Les sources et les limites de la croissance

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La croissance se définit comme le processus d’augmentation, d’accroissement de la quantité de échasses, bien et services produit sur une longue période. En étudiant la croissance d’un pays, on se rend compte que plusieurs facteurs sont responsable de son engendrement et bien sûr de sa restriction. Quels sont ces facteurs? Comment limitent-ils cette croissance? Après avoir traite des facteurs qui engendrent la croissance, nous traiterons de ceux qui la limitent. On n’accroît rien sans créer. La production es une source de la croissance.

Les facteurs de cette production jouent alors aussi un rôle dans la croissance. L’un des facteur de production, le capital se définit comme ‘ensembles des moyens de production. C’est les « choses », croissance premier boy régnerai I REPROCHER 18, 2009 9 pages source de la croisa once. Les facteurs de cette production l’ensembles des moyens de production. Ces les « choses », les « élément » qui vont permettre de produire des biens et des services. Parmi les types de capitaux, on peut compter le capital économique, financier et technique.

Le capital économique comprend tout les actifs qui procurent un capital financier représente les moyens financiers d’une entreprise. Le Capital technique est les facteurs de production d’une entreprise. Les machines font parti du capital, tout comme les bâtiments et les terres. Les agents économiques investissent dans le capital. L’investissement se définit par l’acquisition de biens qui vont servir a la production, soit le capital fixe. L’entreprise en s’équipant en machines permet à ses travailleurs de produire plus efficacement. Ne utilise proportionnellement de plus en plus de capital (et de moins en moins de travail, donc). Cela élève évidemment la productivité du travail Quand on parle de travail, on se réfère a l’activité mise au service de la production de biens et de services. Le rival entraîne deux types de croissance. D’un cote, on peut augmenter l’intensive du travail. Cela signifie augmenter la qualité des facteurs de production. On produit autant, mais on produit mieux. Inversement, on peut avoir une croissance extensive. Dans une telle croissance, la qualité du bien produit reste la même mais sa quantité augmente.

Le travail est toujours nécessaire pour produire mais il est cependant possible d’augmenter la production d’un bien sans augmenter le travail nécessaire pour produire. On augmente la productivité de ce travail. Édam smash, dans son ?ouvre « La Richesse des Nations » rouvre que la division du travail fait augmenter la productivité. Il raisonne sur l’exemple de la production des épingles. La manufacture d’une épingle est un long procès peut efficace ( en termes de temps par rapport a la produit manufacture d’une épingle est un long procès peut efficace ( en termes de temps par rapporta a production).

smash a compris que diviser les taches de la production entre ouvriers ferais augmenter la productivité. Chaque ouvrier effectue une partie de la production. L’épingle n’est plus assemblée toute pièces a la fois, mais pièce par pièce par un travail a la chaîne. Ceci non seulement permet la spécialisation d’un ouvrier dans une tache de la production mais aussi de rendre la production plus rapide et plus efficace. Ca augmente la quantité produite tout en diminuant l’effort requis pour produire.

On nomme cette augmentation de l’efficacité de la production le progrès technique. Ces justement a ce progrès technique que les économistes vont identifier comme la partie de la croissance qui ne s’explique pas par les apports directs du capital et du travail. Il se définit comme l’amélioration des techniques permet à la combinaison du travail et du capital ‘être de plus en plus efficace. Avec l’amélioration les procèdes de la production et la qualification des travailleurs, le progrès technique aide a faire augmenter la productivité du travail.

Par exemple, en équipant un ouvrier mal qualifie des outils uses et casses, il y auras évidement une baisse dans la productivité et dans la qualité du travail produit. Cependant, en investissant dans un capital neuf afin de mieux équiper un ouvrier qualifie feras augmenter la production et sa qualité. En conclusion, on peut dire que l’amélioration de l’efficacité des facteurs de production est essentielle pour ex eu l’amélioration de l’efficacité des facteurs de production est essentielle pour expliquer la croissance.

D’autres éléments jouent un rôle non négligeable dans la croissance, en particulier le comportement des différents agents économiques, les entreprises et l’état. En parlant d’entreprise, on s’intéresse a l’entrepreneur. Comme le dit le document I, il est un curieux personnage. Son rôle est essentiel a la croissance. C’est lui qui prend la décision d’investir. Il choisit donc la formule économique. En investissant il parie sur l’avenir. Ces décision n’aurons un impact que plus tard. AI prend alors des risques en investissant sur l’avenir en espérant que cela lui seras profitable.

Il est également en charge de choisir comment produire en tenant compte du coût du capital et du travail, l’efficacité productive de la combinaison retenue, souvent mesurée par la productivité du travail qui en résulte. L’entreprise cherche a augmenter sa productivité tout en gardant en tête ces traditions et son meilleurs intérêts. L’économie locale et internationale est aussi a tenir en compte. En faisant cela, l’entrepreneur contribue a la croissance de la production et donc la croissance économique.

l’état a également son rôle dans la croissance car il réguler les marches. Il intervient également pour favoriser le progrès technique. l’état investi dans la recherche fondamentale. Étant trop fondamentale pour être immédiatement rentable, seul l’état est capable de la financer car le coût est trop élevé par rapport au bénéfice qu’elle en retire personnellement. Ce qu’elle en retire personnellement. Ces donc à l’état de décider ces dépenses et de les faire financer par l’impôt bisexuelles profitent à tous.

l’état prend également se charge les infrastructures collectives comme les ponts et es autoroutes, au nom de l’intérêt général. Il va assumer ces dépenses et les répercuter sur les individus par l’impôt. L’éducation par exemple bénéfice toute une population. l’état va donc Investir dans L’éducation. Cet investissement est rembourse par les taxes. Il est possible d’attribuer les tendances sociales d’une société comme sources de croissance. En étudiant l’histoire, on ce rend compte que certaines périodes on connut des croissance économiques.

