Dissertation Sciences Conomiques Et Sociales

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Dissertation sciences économiques et sociales : Dans quelle mesure les sciences économiques permettent-elles de résoudre les problèmes de réchauffement climatique ? Un rapport alarmant, publié par l’organisation humanitaire DARA et commandé par 20 gouvernements tente à nouveau d’alerter sur les risques que représente le changement climatique. Selon ce rapport, 100 millions de vies humaines et du PIB mondial seraient en jeu entre maintenant et 2030 si rien n’est fait. Cette situation montre bien le besoin d’agir pour tenter de calmer la situation.

En effet, pl tenter de régler cep lè llons nous pencher Tout d’abord, il faut s fait que la productio org Sni* to la visageables pour ste difficile. Nous nce économique. ent climatique est le ère des émissions de gaz à effet de serre (GES), qui, en détruisant la couche d’ozone contribue au réchauffement de la planète. Ici, l’économe est la science qui permet de donner un prix à l’environnement (comme le prix d’une tonne de C02). Dans cette mesure, quels sont donc les moyens dont disposent les sciences économiques pour tenter de lutter contre le réchauffement climatique et ces moyens sont-ils toujours efficaces ?

Nous verrons alors dans un premier temps les différents outils permettant la lutte contre le réchauffement climatique puis nous verrons que ces différents outils ont du mal à concllier les intérêts économiq SWipe page économiques et écologiques. l) Les différents outils permettant la lutte contre le réchauffement climatique De nos jours, le réchauffement climatique prend une place très importante dans les problèmes environnementaux. En effet, c’est un problème majeur que l’on tente de contrôler et de réduire. Pour cela, on a recours à plusieurs techniques notamment en ciences économiques, comme par exemple la taxe carbone. ) La taxe carbone En effet, les sciences économiques possèdent différents outils pour tenter de résoudre les problèmes de réchauffement climatique. Tout d’abord, nous allons voir le cas de la taxe carbone qui est un outil à priori efficace pour réduire les problèmes de réchauffement climatique. La taxe carbone est une taxe environnementale sur l’émission de dioxyde de carbone, gaz à effet de serre qu’elle vise à limiter, dans le but de contrôler le réchauffement climatique. Cette taxe pigouvienne décourage les émissions polluantes en faisant payer les ollueurs à proportion de leurs émissions. ne augmentation progressive et programmée de la taxe peut permettre de guider les investissements sur le long terme, en laissant le temps nécessaire aux consommateurs et aux entreprises pour s’adapter. La taxe est une possibilité ouverte aux pays s’étant engagés ? réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, par exemple pour le protocole de Kyoto. Elle peut être appliquée au niveau des produits ou au niveau de la production ou l’importation d’énergie fossile, qui émettra du dioxyde de carbone en étant consommée.

La taxation est un out La taxation est un outil grâce auquel les pouvoirs publics imposent une taxe auprès des agents économiques dont l’activité nuit à l’environnement. Cette taxe carbone attire de plus en plus de pays puisque la plupart d’entre eux notamment dans l’union Européenne l’ont adoptée. Nous pouvons voir notamment sur le document 1 que la taxe carbone en Suède entre 1991 et 2010 est passée d’environ 22€ à 110€ la tonne de C02 elle a donc presque été multipliée par 4 en 20 ans.

On peut ici faire le lien avec les coûts de dépollution qui, quand ils augmentent, font augmenter la taxe. L’efficacité de la taxe carbone dépend de plusieurs propriétés fondamentales et doit être pilotée par le prix global de l’énergie fossile, de telle sorte que la hausse de ce prix global soit en croissance lente et progressive. Cette croissance devrait être supérieure à celle du pouvoir d’achat : c’est en effet le seul moyen efficace de dissuader l’usage des énergies qui accélèrent le changement climatique.

Le montant de la taxe carbone dépend également des autres taxes s’appliquant dans les différents pays, ainsi le montant de la taxe carbone ne définit pas toujours niquement la taxation totale d’importation des ressources fossiles. Cette taxe carbone permet donc de réduire les émissions de C02 dans la mesure où il impose une certaine limite aux entreprises pollueuses : ils n’ont dont pas le droit de dépasser cette limite de pollution qui leur est imposée. Cela permet alors de limiter considérablement les émissions de C02 même s qui leur est imposée.

Cela permet alors de limiter considérablement les émissions de C02 même si cela ne reste pas le seul moyen. Si la taxe carbone est un bon moyen de limiter les émissions de C02 et donc de contrôler le réchauffement climatique, les ciences économiques possèdent également d’autres moyens pour limiter ce phénomène de réchauffement climatique. Nous allons donc parler du marché des droits à polluer. b) Le marché des droits à polluer En effet, le marché des droits à polluer est également un moyen qu’adoptent les sciences économiques afin de résoudre les problèmes de réchauffement climatique.

Le marché des droits à polluer englobe toutes les transactions par lesquelles certains pays industrialisés achètent des crédits carbone à d’autres, afin de se conformer partiellement au protocole de Kyoto. « On e peut vendre à personne le droit de polluer, » déclarait un sénateur américain en 2008. Pourtant, en 2005 s’est ouvert le marché européen des droits à polluer. En réalité ce marché des permis d’émission ne confere aucun « droit à polluer » au sens où il fixe seulement un prix de marché à la pollution en tant qu’une externalité, dotée d’un coût social. ?tant donné que les acheteurs et les vendeurs sont peu concernés par les conséquences externes de leurs décisions de demande et d’offre, l’équilibre du marché peut ne pas être efficace, c’est-à-dire, ne pourrait pas aximiser le bénéfice total pour la société. Le marché des droits à polluer constitue ainsi, dans une certaine mesure, une solution à l’inefficacité causée par l’externalité constitue ainsi, dans une certaine mesure, une solution ? l’inefficacité causée par l’externalité de la pollution.

Le marché des droits à polluer a été créé dans le but d’internaliser des effets externes, à savoir la pollution. En effet celle-ci constitue une externalité négative : lorsque l’entreprise utilise gratuitement la fonction de réservoir de résidus de l’environnement naturel t crée des dommages du fait de la pollution engendrée par sa production, elle impose à la collectivité des coûts non compensés, les « effets externes ».

Ainsi, certains pollueurs peuvent revendre des droits à polluer à d’autres pollueurs selon un prix fixé par le marché : cela permettrait alors à certains pollueurs de polluer un peu plus mais en ayant payé leurs droits ; le pollueur ayant vendu ses droits pollue donc moins. Le document 2 qui nous montre la répartition des émissions de C02 en France en 2009 nous montre bien que les domaines du transport et de Findustrie sont les ecteurs qui émettent le plus de C02.

Ainsi, le marché permet d’atteindre à moindre coût l’objectif initial de réduction des émissions en permettant un transfert depuis les acteurs les plus innovants ou les mieux placés. Malgré des avantages au niveau environnementale puisque cela conduit toutefois à une réduction des émissions de C02, ce principe du marché des droits à polluer est confronté lui aussl à certaines limites. Après avoir vu que les sciences économiques possèdent des solutions telles que la taxe carbone ou encore les marchés de droits à polluer pour résoudre le problème du réchauffement cl