les carences
Les carences en vitamines correspondent à des avitaminoses, elle sont décrites depuis l’Antiquité. Le béri-béri fut la première avitaminose qui découverte après expériemntation. Le béri-béri touchait essentiellemnt des individus dont l’alimentation à base de riz dont on a retirer de son enveloppe. Les individus présentaient des troubles nerveux accompagné d’une paralysie aboutissant à la mort. Un médecin hollandais : le docteur Eijkman montra que des poules nourries au riz décortiqué avaient des troubles imilaires à ceux des êtres humains.
Lorsqu’il traite des poules avec du riz complet, avec l’enveloppe, il s’aperçut que les troubles disparaissaient. Sa conclusion fut que la maladie ne next page croorespondait pas ? mais était lié à un pr qu’un chimiste allem aminé qui eu une act Cette substance ami ent pathogène, e fut qu’en 1911 ire une substance loppe du riz. ispensable à la vie futappelée vitamine. Il s’agissait de la vitamine B; vitamine antibéri-béri.
Certains signes bien connus ont été cités dans des écrits, ainsi le corbut ( manque de vitamine C) provoquait des hémorragies des gencives, ainsi qu’un déchaussemnt des dents. Cette avitaminose touchait les marins ainsi lorsque Christophe Colomb arriva à Saint Dominge les citrons et or ShAipe to Wew next page oranges offerts par les Indigènes permir de rétablir cette carences et les troubles disparurent. Les carences en vitamine 89, (acide folique), sont relativement courante dans les populations des pays développés (15 à 30 % de la population serait concerné).
Les déficits en vitamines 9 peuvent être a l’origine de troubles fonctionnel comme des malformations chez l’embryon lorsque la femme enceinte ne possède pas suffisamment d’acide folique. les carences en acides aminés essentielles Parmis les carences connues et les plus étudiées, il existe les carences en acides aminées essentielles. Ces carences peuvent être présentes aussi bien dans les pays industrialisés et les pays en voie de développement. Le marasme, fréquent dans les milieux urbains, s’observe surtout pendant la 1ère année de la vie .
La maladie se manifeste par ne maigreur extrême, l’absence de graisses sous-cutanées, une véritable fonte des masses musculaires. Le poids peut descendre jusqu’à de la valeur normale. Cette maladie est due ? une carence globale en aliments, non seulement en aliments protéiques mais aussi en aliments énergétiques. Le kwashiorkor est une maladie fréquente chez les enfants des populations rurales, alimentés correctement pendant 18 mois ? 2 ans grâce à l’allaitement maternel et qui, après sevrage, ne se nourrissent que de patates douces, de manioc ou de mil 2