Le coaching, impact et enjeux

essay B

La confiance en soi sert à mettre du sens à nos démarches. Elle est capitale pour l’évolution de soi. Elle rassure l’autre et donc valide un comportement. On remarque aussi que les postes les plus importants sont occupés par des gens qui ont confiance en soi, qui ne doute jamais. La confiance en soi nous renvoie aussi à la notion d’estime de soi. Premier boy laçais amputa 23, 2011 7 pages A titre d’exemple, la confiance en soi se symbolise par le La confiance en soi est relié au verbe « faire » (plus je fais, plus je sais faire).

La confiance en soi s’acquiert donc dans e faire. L’estime de soi que l’on peut estimer les autres. Mais, l’acceptation de soi, l’acceptation de ce que l’on est, est une valeur essentielle à l’estime de soi et donc à la confiance en soi. La programmation neurone-linguistique (PAN) est un ensemble de modèles et de techniques de développement personnel originaires des États-Unis et destinées améliorer la communication entre individus et à s’améliorer personnellement.

Ce programme est composé de présupposés de base qui sont des hypothèses qui proposent de réfléchir autrement, de voir, entendre et ressentir les choses différemment : « La carte n’est pas le territoire » – « Tout comportement est générer par une intention positive » – « A chaque moment, une personne fait e meilleur choix qu’il peut » – « L’esprit et le corps sont les aspects d’un même système » – « AI n’est pas possible de ne pas communiquer » – « Il n’ a pas d’erreur, seulement du fête-bac » – « S’il est possible pour une personne d’apprendre ou d’acquérir une capacité comportement ou exponentielle, toute personne a la capacité d’apprendre ou d’acquérir cette capacité. » Il. LA COMMUNICATION ET LA PERCEPTION Notre perception de la réalité est souvent altérée par des filtres. Dans une même réalité il y a plusieurs niveaux de lecture. Chaque niveau a une perception différente de ce La communication se fait par différents moyens : – les mots : 7% – la voix : 38% – les gestes : 55% Pour communiquer, le plus important est la façon dont on dit les choses.

Les mots sont très importants pour communiquer, mais c’est la façon dont je vais dire les choses qui véhiculera le plus le message. En effet, les informations que je ne veux pas faire passer, passent quand même. Ce que je voudrais cacher passe and même. Chacun a une perception unique de la réalité. MOI Filtres LA RÉALITÉ Il existe 3 mécanismes qui permettent de percevoir la réalité : – La généralisation : je prends un élément et je généralise en me disant que ce sera toujours comme ça (ex: je suis tombée en ski ( « le ski c’est casse-gueule »). La généralisation est un mécanisme qui me fait croire et dire que si j’ai fait une chose une fois, alors ce sera toujours la même chose.

Je prends mon expérience pour une généralité. – La sélection : elle me fait prendre, à chaque fois, quelques informations. Je sélection les informations que je pense être importantes. Avec nos 5 sens on ne peut prendre que 7 informations. Reçu, ce que l’on est au plus profond de nous. – Le filtre personnel : qui je suis? Ma sensibilité, mon histoire, mes expérience. – Le filtre socioculturel : je ne pense pas la même chose qu’une personne qui vit à l’autre bout de la planète. Ma façon de penser et de retranscrire l’information est différente. Ma perception de la réalité sera donc unique parce que mes filtres me sont propres et sont eux-mêmes uniques.

Dans cette vision du monde que nous avons, se décline ce ui est important pour nous : nos valeurs. Elles nous donnent de la motivation. La communication est un processus circulaire et chaque interlocuteur a une influence sur l’autre (je parle aux autres et les autres me parlent). AI ha 4 styles de communication : – La passivité : qui ce tarda?t par : éviter l’échange. Soumission, effacement, obéissance, silence, modestie sont les comportements observables. Cela engendre du stress et de la frustration pour le passif. Le point de départ de la passivité se situe au niveau des peurs. – L’agressivité : elle se déclenche face à une situation avant laquelle nous nous sentons en infériorité.

L’hypersensibilité, l’excès, le manque de confiance en soi, l’impulsivité, le manque de recul face à certaines situations ; autant de facteurs qui peuvent également être une source d’agressivité. Cela se manifeste par un parler fort, un provoquer ou vouloir soumettre l’autre. L’efficacité de l’agressivité n’est qu’apparente, elle suscite des blocages et engendre solitude et stress. – La manipulation : Consiste à utiliser l’autre comme un objet pour atteindre son objectif. Le manipulateur peut cacher la vérité, tourner autour du pot, flatter l’ego, agir par résonner interposées, promettre sans tenir parole, diviser pour mieux régner. Démasqué, il perd sa crédibilité, inspire la méfiance et finit par se retrouver seul. L’serviette : la capacité à exprimer ce que ‘on est, ce que l’on pense, ce que l’on ressent, tranquillement et de manière constructive. Elle demande de la fermeté, de la souplesse, de l’adaptable, de la discrétion et du bon sens. Elle sera modulée selon la fonction occupée et le statut de l’interlocuteur. L’assortie sait négocier sans manipuler, ne rien faire quand le contexte le justifie et s’affirmer sans être agressif. En bref, la personne assortisse rayonne, elle est appréciée pour qui elle est et dépense de l’énergie à bon escient. Ce sont 4 styles de communication que nous utilisons tous sans arrêt, le but étant de se diriger le plus possible vers l’serviette.

Plus on va développer notre communication et plus on saura s’affirmer. Les qualités d’un bon communication : – Il a un objectif – Il sait observer – Il est flexible – Il respecte les modèles du monde de l’autre sait créer un climat de confiance et conduire la communication – Pour se faire comprendre, il dit le principal AI laisse son interlocuteur refouler – Il le laisse poser les bonnes questions – Il répond le plus précisément possible – AI comprend comment nous fonctionnons et en tient compte En terme de communication il ha : ce que je veux dire, ce que je dis, ce que j’entends que l’autre dit, ce qui est transformé, ce qui est accepté et ce qu’il en reste.

Notre vision du monde est constituée de l’ensemble de nos valeurs qui sont, en grande partie, conditionnées par nos croyances (pas au sens religieux, quelque chose que je valide comme vrai). Les croyances sont des idées que j’ai validé, sur moi et sur es autres. Nous avons des croyances conscientes et d’autres inconscientes. Les croyances conscientes peuvent être vérifiées dans ce que je dis, par contre les croyances inconscientes ne sont pas faciles à déceler. Le tout forme ce que l’on appelle le « modèle du monde ». Les croyances se repèrent dans notre mode d’expression (façon de parler). Il ha des croyances porteurs (qui me portent et m’amènent des ressources, m’aident à réaliser des objectifs) et des croyances limitaient (qui me freinent et installent des valeurs négatives).