Les politiques sociales: la caf

essay B

Dans tous les pays, les allocations familiales constituent le c?Ur des allocations aux familles. On observe que les montants et les règles d’attribution varient fortement d’un pays à l’autre, ce qui justifie de très fortes inégalités. Entre le luxerons, pays le plus généreux, et l’espagnole, pays le moins généreux, la France se situe dans la moyenne haute avec un ensemble d’autres pays comme l’allemande ou l’autruche. Mais la France est le seul pays à ne pas accorder d’aides aux familles ayant un seul enfant malgré une politique familiales à souhait mise en place au lendemain

premier bu maillets harpe 15, 2009 | 8 pages masser 1 Travail, Administration et Gestion Sociales option Ressources Humaines des Organisations I/ L’action sociale en 2009 : une véritable nécessité CAF J. Camomille, P. Strates, M. Villa écru des allocations aux familles. On observe que les de la seconde guerre mondiale. L’aide sociale en France regroupe l’ensemble des prestations sociales versées aux personnes qui se trouvent dans une situation de pauvreté voir même d’extrême aux besoins essentiels des personnes.

On la distingue de l’action sociale, qui, elle, englobe l’aide sociale mais également un ensemble d’actions engagées pour sortir es personnes concernées d’une situation de besoin. Dans quelles mesures l’action sociale joue-t-elle un rôle essentiel dans les politiques familiales ? Après avoir étudié la nécessité de l’action sociale en 2009 (l), nous analyserons les limites persistantes d’un système « idéal » en théorie (Il). Les départements détiennent ce rôle essentiel de permettre aux personnes les plus vulnérables que ce soit dans les zones rurales ou urbanisées défavorisées ou non d’accéder aux services publics.

C’est pourquoi les appartements sont aujourd’hui chargés d’élaborer et de mettre en ?ouvre une politique globale d’action sociale. Pour Robert lofer, professeur de droit public et directeur de l’PIE de Bordeaux, il est question de (d’ascension du département providence». En effet, le rôle à jouer par les départements en matière d’action sociale est très important compte tenu des évolutions connues par notre société. On peux citer le développement de l’emploi précaire, la forte hausse du chômage en période de crise économique, l’augmentation du nombre de familles monétaristes…

Voila donc les raisons qui poussent de lus en plus d’individus à avoir recours aux différentes prestations d’aides sociales : l’aide sociale à l’enfance, l’aide aux personnes and différentes prestations d’aides sociales : l’aide sociale l’enfance, l’aide aux personnes handicapées adultes, l’aide aux personnes âgées qui se développe, la protection sanitaire de la famille et de l’enfance, ou encore le RAMI depuis 1988. L’action sociale départementale est indispensable si l’on souhaite maintenir le « lien social » tout en assurant « la cohésion sociale».

Pour mile derrière, la cohésion sociale se définit comme étant « le on fonctionnement de la société où s’exprime la solidarité entre individus L’aide sociale que nous étudions ici regroupe des services dont le financement est pris en charge en partie ou en totalité par des fonds publics. On peux distinguer différents acteurs comme les collectivités locales qui financent des crèches ou de l’action sociale destinée çà l’enfance, mais aussi les caisses d’assurance maladie qui prennent en charge les frais d’hébergement pour « l’enfance inadaptée ».

Nous nous sommes intéressés à l’aide proposés par les Caisses d’Allocations Familiales qui consacrent en moyenne queue année 1. 9 milliard d’héros à leur action sociale. Les aides sont diverses et variées comme l’accueil des jeunes enfants, la mise en place d’aides ponctuelles (comme des aides ménagères) ou encore l’organisation de loisir. Par exemple, permettre aux enfants de pouvoir partir en vacances est une préoccupation majeure de la CAF dans laquelle nous nous sommes rendu.

Les priorités de l’action sociale sont simples et claires : améliorer la vie quotidienne des familles et de l’action sociale sont simples et claires : améliorer la vie quotidienne des familles et particulièrement ‘épanouissement des enfants, mais aussi conseiller et accompagner ceux qui ont besoin d’aide. Pour réaliser ces priorités qui tiennent lieu d’objectifs, la CAF tente de favoriser les relations sociales de proximité, de soutenir la partialité, et d’aider ces familles dans les difficultés rencontrées dans la vie quotidienne.

