Les Cyclopes Expos
Bertrand Alexis Les Cyclopes Les Cyclopes, sont des géants monstrueux, fils de Neptune et d’Amphitrite, et, selon d’autres, du Ciel et de la Terre, ils n’ont qu’un œil au milieu du front. Ils mangeait des fruits que la terre leur donnait en culture et de leurs troupeaux. Ils n’étaient gouvernés par aucune loi. Ils sont construits les villes de Mycènes et de Tyrinthe, formées par des masses de pierres si énormes qu’il fallait quatre bœufs pour traîner la plus petite.
Aussitôt qu’ils furent nés, Jupiter les jeta dans le Tartare, mais nsuite les mit en liberté, à la demande de Tellus (la Terre), qui lui avait prédit sa vict (HéphaiStos), et trava rc PACE 1 or2 les profondeurs de la cil•:,•’ Pluton (Hadès) le cas trident avec lequel il erons de Vulcain Lemnos, soit dans riquèrent pour pour Neptune le rs, pour Jupiter la foudre dont il fait trembler les dieux et les hommes. Les trois principaux Cyclopes étaient : Brontès, qui forgeait la foudre, Stéropé, qui la tenait sur l’enclume, et Pyrachmon, qui la battait à coups redoublés ; mais ils étaient plus d’une centaine.
On a raconté qu’Apollon, pour venger son fils Esculape, frappé de la foudre, les tua tous à coups de flèches. Le plus grand, le plus fort et le plus célèbre des Cyclopes était Polyphème, fils de Neptune et de la nymphe Swipe to vlew next page Thoosa. Il se nourrissait surtout de chair humaine. Ulysse ayant été jeté par la tempête sur les côtes de la Sicile où habitaient les Cyclopes, Polyphème l’enferma avec tous ses compagnons et des troupeaux de moutons dans son antre, pour les dévorer ; mais Ulysse lui fit tant boire de vin, en lui racontant le récit du siège de
Troie, qu’il l’enivra. Ensuite, aidé de ses compagnons, il lui creva l’œil avec un pieu. Le Cyclope se sentant blessé poussa des hurlements effroyables ; tous ses voisins accoururent pour savolr ce qui lui était arrlvé ; et, lorsqu’ils lui demandèrent le nom de celui qui ‘avait blessé, il répondit que c’était Personne (car Ulysse lui avait dit qu’il s’appelait comme ça) ; alors ils ne le cru pas, croyant qu’il avait perdu l’esprit. Cependant, Ulysse ordonna à ses compagnons de s’attacher sous les moutons pour ne pas être arrêtés par le
Cyclope, lorsqu’il lui faudrait sortir son troupeau. Ce qu’il avait prévu arriva, car Polyphème, ayant positionnés une pierre que cent hommes n’auraient pu ébranler et qui bouchalt l’entrée de sa caverne, se plaça de façon que les moutons ne pouvaient passer qu’un à un entre ses jambes. Lorsqu’il entendit Ulysse et ses compagnons dehors, il les poursuivit, et leur jeta un rocher d’une grosseur énorme ; mais ils l’évitèrent facilement, et s’embarquèrent après avoir perdu seulement quatre d’entre eux, que le Cyclope avait mangés.