sorgue. Montpellier a absorbé Lattes et Prades-le-l_ez. Saint-Étienne a fusionné avec Saint-Chamond.