Les familles susceptibles de bénéficier de l’action sociale des CAF sont : Les familles allocataires qui perçoivent une ou plusieurs prestations familiales, Les allocataires bénéficiaires de l’allocation personnalisée au logement (PAL) ayant un enfant hargne, Les allocataires bénéficiaires du revenu minimum d’insertion (RAMI) ayant un enfant à charge. Nous avons observé une , Madame LEVÉ sophiste, qui s’occupe de belle-famille à la CAF DE PARIS, Emme CENTRE de GESTION, 67, ave Jean jarres, PARIS Emme arrondissement au service truc mèche.

L’enquête s’est effectuée sur son lieu de travail à la CAF du Emme lors d’une après midi de ah à haï. Cette après midi elle recevait au guichet dans un endroit clos pour assurer la confidentielle des informations. Nous avons également par la suite conversé par téléphone afin ‘obtenir des informations supplémentaires mais aussi pour qu’elle puisse répondre au questionnaire effectué après l’observation de terrain. Lors de l’enquête de terrain, nous avons reçu avec me LEVÉ, des bénéficiaires ou des terrain. LEVÉ, des bénéficiaires ou des prétendants.

Les demandes (au nombre de AI) portaient sur : Un dossier colonie de vacances pour deux enfants handicapés Une aide en nature pour de l’électroménager tel qu’un frigo, une machine à laver, etc.. (demandes) Une demande d’aide financière personnelle Une demande d’aide financière pour une formation BIFFA. Des aides financières pour vacances afin de partir dans un centre CAF ou un établissement agréé. (demandes) Autre demande. Ce panée est assez représentatif des aides menées par l’action sociale de la CAF. Toutes ces aides sont prédestinés.

AI n’ a pas de place des aides pour autre chose que ce qu’il est prévu par la CAF. Elles sont attribuées en fonction d’un coefficient familial propre à chaque famille en fonction de la situation du ménage. De nombreux critères ont été mis en place. Dans la grande majorité des cas, l’action sociale ne finance qu’une partie u projet de la famille. L’autre partie est à la charge de celle-ci mais peut être avancée par la CAF sous forme de prêt à taux zéro prélevé par la suite directement sur les allocations familiales perçues. De nombreuses pièces justificatives sont demandées.

Les aides sont limités dans le temps ou sous d’autres critères. Par exemple, les « bons vacances » (pour les colonies ou les centres de vacances agréés) sont limités à un certain nombre de jours par an et par enfant (en fonction de l’âge âge vacances agréés) sont limités à un certain nombre de jours Ar an et par enfant (en fonction de l’âge également). A la question : « En quoi l’action sociale vous paraît-elle importante et/ou complémentaire à la politique familiale menée par la CAF », sophiste LEVÉ y voit « une réelle aide personnalisée en fonction des problèmes de chacun ».

Rares sont les familles qui demandent toutes les aides possibles. Chaque famille est confrontée à un problème et « l’action sociale tente d’ apporter une aide mais partielle L’actualité de ces derniers mois et en particulier de multiples reportages comme « envoyé spéciale » sur France ou « Capital » sur MM ont mis en avant une limite de l’action sociale : le scandale du logement. Beaucoup de familles en difficulté ont les moyens de se loger correctement si une solution raisonnable leur est proposée.

Mais l’action sociale préfère dépenser jusque’ quatre fois le montant d’un loyer en ULM pour les héberger dans des hôtels taudis, dramatiques pour la santé. Des mouvements fleurissent un peu partout pour dénoncer cette situation. De nombreux professionnels ont décidé de sortir de leur devoir de réserve pour se mettre en première ligne des mouvements revendicatifs. La légitimité même de l’intervention publique dans le domaine de la famille en vient à être contesté.

D’après Camomille, Strates et villa,le débat s’articule autour de trois questions. Tout d’abord, celle de la légitimité du public débat s’articule autour de trois questions. Tout d’abord, celle de la légitimité du public à s’immiscer dans les affaires privées (aussi bien dans les questions de logement, que dans celles des vacances). En effet, la collectivité est elle responsable de la situation d’une famille qui parfois a fait les « mauvais choix ». Cette interrogation invite à une réflexion plus large sur la responsabilité des individus.

Ensuite, la question de l’équité semble être soulevée. Les individus se trouvant en bas de l’échelle sociale sollicitent ces services. AI existerait donc un dualisme entre ceux qui feraient appel à l’action sociale et ceux qui tenteraient de se « débrouiller » avec l’aide de leur famille, de leurs amis. Enfin, des questions économiques apparaissent. En effet, il est difficile de définir une frontière franche entre ce qui relève de l’aide de l’état et ce qui appartient aux familles. L’exemple type est celui du ménage.