Cette croissance peut être explique par les normes sociales et les valeurs de cette époque. Prenons par exemple la thèse du sociologue allemand Max berbère. Dans sa thèse, il soutient que les valeurs rependre par une branche du protestantisme, le calvinisme on influence le développement du capitalisme dan les pays angle-saxos. Le Calvinisme encourage l’accumulation du capital afin de le réinvestir dans l’espoir de faire fortune. Leur motivation vient de leur croyance que leur probabilité d’entrer au paradis est directement liée a leur réussite financière sur terre.

On retrouve des idéaux similaires chez les morbides du sénégalais, dit commerçants au nom d’alla. Leur éthique religieuse dicte leur éthique de travail. La communauté religieuse est une communauté économique, ou tous sont prêt a s’entraider afin d’hâtée communauté religieuse est une communauté économique, ou tous sont prêt a s’entraider afin d’atteindre un même but commun. Ces conditions sont très favorables a la croissance. AI faut cependant se rappeler que ceci n’est la seule explication de l’essor économique de ces régions.

Le modèle de développement occidental, qui de nos jours tend a devenir universel, repose sure un croissance utilisant des énergies fossiles et une consommation dont la hausse tend a devenir un but en soi. Ses effets sur ‘environnement soulèvent de nombreuses questions et interrogent sur la poursuite du processus de croissance. Une des limites de la croissance économique est qu’elle n’ pas d’indicateur complet. Le PUB, ou produit intérieur brut est utilise comme l’indicateur de production d’un pays.

C’est la somme de toutes les valeurs ajoutes d’un pays, soi la valeur de tout les bien et services produits. Il ne donne pas une bonne idée des conditions de vie concrètes qui permettent de juger de la qualité de vie. La question est fondamentale car l’on connaît toutes les nuisances qui peuvent rendre la vie auditionne pénible, depuis l’exposition au bruit jusqu’ sentiment de sécurité. Il existe des instruments de mesure pour bon nombre des paramètres qui empoisonnent ou qui améliorent la vie quotidienne.

C ID (indice de développement humain) est un indicateur de bien être qui essaye de montrer ce que le PUB ne peut pas. AI tient en compte la santé, l’éducation et le niveau de vie d’un population. C’est un indicateur du bien être d’une population. En étudiant I être d’une population. En étudiant le document deux, on constate que la croissance du produit intérieur brut d’un as n’est pas proportionnel a son indice de développement humain. On en déduit que la croissance économique d’un pays n’est pas synonyme a la croissance de son bien être ou de son bonheur.

Enfin, on peut souligner que le P. La. B. Par habitant n’est qu’une moyenne statistique. Comme toutes les moyennes, il gomme les disparités. Savoir qu’un pays a augmenté son P. La. B. De 3% dans l’année ne nous dit rien sur ce que l’on a fait de cette augmentation. Ces ici la question de la répartition des richesses produites qui est posée. Sur le plan du mode de vie, des relations sociales, du bien-être énerva, il n’est pas indifférent que cette production supplémentaire soit accaparée par quelques uns ou répartis sur l’ensemble de la population.

On est alors ramené au paragraphe précédent : si la soude ou les pays nordiques en général se classent si bien pour l’. D. H. , c’est parce que le choix a été fait, dans ces pays, de privilégier les dépenses collectives (éducation, santé) qui profitent tous et de limiter les inégalités de revenus. Ce n’est évidemment pas le choix fait par les états-Unis où le revenu par tête, qui est une moyenne, cache de grandes disparités. La croissance a besoin de ressources naturelles, plusieurs entrant non renouvelables. La croissance a u impact sur l’environnement.

L’industrialisation massive, avec l’urbanisation, engendrent des émissions de gaz a effets de serre L’industrialisation massive, avec l’urbanisation, engendrent des émissions de gaz a effets de serre qui pourraient entraîner un réchauffement planétaire. Les pays responsable pour cette émission son aujourd’hui les pays développés. Cependant, la croissance des pays d’aise provoque une augmentation de leurs émissions. Les émissions de gaz a effets de serres ne sont pas les seules empreintes écologiques de la croissance. Chaque année, la nature est touchée par la défenestration, les marées noires et même la désertification.

La croissance est bel et bien nocive a la nature. Le graphique du document cinq compare les découvertes et la consommation de pétrole en milliards de barils par an. Après 1960, il ha une décroissance dans le nombre de découvertes de pétrole alors que la consommation continue a évoluer. Il faut tenir en compte que le pétrole est une ressource non renouvelable. La croissance des pays émergeant, accompagné par la consommation des pays développés provoque une augmentation des prix et un épuisement progressif des réserves qui pourraient remettre e cause le mode de développement énergies poursuivit jusqu’ présent.

La poursuite de la croissance est remise e cause. La raréfaction des ressources naturelles limite la croissance future. Il faut alors envisager une des croissance alternatives. Le développement durable propose qu’il serais possible de concilier la croissance avec le respect de l’environnement et la lutte contre la pauvreté. AI s’agit d’un développement qui satisfait les besoins de chaque génération.